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Dossier d'histoire CAP vente option A

Par   •  10 Octobre 2018  •  801 Mots (4 Pages)  •  439 Vues

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La radio est un moyen de résistance simple et efficace qui a permis aux résistants de mieux s’organiser.

- Passivité et indifférence

Image google :

[pic 3]

Durant l'occupation la plupart des français n'étaient pas résistants, mais ils ne collaboraient pas non plus. Ou en tout cas pas ouvertement. Ils se contentaient en ces temps difficiles de fermer les yeux. Des français sont expatriés, juifs, tziganes, homosexuels, résistants. On ne peut pas dire qu'il y ait eu une indifférence totale, de la part des voisins et amis mais il exista une indifférence générale. Les français n'étaient pas tous au courant ou ne savaient que faire contre ces rapts et n'intervenaient pas. Bien que de nos jours, ont voient dans les films, de courageux résistants, amis ou inconnus, cacher du mieux qu'ils pouvaient voisins et étrangers. La vérité est plus sombre. Ce genre de cas était assez mineur. Les français ont peur. soumis aux rationnements, occupés par des troupes ennemies, surveillé, opprimés et effrayés.

Bien que l'on peut aisément associer cette image à la collaboration. Nous l'avons choisi dans le but de mettre en lumière la solitude et l'horreur de la situation pour les déportés.

Conclusion :

Les français ont adopté de multiples attitudes face à l'occupant que ce soit la collaboration, en dénonçant ces voisins, la résistance, par des attentats contre les officiers nazis, ou l'inaction, commune et normative de la plupart de français qui vivent dans la peur. Il n'y a pas un coté résistant et un collaborateur, ou alors ce sont des « collabos » malgré eux comme les alsaciens enrôlé de force dans l’armée allemande et qui s'auto-qualifié de « malgré-nous ». La plupart des français vivent l'occupation dans le silence et l'inaction. Ils font profil bas et continue de vivre leur vie comme avant la défaite et l'occupation de 40. Il est difficile à l'heure actuelle de critiqué les actions des citoyens de l'époque, ils avaient tous probablement -à leurs yeux- de bonnes raisons d'agir. Et la justice d'après-guerre s'occupa de punir « les traîtres » du mieux qu'elle put. Ou en tout cas, du mieux qu'elle pensa.

Néanmoins les français n'avaient pas beaucoup de choix d'actions et d'attitude à adopter durant la seconde guerre mondiale.

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