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Sdvfdvf

Par   •  17 Janvier 2018  •  1 951 Mots (8 Pages)  •  373 Vues

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- Meilleure productivité

- Meilleures qualité, fiabilité

- Meilleurs confort et sécurité

- Meilleure santé

5) Biomécanique et cosmétique

Étude du comportement mécanique de la peau humaine

Effet des crèmes, pommades...

[pic 1]

III. Analyse du mouvement : 2 approches (analyse qualitative et quantitative)

i) Analyse qualitative

- Outil :

- Œil nu

- Caméscope

- Utilisateurs : entraîneurs pour :

- Décrire le geste en question

- Corriger des attitudes

- Émettre des « lois » très controversées

- Diagnostic de l'analyse qualitative :

- Très subjective

- Pas facile à généraliser

Intérêt de faire appel à la science du mouvement : la mécanique

- Émettre les lois du mouvements

- Quantifier le mouvement

ii) Analyse quantitative

- La quantification nécessite l'utilisation d'appareils :

- Optiques

- Mécaniques ou électroniques

1) Appareils optiques

→ Enregistrer le mouvement sous forme d'images (ou film).

→ Analyse des images pour aboutir aux différentes mesures recherchées.

Déroulement d'une manipulation

→ Disposer les caméras autour du champs dans lequel se déroule le mouvement.

Calibrage du champs

→ Utilisation d'une cage de calibration, c'est un dispositif avec beaucoup de marqueurs. Connaissant les différentes positions de ces points, on va pourvoir calibrer parfaitement l'analyse et avoir une mesure relativement juste. C'est une étape indispensable !!

Préparation de l'athlète

→ Équipé de différent marqueurs (chaussures, corps, combinaison équipée), avec une caméra utilisée en cinématique, elle émet de l'infrarouge. Cet infrarouge est réfléchi par les capteurs et capté par l'optique au centre de la caméra (même principe que la kinect).

Si on veut faire en 3D, il faut minimum 2 caméras (problème, il se peut que certains moments les marqueurs soient perdus, plus on a de caméras, plus on aura de chance de ne pas les perdre).

Reconstruction du mouvement

→ A partir de ces mesures, le mouvement est reconstruit dans un repère (x, y, z) et à partir de là, il est tout à fait possible d'analyser dans un premier temps, le mouvement en 3D, qu'on peut analyser sous tous les angles.

→ Soit intégrer les résultats dans un modèle biomécanique, soit dans un modèle brut.

Attention : on peut décomposer cette analyse selon le plan qu'on souhaite mais faut savoir l’interpréter, il faut donner du sens au données.

Exemple du tennis : on peut analyser la vitesse de la balle, la rotation du bras (interne, externe, abduction, adduction).

2) Appareils mécaniques ou électroniques

→ Ces appareils convertissent un phénomène physique en un signal électrique

L’électro goniométrique

→ Deux segments s'articulant au centre autour d'un potentiomètre.

→ Les déplacements articulaires engendrent une différence de potentiel électrique.

→ Enregistrement des déplacements articulaires (permettre de mesurer un angle articulé).

L'électromyographie

→ Appareil enregistrant le potentiel électrique produit par un ou plusieurs muscles.

→ Des électrodes placées sur la peau (voir implantées dans le muscle) transmettent la différence de potentiel électrique (DDP).

→ Enregistrement de l'activité musculaires (voir si la personne a une mouvement spontanée, synergie entre les muscles...)

⊳ En biomécanique, c'est de l'électromyographie cutanée, dans le domaine médical, on prend souvent des mesures sur le nerf.

Activité électrique de deux muscles antagonistes

• Électrodes placées sur le soléaire (muscle extenseur du pied formant la partie charnue du mollet).

• Électrodes placées sur le jambier antérieure (muscle fléchisseur du pied qui longe l'arête tibiale)

→ Les capteurs qu'on a, permettent de faire les mesures et permettent de se faire une idée sur l'activité musculaire.

→ EMG de deux muscles antagonistes enregistrés simultanément au cours de mouvements d'extension puis de flexion du pied sur la jambe (muscle soléaire plus puissant en amplitude de mV que le muscle jambier antérieur).

Type de contraction musculaire

• Concentrique : le muscle activé développe une force en se raccourcissant.

• Excentrique : le muscle activé développe une force en s'allongeant.

• Pliométrique : succession sans temps d'arrêt d'une contraction excentrique et concentrique (counter mouvement jump). Elle

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