Le mal du siècle : travail de réflexion

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De nos jours des personnes comme Chris, ou comme les romantiques on en trouve partout autour de nous. En effet, nombreux sont ceux qui se mobilisent contre les conséquences négatives engendré par le progrès.

Il y a d’abord ceux qui luttent par des actions individuelles contre les évolutions de notre manière de vivre car celles-ci vont à l’encontre de leurs valeurs. Ce sont ceux qui vont choisir de se déplacer à vélo, de prendre le train plutôt que la voiture, de manger bio ou acheter uniquement local. Mais aussi ceux qui décide de changer d’emploi pour en retrouver un plus en accord avec leurs valeurs, recherchant des contacts plus humains, un rythme de vie plus respectueux de leur capacité physique ou à vivre dans l’épanouissement, leur passion.

Il y a ensuite les actions collectives de personnes qui se regroupent en associations telle que Greenpeace, WWF, … pour défendre des valeurs auxquelles elles croient : la protection de notre terre et l’importance de vivre dans le respect de cette nature qui nous accueille et nous nourrit. Ensemble, ces hommes vont se mobiliser et agir pour lutter contre les conséquences négatives du progrès technologiques, créé par des multinationales que seul le profit intéresse.

On observe également une prise de conscience à l’échelle mondial des impacts négatifs que peuvent avoir le progrès technologique sur notre terre. On pense au problème de réchauffement climatique qui amène peu à peu les grands dirigeants de ce monde à changer leur façon de penser et à poser des actes où le profit n’est plus le seul but.

Pour conclure, je pense qu’il existe bien un mal du siècle au 21e siècle. Il se définit par une société dont le mode de fonctionnement se base sur la consommation et le profit. Dans ce cadre, on peut facilement comprendre que cela engendre une compétition excessive entre les hommes et des rythmes de vie effrénés. Et même entrainement du mal être, du stress, de la dépression et des burn-out. On trouve aujourd’hui comme au 19e siècle, des gens qui refuse ce mode de fonctionnement de notre société. Seul ou en groupe, ils se battent pour un monde meilleur, plus en accord avec leurs besoins réels et respectant notre terre nourricière.

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