Les ITSS

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Entre l’ébauche de projet et le plan de réalisation, il y a très peu de modifications. Nous avons conservé le même lieu d’intervention ainsi que le même niveau scolaire qui est le secondaire trois. Par contre, dans l’ébauche de projet, nous avions l’intention de présenter un vidéo qui explique et décrie les différentes infections transmises sexuellement et par le sang. Nous avons plutôt opté pour leur faire visionné des histoires vraies que nous avons trouvé sur le site ma sexualité.ca. Avec ce changement, nous espérions les toucher plus directement. Aussi, nous avons décidé de leur présenter un PowerPoint et de leur distribuer un questionnaire. Nous avons apporté ces modifications afin de davantage les stimuler et de les faire interagir avec nous lors de l’intervention. Il était important de les garder attentifs donc, il fallait qu’ils prennent part à notre projet. Pour terminer, nous avons aussi changé notre concept de l’immigration, car nous n’étions pas neutres en abordant ce sujet et sans nous en rendre compte réellement, nous aurions tenu des propos racistes. Nous l’avons d’ailleurs remplacé pas la théorie de la révolution sexuelle.

Dans notre projet, les difficultés n’ont pas été très présentes. Par contre, vers la fin du projet, il était plutôt difficile de faire des rencontres d’équipes, car l’horaire devenait de plus en plus chargé pour chacune des membres de l’équipe puisque nous sommes en fin de session. Afin de remédier à la situation, nous nous sommes rencontrés les mercredis midi de 12h à 14h puisqu’il n’y aucun cours pour tous dans cette période. Nous avons aussi organisé des rencontres tôt le matin, avant nos cours. L’autre problème que nous avons rencontré est l’utilisation de la caméra. Il était impossible pour nous de filmer notre intervention, car elle se déroulait dans une école secondaire et nous aurions eu besoin de l’autorisation de chaque parent pour filmer les jeunes. Cela devenait un peu plus complexe, car il était certain que plusieurs jeunes n’auraient jamais rapporté l’autorisation. Pour remédier à ce problème, nous avons décidé de ne pas filmer les élèves et de seulement prendre une photo de l’équipe avec le superviseur, Michel Dompierre. Pour le reste, tout c’est bien passé et nous n’avons eu aucun autre obstacle.

Les quelques modifications et différences que nous avons apportées à notre projet, ont eu très peu d’influence sur le déroulement de notre travail. Cela est dû au fait que nous avons apporté des modifications seulement dans le but d’améliorer notre intervention, donc les changements apportés ont davantage favorisé le bon déroulement de notre projet d’intervention.

Rétroaction du superviseur et de la clientèle visée :

À la suite de notre intervention, nous avons recueilli les rétroactions des étudiants et de l’enseignant à l’aide d’un questionnaire comptant pour les étudiants sept questions et pour le professeur huit questions où ceux-ci sélectionnaient un chiffre d’un à cinq. Le chiffre un étant pas du tout et le chiffre cinq, tout à fait. Il y avait aussi deux questions à développement où les élèves et l’enseignant pouvaient laisser quelques commentaires sur leur appréciation et leur niveau d’aisance avec les propos de l’intervention. Celui-ci nous a permis de découvrir les défauts ainsi que les points forts de notre présentation.

Pour ce qui est des rétroactions de l’enseignant Michel Dompierre, nous croyons que notre intervention à été une réussite puisque celui-ci a répondu tout à fait dans les questions traitant du professionnalisme, la qualité du langage, la qualité des explications fournis. Il a trouvé notre présentation dynamique et animé ce qui selon lui, a été communiqué à la classe. De plus, la présentation répondait tout à fait à notre objectif principal soit la sensibilisation des jeunes sur les infections transmissible sexuellement et par le sang. Les seules lacunes de notre intervention ont été les moyens utilisés et la participation équitable de tous les membres. L’enseignant nous a donné une note de cinq[2] pour les moyens utilisés puisqu’il aurait aimé que l’on utilise des modèles en trois dimensions pour montrer les parties anatomiques. Comme nous n’avions pas sous la main ce genre de modèle et que l’infirmière ne nous en avait pas offert, nous n’avions vraiment pas envisagé cette possibilité, mais il est vrai que cela aurait été intéressant. Selon l’enseignant «Elles étaient très nerveuses avant leur cours, mais elles ont su se contrôler, car elles ont donné une excellente performance.»[3]

Résultats sous la forme de tableaux Excel :

Question 1

Le langage de la présentation était clair

(1=Pas du tout, 5=Tout à fait)

Questions

Nombre de réponses

1

0

2

0

3

0

4

7

5

16

Total

23

Une majorité des élèves ont trouvé que le langage de la présentation était clair. Nous avons eu quelques questions sur des mots qui leur étaient inconnus et nous avons su les éclairer par nos réponses.

Question 2

Le cours sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang était divertissant

(1=Pas du tout, 5=Tout à fait)

Question

Nombre de réponses

1

0

2

0

3

10

4

5

5

8

Total

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