Soldat Ryan

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Les couleurs choisies dans l’extrait sont : le marron pour la boue, la saleté, le vert foncé pour les soldats, le bleu foncé pour la mer, le rouge pour le sang, le jaune et le gris pour les explosions. La majorité des couleurs sont sombres pour montrer la tristesse et l’atrocité de la guerre.

4- Interprétation personnel :

Ce film a été un réel succès, pas seulement une simple satisfaction du groupe mais un succès mondiale car en effet ce film a remporté de nombreux oscars, et a été le premier film de guerre a retracé aussi parfaitement les évènements de cette guerre. Nous avons aimé ce film, car on nous montre la violence de la guerre, telle quelle devait être. Spielberg, avec un très bon scénario, nous montre le vrai visage de la Seconde Guerre mondiale avec des acteurs aussi bien les uns que les autres. Ce qui nous a essentiellement plus c’est que ce film nous montre la violence de la guerre avec une impressionnante réalité sans chercher à choquer.

5- Conclusion :

Comment les artistes dénoncent-ils les violences de la guerre?

L’artiste donne une image violente envers la guerre. La caméra est au cœur de l’action, au milieu des soldats, ce qui place le spectateur au milieu des combats et lui fait partager au plus près les souffrances des hommes. De plus, son utilisation en caméra subjective, place le spectateur parmi les soldats. Il partage ses souffrances et ses angoisses au plus près. Ici la guerre ne serait pas une question de courage, mais une question de survie : Nous voyons des hommes terrorisés, tremblants, hurlants…

Avec « Il faut sauver le soldat Ryan », Steven Spielberg ne fait pas un film de plus sur la guerre. Il rend hommage à tous ces jeunes Américains ordinaires qui sont venus mourir, un beau jour de juin, en Normandie. « Il faut sauver le soldat Ryan » est donc une œuvre cinématographique consacrée au devoir de mémoire.

-Le jour le plus long, réalisé par Ken Annakin

Cette œuvre est en liens avec le film de Steven Spielberg car ce film parle du débarquement des Alliés en Normandie, mais il y a quand même un petit décalage comparé au film de Steven Speilberg car :

-l’ambiance est à la gloire américaine, il y a peu de morts et de sang.

-les soldats sont sûrs d’eux, calmes, aucune peur chez eux, les chefs sont des héros, ils n’ont même pas d’armes !!