Commentaire d'incipit
Par Orhan • 29 Août 2018 • 1 060 Mots (5 Pages) • 555 Vues
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- Un point de vue critique
Le narrateur émet un jugement mais on sait qu’il ne ce dévoile pas « sans doute » L.28 « naturellement »L.20 « a Oran comme ailleurs »L.38 »on est bien obliger de s’aimer sans le savoir »L38 on voit la présence du narrateur avec a travers des modalisateur et l’ironie c’est un jugement critique. On se demande si cette description na pas une portée symbolique.
3- Une description a portée symbolique
A-Des évènement extraordinaires
Ce roman ne traite pas qu’un seul évènement particulier il y a eu une épidémie de peste a Oran donc elle a un thème bien plus vaste qui renvoie a l’actualité de l’époque. On remarque que l’auteur ne précise pas l’année 1940 l.1 mais on sait que ce roman a été écrit en 1947 alors on peut dire que cela se rapproche aussi d’un autre évènement qui est la seconde guerre mondiale dont l’auteur ne cite pas la date. Donc l’épidémie est rapprochée de l’expansion du
Nazisme « un village sans pigeons, sans arbres et sans jardin » L7-8 « laide » L.5 cela nous renvoie au massacre de la seconde guerre mondiale.
B-Le message que porte le narrateur sur toutes les villes
Le narrateur répète plusieurs fois que la ville d’Oran est ordinaire « une ville ordinaire » « un lieux neutre » « petite ville » il dis aussi que c’est une ville comme les autres. Le fait qu’il compare sa ville au autre sa montre quelle sont tous le même problème c’est qu’elles n’ont pas d’originalité.
C-Une réflexion sur la condition humaine
L’auteur met un miroir en face des lecteurs pour qu’il réfléchisse a la condition humaine. Il nous montre que les citoyens prennent des habitudes et qu’il sont une routine « prendre des habitude » L.18. Il insiste aussi sur le travail « travail beaucoup » L.19 « s’intéresse au commerce » L.20 « faire des affaires » L.21 a appart cela il ont des plaisir qu’il réserve pour le dimanche « voir des gens travailler du matin au soir et choisir ensuite de perdre au carte, au café et en bavardage le temps qu’il leur reste pour vivre » il veut dire au lecteur de sortir de la routine grâce a tout cela Camus généralise sont récits.
Pour conclure nous avons vue que la ville d Oran est une ville anodine avec des habitant sans relief et un rythme de vie lent. Puis nous aurons vue un narrateur très mystérieux avec un point de vue critique et objective. ET enfin nous avons vu une description a portée symbolique avec différents évènements extraordinaires on voit aussi que le narrateur porte un message sur toutes les ville et qu’il veut que le lecteur réfléchisse a la condition humaine.
Inayataly Djavad
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