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De l’esclavage des nègres

Par   •  12 Mars 2018  •  1 483 Mots (6 Pages)  •  515 Vues

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texte 3: l’homme qui rit

intro:

-monstre : la définition n’a cessée d’évoluer , définie par chaque individu et donc pas exacte

-V Hugo écrivain du XIX traite se sujet dans l’homme qui rit

-il parle du regard des gens sur Gwinplaine un jeune garçon sévèrement défiguré

PB:comment à travers la vison d’un personnage atypique V.Hugo nous interroge t-il sur la nature humaine ?

PLAN: I)un monstre parfait

II)monstre entre rire et désespoir

III)une réflexion sur les origines de la monstruosité

I)a)une laideur hyperbolique

-par son visage (paragraphe1)

difficile a décrire du coup on utilise des comparaison (l7.8.7-8.35)

-défiguration d’une violence due à un chirurgien lui même monstrueux (l22à25)

accumulation de verbes à préfixes dé qui montre la séparation (l25.26) cette accumulation montre l’acharnement du criminel (l24)

b)une laideur oxymorique

-Hugo associe sa laideur au rire tirant vers le côté clownesque (l3-4)

-la laideur du saltimbanque (l35) , Gwinplaine devient alors un objet d’exhibition crée pour être montré (20-21)

-V Hugo renverse le mouvement habituel , le personnage change sa monstruosité en miracle (l 38-39)

les phrases courtes renforcent cette idée de miracle instantané . Il ne représente pas le chagrin mais le rire .

c)une monstruosité qui s’apparente à un chef d’oeuvre

-comme c’est un saltimbanque il provoque le rire et devient une allégorie de l’oeuvre d’art ou l’artiste lui même.

-c’est lui même un chef d’oeuvre

(l9-10) c’est le travail d’un artiste (l28.29.31)

la première antiphrase montre une attitude provocatrice (l31) cela montre un équivalence entre le monstre et le chef d’oeuvre

-cette créature monstrueuse est au dessus de toute création humaine ,mouvement de la première Gwinplaine est dans un contexte merveilleux (l1)

puis il dénie la créature d’un tel monstre (l5-6)

destruction devient création (l42-40)

-le passage du laid au beau est du au romantisme et ses caractéristiques ex : Quasimodo mais aussi chez Baudelaire dans les Fleurs du Mal on le confirme par l’expression Spleen (ligne 40)

II)a)l’homme qui rit malgré lui

-description fondée sur une opposition entre son apparence et la réalité : qu'il ne riait pas

oxymores (l42)

il reflète difficilement son surnom (42.43)

-sa face , l’autre utilise ce mot d’une manière péjorative tirant vers l’animal .

son masque devient une identité qu'il ne peut contrôler (l44)

b)un bouffon tragique

-il est condamné a faire rire (l38)

il est condamné à être grotesque

V Hugo mélange les registres rire et mort (l37) rire au plus près de la mort

les gens viennent se consoler sur la face horriblement comique de l’homme qu’is imaginent pire que la leur (catharsis)

-le narrateur se demande si Gwinplaine est un Dieu ou un Diable (l32-34) marque de l’ironie de l’auteur , c’est avant tout une allégorie de l’artiste une caricature et une face grotesque

III)a)un regard du narrateur sur la monstruosité

-interventions constentes (l5-34)

il s’adresse parfois au lecteur (l16.7.6.19.20)

-l’auteur passe du « nous » au « on » qui inclu le lecteur (l12)

b)une réflexion philosophique et métaphysique

-philosophie (l11.15)regarder ou mettre en scène la monstruosité est une expérience qui permet de s’interroger sur le mal et Dieu

la création est une énigme car elle est une insulte a Dieu sa perfection et la création

-Hugo dénonce clairement les coupables (l5.9.21.23) il cherche a persuader le lecteur (l7) avec le vocabulaire de la boucherie (l23.25) cette création a dû faire souffrir l’enfant

conclusion:

- deux pôles : humain et monstre , chef d’oeuvre et horreur

- l’auteur cherche à attirer le lecteur sur un fait de société très vogue à son époque

- il nous interroge sur les origines du mal et de la cruauté

- derrière le visage de Gwinplaine se cache la main du bourreau qui le défigura : Einchman

Texte 4 : Chapitre 1 de l’ingénu

intro:

- contes philosophiques servent aux écrivains à exprimer leur vison de la société et plus précisément de l’homme

- voltaire écrivain des lumières écrit des contes philosophiques tels que Candide mais aussi l’ingénu

- satire de la société et de la religion s’inspire des caractéristiques du conte , et notamment cet extrait de CH1

PB: comment ce début de récit met-il en place un récit plutôt réaliste plus fantaisiste ?

...

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