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La Mentalité Sénégalaise

Par   •  9 Octobre 2018  •  2 340 Mots (10 Pages)  •  366 Vues

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Sur le plan économique, nous préférons acheter les produits étranger à nos produits car nous pensons que leurs produits est dix fois mieux que le nôtre. Nous n’aimons pas consommer local. Mais aussi d’un autre point de vu nous dirons que dans ce domaine l’Etat y est carrément impliquer car nous constatons que notre argent est totalement gaspillé par nos dirigeants du fait qu’ils utilisent ce dernier pour s’enrichir et pas pour développer notre pays qu’est le SENEGAL. Les partis politiques se font la guerre pour prendre le pouvoir mais pas pour mener ce pays vers l’émergence. Ils sont égoïstes et ne pensent qu’à eux-mêmes. Ils gaspillent l’argent pour des cérémonies insensés alors que cet argent gaspillé aurait pu servir à quelque chose d’intéressant par exemple l’éducation, les enseignants font tout le temps la grève car ils ne sont pas payés ou pas bien payés. Les jeunes restent sans étudier à cause de la négligence de l’Etat. L’éducation est un domaine très sensible parce qu’il y a un proverbe qui dit : je site « dit moi quel jeunesse tu as et je te dirai quel pays tu seras ». Mais aussi cet argent gaspillé aurait pu servir à construire de nouvelles écoles, des lieux publics, des bibliothèques, des routes et même régler une partie de nos dettes en sachant que nous somme un pays très endetté. Et nos usines sont si préhistoriques et polluants qu’elles pourraient détruire une forêt entière et même c’est nuisible à notre santé à nous car nous constatons que notre espérance de vie a dangereusement diminué et les maladies qui tuent le plus au Sénégal sont liées à l’alimentation. Nous avons aussi dans ce pays le bras long, les diplômes ne comptent plus maintenant pour travailler il faut avoir des relations sinon il faudra se contenter du peu et ce n’est pas normal. Mais aussi il faut préciser que les gens diplômés commencent à se raréfier car les jeunes d’aujourd’hui n’aiment plus étudier. Ils se font la concurrence d’habillement, de smart phone mais aussi ils sont constamment sur les réseaux sociaux, ils ou elles préfèrent tisser des liens sur ces derniers que de créer des liens avec leurs cahiers. Mais aussi les professeurs en ont une part de responsabilité car maintenant ils sont plus nuls que les élèves et qu’ils nouent des relations extra scolaire avec les élèves et les parents maintenant se soucient guère de la conduite de leurs enfants ils disent qu’ils veulent que leurs enfants aient une bonne éducation alors qu’il ne contrôle même pas ce qu’ils font et maintenant à qui la faute. Sur le problème du chaumage nous sommes tous responsables car nous les jeunes, nous essayons un ou deux fois à trouver un emploi et puis nous baissons les bras, bien que nous avons quelques diplômes et que nous voulons avoir un travail digne de ce nom mais la situation oblige il y a maints emplois dans ce pays mais que nous traitons de sous job.

Sur le plan de la sécurité, par exemple le port d’armes illégales, les pistolets, bombe ou autre sont interdit c’est vrai mais à ce que nous sachions les couteaux ne sont pas interdit. Les gens se baladent avec des couteaux comme ils veulent mais personne ne se préoccupe de cela car ils considèrent cet acte comme normal. Et la criminalité aussi n’a pas baissé.

D’autre part nous avons notre communauté si malhonnête car ceux qui devaient être nos références sont en fait ceux qui dégradent notre image. En fait ces hommes de loi, de voix et de droits sont en fait les criminels malfaiteurs dissouts sous leurs grands boubous.

Et ce pays que nous considérons comme religieux…. En fait l’animisme n’a jamais quitter nos terres, nous croyons toujours à ces choses irréalisables. Bref nous avons toujours cet esprit de « Tiéddo ».

Nous disons tous que ce pays est un pays de droits alors que rien de tout cela n’est vrai. Pour dire que les droits sont réservés aux friqués.

Et ce qui me préoccupe c’est que tous est mauvais pour les gens dans ce pays dans l’ombre. Nous avons une vu infinie de la religion. Pour nous, Dieu fera tout à notre place. Ce qui freine notre savoir faire.

Dans ce pays les hommes honnêtes sont au bas de l’échelle sociale et l’enfant est considéré comme un être sans voix, il n’a pas droit à la parole. Dans ce pays que l’on considère comme un pays de mœurs, le mot « fouleu » est synonyme de méchanceté. Et dans ce pays où l’argent à battu la vérité, c’est la nature qui paye. Et encore dans ce pays où la gentillesse ne se base que sur soi-même et nous nous permettons de dire que ce pays est le pays de la « terrangua ». Oui un pays de la « terrangua » pour les étrangers mais pas entre nous.

Et j’avais presque oublié le domaine de la pêche. Il est interdit de pêcher avec les filets à maille serrées mais c’est pêcheurs sont si têtu. Ils s’en moquent alors que si cela est interdit c’est pour la préservation de la nature car pêcher avec ces filets serait tuer les petits poissons qui doivent grandir mais s’ils meurent tous, il y aura raréfaction des poissons voir même la disparition totale de certaines espèces. En parlent encore de l’environnement nous coupons autant d’arbre que nous n’en plantons alors que ces arbres nous fournissent de la pluie et de l’oxygène et couper les arbres favorise l’avancé du désert ce qui est nuisible à notre environnement. Et maintenant les quartiers sont tellement étroits que l’on ne voit même pas d’arbre.

Fini sur ces points maintenant parlons de nos différences physique Les handicapés, sourds, muets ou autre sont sous estimé alors que nous somme exactement les mêmes. Des même que Les talibés Ces pauvres enfants sans abris sont très négligés par la société. Ils airent dans les rues sans père ni mère, ils sont figurément orphelins. Ils bondissent de maison en maison pour avoir leur pitance journalière. Ces pauvres enfants sans soin ni affection parental ni même une éducation adéquate sont exposés au danger de la rue comme par exemple ils sont exposés à la drogue, le tabac, les agressions et autres. Ils sont généralement analphabètes d’où un problème d’insertion sociale. Celui qui aime son enfant ne l’amènerait jamais au « DAARA » étant conscient des souffrances qu’il subira. Si vous avez une petite lueur d’amour pour votre enfant vous ne l’amèneriez jamais dans ce lieu. Si vous voulez l’inculquer des valeurs vous pourrez le faire mais dans de bonnes conditions. A part cela chaque année le gouvernement promet de les aider mais rien jusqu’à maintenant. Il se soucie plus de leur place au sein du pays que leur devoir envers le pays. Les gens aussi

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