Le modèle NC

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Modele Keynésien :

Il se situe dans un environnement incertain, (non probabilisable, incertitude radicale). De cette attitude, il en résulte des comportements face à l’incertitude : préférence pour la liquidité, possibilité d’un équilibre de sous emploi (=chômage involontaire). PPL : argent liquide, soit compte non rémunérées => thésaurisation.

C’est a demande qui créer l’offre. Si demande est faible l’offre (production des entreprises) est faible ainsi que le nombre de personnes employées. Dans cette situation de sou emploi, l’Etat peut relancer la demande de pallier à la faiblesse de la demande privée (PB ou M expansionniste).

Dans le paradigme K, il n’est pas question d’augmenter G indéfiniment = mesure transitoire. L’Etat a un role de stabilisateur de l’économie mais économie plus libérale (au sens anglo-saxon).

La monnaie n’est pas neutre elle peut être thésaurisée (pas forcément dans les titres) et le i se fixe sur le marché de la monnaie donc l’Etat peut agit sur la valeur du i en utilisant la PM.

D’une façon générale, l’Etat est un régulateur de la vie économique : son intervention vise à corriger les déséquilibres et amortir les fluctuations temporaires de l’économie.

Etat : Encadre l’économie Kliste.

La consommation chez K :

En raison du principe de ma demande effective (D —> O) ma conso est fondamentale dans ce modele.

Elle dépend du revenu C = Co + cYd ou c est la PmC (la partie du revenu qui est consommée).

Puisque les enta produisent en fonction de la demande anticipée, une consommation faible des ménages implique une production fille (et donc un chômage potentiellement élevé).

S n’est qu’un résidu de la C S = Y -C

Les ménages satisfont d’abord leurs besoins de consommation : si le revenu n’est pas entièrement consommé, il reste une épargne.

Cette S peut être placée ou thésaurisée : dépend du taux d’intérêt (prix de la renonciation à la liquidité).

L’S dépend donc du revenu (Y) : chez les NC, elle dépend du taux d’intérêt (i) et résulte d’un comportement de placement financier (je pense a faire fructifier mon revenu avant de le consommer pour pouvoir consommer plus dans le futur). C’est l’I qui créer l’S au même rythme que lui.

L’investissement : dépend de l’efficacité marginale du K. Elle correspond à un rendement anticipé : « elle est définie en fonction de la prévision de rendement d’un K ».

Lorsque l’I augmente le revenu national augmente.

Or, l’S est déterminée par le revenu donc c’est l’I qui cause l’S : l’I augmente le revenu, l’augmentation du revenu cause l’S : I —> S et non inversement

dI —> ∂Y —> ∂S.

L’S n’est plus un préalable de l’I mais une conséquence de l’I contrairement au modele NC.

Le marché des B&S :

A l’équilibre nous avons : Y = C + I + G

Soit Y = Co + c(Y -T + P) + I + G

Y = Co + c(Y -(To + tY = Impôts) + P) + I + G avec c Y - (To + tY) + P = revenu disponible

Une variation de la demande autonomes (∂A) provoque un impact sur le revenu égal à ∂A x k.

Effet multiplicateur :

Par le multiplicateur, une variation de la demande autonome (A) provoque des effets amplifiées sur le revenu (Y)

Par exemple, une relance par G de 10 augmentera Y de 40 si k =4. Une politique d’austérité du même montant (-10) diminuera le revenu de 40.

Plus PmC est forte plus k est fort .. et plus k est fort, plus la PB (expansionniste) est efficace.

L’effet k d’une relance est ≠ selon le type de politique

Multiplicateur relatif :

- aux dépenses publiques : (1/ 1 - c + ct) x ∂Go

- aux prestations sociales : (1/ 1 - c + ct) x ∂cPo

c l’impact positif des G surpasse l’effet négatif des impôts. Théorème d’Haavelmo

Lorsque l’Etat augmente le revenu des ménages (par une huasse des pressions ou une baisse des impôts forfaitaires) une partie est immédiatement épargnée (ils ne consomment que c% de cette hausse de revenu). L’effet est donc plus faible sur Y.

Plus c est forte plus l’effet k est important car les vagues successives dépendent de l’effet k. Plus C va être élevée, plus les vagues suivantes vont augmenter la production.

Effet k = effet multiplicateur