L’entrée en scène de Nihad

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2-Aveu de culpabilité :

En effet, les talents artistique du personnage : chanteur, il imagine et même invente un dialogue à la fin du texte, il met en place une scène fictif avec un personnage imaginaire « Kurk » et la carrière inventé par Nihad (en tant que chanteur) met en valeur sa folie et le cote enfantin. Or, on remarque la présence du champ lexical du jeu de rôle qui révèle un caractère de Nihad qui « passe d’un statut de guitare a celui de micro »(l7) , »marquant la guitare puis chantant a tue-tête »(l5) « je ne veux pas mourir » (x2). De plus, Nihad possède un caractère paradoxale : tueur et aime la musique. Intéressant de voir dans cette scène fictive, l’histoire qu’il raconte et les émotions qu’il évoque ce qui renforce l’idée ++de contradiction dans son caractère. On retrouve également dans cette scène une trace d’amour mise en valeur par les termes « love song »(x4) (l.53, l.56, l.56, et l.62). Ce champ lexical suscite la demande chez le spectateur il voit en ce personnage le tueur mais aussi la musique et le côte sentimentale. Ajoutons également l’évocation de la mort témoignée par «ne me tuez pas »(l46), »nihad tire » , « touché par la balle du fusil », « a big crash ». Donc dans ce dialogue fictif il parle de la femme dont il a tue à l’aide d’un « sniper » ainsi qu’il évoque des émotions telle que l’amour.

On rapproche ce passage à la scène 25, dans laquelle Sawda raconte la mort dans les camps des refugiés vu qu’ils partagent des pts communs : la présence du récit ainsi que la présence d’une scène de violence où on raconte la mort.