Pollution Calanques

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- Fluorène : 10 µg/kg

- Benzopyrène : 1500 µg/kg

-Métaux

On en retrouve également dans les sédiments comme l'argent, le cuivre, le mercure, le plomb et le zinc. Par exemple pour le mercure, on trouve une valeur de 8,7 mg/kg et une forte teneur de 575 mg/kg pour le plomb.

On retrouve aussi du pétrole provenant des accidents pétroliers et des intrants comme le mirex, le chlordane qui proviennent de l'agriculture industrielle intensive. Tout cela provoquent des dommages dans la mer.

Il est doté d'une biodiversité et d'un patrimoine naturel exceptionnel.

Le Parc national possède un cœur marin s'élevant à 43500 hectares avec une grande biodiversité comme :

- L'herbier de posidonie;

- plusieurs poissons comme le corb ou bien la saupe.

La biodiversité du parc national est très affectée par la pollution. Parmi les intrants, Les pesticides sont des contaminants majeurs. Ce sont les plus toxiques qui montrent une forte résistance à la biodégradation. Ils empoisonnent la mer et des milliers d'espèces meurent contaminées. Ensuite, il y a des insecticides très répandus dans l'eau qui causent des impacts considérables sur les espèces marines. On retrouve des insecticides comme le (toxaphène, le HCH et le DDT).

Les herbicides vont polluer les algues du plancton et les herbiers marins. Cela est un problème pour les prédateurs.

La photosynthèse et la respiration des espèces marines sont très menacée par le pétrole et les hydrocarbures . La nappe opaque du pétrole empêche la lumière de passer et les hydrocarbures bloquent les échanges gazeux de la photosynthèse comme pour le phytoplancton par exemple. Ce problème affectera par la suite le reste de la chaine alimentaire.

Cas+graves : *hydrocarbures :benzène----> cancérigène

Ces hydrocarbures brûlent les feuilles de Posidonies et les branchies d'animaux marins à respiration branchiale. L'herbier de Posidonie est très important dans l'écosystème marin. C'est un lieu de protection pour les poissons qui viennent se nourrir.

Côté terrestre, on retrouve un phénomène de défoliation. Ce phénomène provoque la chute des feuilles qui se trouve sur les arbres, car le vent qui provient de la mer est chargé en hydrocarbures et détergents.

III Solutions

Lorsqu'il pleut beaucoup ou pendant les périodes d'orages, la station ne peut pas recevoir toutes ces eaux car il n'y a pas assez de place. Donc les eaux sont directement jetées à Cortiou sans être traitées. Alors en 2013, Marseille décide de construire un bassin de rétention sous le stade Ganay dans le 8e arrondissement. Ce bassin a une taille de 50.000 m3 et va recevoir les surplus d’eau pour être traitées plus tard. La fin des constructions est prévu pour fin 2017. Ainsi cela va permettre de réduire une partie des rejets d'effluents non traitées dans le parc national.

La deuxième solution est d'améliorer la station d'épuration. En effet, on pourrait compléter et perfectionner les installations. Comme nous l'avons vu précédemment, la station comporte un traitement primaire physico-chimique et un traitement secondaire biologique. Il suffirait de rajouter un traitement de finition qui permet une meilleure épuration des eaux usées: l'eau sera ainsi non polluante. Mais pour l'instant, la ville de Marseille se concentre plus sur la construction du bassin de rétention car au niveau financement cela coûte plus cher.

La pollution des [pic 1]

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