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La céréaliculture

Par   •  8 Mars 2018  •  975 Mots (4 Pages)  •  373 Vues

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B La dimension spatiale de l'assolement

Pas seulement alternance des cultures. Assolement aussi répartition des cultures dans le finage (territoire cultivé des villages) il est compartimenté, et prends une dimension spatiale. Chaque paysans doit partagés ses terres pour ne pas être sans culture. Toutes les bêtes du village sont rassemblées dans un troupeau commun. Tout le village partage l'espace toute une zone a la jachère et tout une zone a la céréales d'hiver et de printemps. (voir doc moodle). Sole : réservé a telle ou telle type d'activité. On fait tourné les soles.

C La critique de l'assolement

Assolement critiqué par les agronomes. Tout les ans dans le royaume il y a des champ qui donnent pas de récoltes. Critique fondée qu'une agriculture vraiment productive devrait occupée les champs qui restent sans récolte d'une manière ou d'une autre. Veulent la suppression de la jachère, pour ca il faut développe des cultures non céréalières dans les champs au repos. On peut cultivé par exemple les oléagineux : le colza, l’œillette permettant de faire de l'huile a usage industriel (industrie textile). Il faut transformé une partie des champ en prairie artificielle. Pour faire pousser des plantes apprécié par les animaux : trèfles, sainfoin. Ayant des prairies artificielles paysans auront plus de bétail donc plus d'engrais de caca d'animaux. La Flandres utilise donc ce nouveau modèle sans jachère, elle est vu comme une province moderne de la culture agricole.

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III Les enjeux de la céréaliculture

A La tyrannie des blés

Formule adoptée par les historiens qui désigne la dépendance absolue de la culture agricole française a la céréaliculture. Engrais en quantité insuffisante. Agriculture donc prisonnière d'un cercle vicieux. Insuffisance d'engrais → faible rendements → maximum des terres aux céréales → peu d'herbage et de prairies artificielles → peu de nourriture d'animaux → peu d'animaux → peu d'engrais du caca d'animaux.

B Débats sur les rendements

Au XVIII pas de révolutions agricoles. Les rendements progressent- ils ? Pas de progressions précises, car très peu d'informations sur les rendements. D'autres historiens pensent que les rendements ont progressé : peut être progression de 10 a 20% en comparant chaque région. Le progrès est donc général.

C L’autosuffisance du royaume

Au début de la période la France est autosuffisante en céréales et a la fin aussi, malgré l'augmentation de la pop. On nourri ¼ voir 1/3 de personne en plus ca veut dire qu'on a produit plus. Le commerce des céréales s'est amélioré. Amélioration aussi dans la conservation des grains. Progrès dans la meunerie, avec la même quantité de grain plus de farine qu'avant. Tout ces éléments ont permis de nourrir plus de monde.

Conclusion : Céréaliculture qui ne connaît pas de révolution des rendements mais qui s’améliore et fait face a l'augmentation de la pop.

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