L'anglicanisme
Par Christopher • 23 Avril 2018 • 2 464 Mots (10 Pages) • 616 Vues
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Tout ce cahot à pris place au ports de Messine en septembre 1347, de là, en un and tous les bords de la méditerrané étaient touchés. En novembre elle toucha Gêne et Marseille en janvier 1348 elle toucha Avignon. Cela fut désastreux, en moins de six semaines, le siège de la Papauté perdit le tiers le ses cardinaux, la moitié de sa population total, soit environ 11 000 vies. (PATTOU, 2013) Les habitants croyaient qu'il s'agissait d'une punition divine, ils croyaient aussi à un mode transmission par la vue et par l'aire. Par milliers les gens fuyaient l'endroit croyant atténuer l'effet de propagation, mais aujourd'hui je sais que cela n'a fait qu'augmenter le nombre de victimes (dû à un mouvement de masse prononcé). Dans cette esprit apocalyptique que la folie s'emparait des fidèles qui abandonnaient leur demeure. De nombreux malades furent laisser eux-mêmes pris pour morts dans des centaines de maisons désertés par leurs propriétaires. Avignon ayant été ravagé par la guerre de Cents ans, la peste n'en fut pas moins que favorisée dû à une hygiène quasi-nulle. S'ajoutant à cela l'odeur infecte des cadavres en constance croissance. À ce moment, plus personne ne faisait son travail et à la folie s'ajoute la famine. En ce sens, plus personne ne ramassent les récoltes de peur que l'air ait contaminé l'ensemble de la nourriture et le bétail, pour les mêmes raisons, est laisser à l'abandon. C'est ainsi que plusieurs villes, comme Avignon, devinrent des villes fantômes, une hygiène absente, des corps laissés un peu partout dans la ville, la famine qui frappe et les peu d'habitants épargnés désertant la villes au pad de course.
Les personne atteinte de la maladie présentaient les symptômes suivants: forte fièvre, vomissement, vésicules de pues (sous les assailles), ainsi que des tâche pourpre et noir sur le corps. Aucun médecins n'avait de remèdes, les habitants les plus riche se ruinaient dans l'espoir qu'un médecins leur rende visite avec un remède. Mais la science n'y pouvait rien. Jusqu'au jour où Guy de Chauliac, un jeune médecin, se vit infecté de la Peste suite à la prise en charge de plusieurs mal-portants. Pendant six semaines, il se soigna seul, en incisant, lui-même, ses bubons pour en faire sortir le pue. Miraculeusement il survécu. Suite à quoi, il pratiqua de nombreuses autopsies pour trouver la cause de la maladie et espérait, évidemment, trouver un remède. Il en vint à la conclusion que la maladie se propageait dans les poumons. Pour sauver le Pape Clément VI qui n'était pas encore atteint de la maladie, il lui conseilla de quitter la région avant d'être infecté, de surtout pas être en contacte avec des personnes atteintes ou des personnes ayant côtoyé des malades. Pour protéger son coeur, il lui conseilla de manger des fruits et des légumes de bonne odeurs, ainsi que de purifier l'aire ambiant par le feu. Le pape s'enferma alors dans ses appartements, coupa tous contacts avec sa cours et ses serviteurs et demeura entre deux grands brasiers. Le pape survie à la Peste Noire. (Nichoison, 2012)[pic 15]
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Le fléau arrive finalement au bord des frontières de l'Europe vers 1350 après avoir ravagé l'année précédente l'Allemagne (presqu'entièrement), les Pays-Bas, le nord-est de la France, l'Angleterre, l'Irlande, l'ouest du Danemark et de la Norvège, mais ayant grosso modo épargné le Béarn, une grande partie de la Pologne, la Bohême et la Hongrie. (DUBY, 2014) La Peste aura menée à mort plus de 80 000 Parisiens, plus de 16 000 Marseillens, aura causé à Londres plus de 50 000 victimes, enfin l'Europe aura perdu plus du tiers de sa population total en cinq ans a peines. Par contre, aujourd'hui en 1353 on en ressent tout de même des effets bénéfique notamment dans le secteur de l'économie. Comme le dicton le dit: «Le malheur des uns, fait le bonheur des autres» (Voltaire 1694-1778) Et bien, suite à un grand nombre d'héritages acquis par les épargnés et la main-d'œuvre se faisant très rares pour relancer l'économie, ceux-ci on un pouvoir énorme sur l'inflation des salaires. À prime à bord, les héritiers c'étant fait confier des terres et ayant (pour la majorité) beaucoup d'argents en poche, exigeaient un salaire de trois à quatre fois plus élevé qu'avant la Peste. Par contre, les employeurs ne pouvaient se permettent une telle augmentation de salaire. Ainsi en mai 1349 le roi Edward III exigea que tous les habitants travail pour le même salaire qu'en 1346, avant le fléau. (NICHOISSON, 2012). De plus, c'est à cette époque que les hommes et les femmes commencent à revendiquer des droits, leurs droits (ils ne veulent pas travailler pour le même salaire qu'auparavant).
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(partie commune)
Marie-Eve et Yves Olivier
Un président pas comme les autres
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atif de Brooklyn au Massachusetts, né le 29 mai 1917, homme de politique il est admiré par certains, détesté par d'autres. Son histoire se termine à Dallas au Texas le 22 novembre 1963 où il est abattu de plusieurs coups de feu, alors qu'il traverse la ville au bord de la voiture présidentielle. (Que s'est-il vraiment passé, page 277) Pionnier d'un mouvement prônant l'égalité raciale, John Fitzgerald Kennedy s'attire à la fois des regards élogieux, mais aussi des regards de mépris et de dédains.
Les motivations qui ont mené à cet acte sont nombreuses, mais ne demeurent que des hypothèses, puisque l'assassin de Kennedey, Lee Harvey Oswald fut lui aussi tué avant que son procès ait eu lieu. Bref, les causes de la tuerie de Dealey Plaza se rapportent à des événements historiques qui ont eu lieu à la même époque. Notamment, la guerre du Viet-Nam (1955-1975) où des troupes américaines avaient été envoyées; or, le Président Kennedey désirait le rapatriement progressif de ses troupes aux États-Unis. Économiquement, cela ne faisait pas l'affaire de tous, puisque plusieurs industries majeures serraient touchées par cette décision entre autres, l'industrie de l'armement, l'industrie de l'aviation et l'industrie aéronautique qui se retrouverait avec des surplus de marchandise. En d'autres mots, l'entretien de ces surplus ne seraient en aucun cas avantageux,
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