DC2 les temps clé du quotidien

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certains résidents, les couverts ergonomiques peuvent être mis en place afin que la personne puisse avoir de la prise dans les couverts afin de faciliter l’aide à l’alimentation.

Les dimensions culturelles :

Chaque personne à ses habitudes alimentaires. Certains mangent vite d’autres préfèrent prendre leurs temps.

Nous avons tous chacun nos préférences alimentaires que ce soit par choix religieux ou non.

Pour les résidents ils est important de respecter le rythme de chacun afin de garder leurs repères. Respecter les goûts des personnes est également important. Ainsi de ne pas oublier si il y a un régime spécifique.

En tant qu’ AMP nous devons veiller à ce que le modèle alimentaire de chaque personne soit respectée.

Présentation de la personne dans ce temps clé

Mme B. est une personne octogénaire.

Mme B. est très entourée de sa famille, son mari vient la voir tous les soirs. Elle a quatre enfants qui sont également très présents.

Elle adore les enfants et cela se ressent lors des échanges qu’il y a avec la crèche de la commune.

Mme B. est également très coquette et porte de l’importance à ses vêtements et ses produits de beauté.

Mme B. aimait beaucoup cuisiner pour sa famille qui lui est très importante car elle tenait au repas traditionnel du dimanche midi avec toute sa famille réunis.

Mme bénéficie d’une alimentation mixé.

Elle est d’origine espagnole et ça lui arrive de vouloir une conversation en espagnol.

Elle est attentionnée et aime qu’on lui donne de l’attention.

Mme adore manger mais évoque des difficultés pour manger seule.

Elle est atteinte de la maladie d’Aizheimer et ne parle plus beaucoup elle ne fais plus de phrases mais juste quelques mots.

Le mari de Mme vient souvent lors du repas du soir, il ne reste pas tout le long du repas ce qui perturbe très souvent Mme. En effet lors du départ de son mari elle est désorientée, elle se lève de table et fait le tour de la salle à manger pour le chercher. Pour qu’elle reste à table il faut rester à coté d’elle et lui expliquer que son mari est parti mais qu’il revient le lendemain et rester auprès d’elle un maximum pour la rassurer.

Mme.B présente de plus en plus d’angoisses au moment du coucher. Mme.B se pose beaucoup de question le soir, déambule dans les couloirs ce qui est dangereux pour elle car elle déambule les yeux fermés et il y a un risque de chutes important.

Mon intervention en tant qu’AMP

A l’arrivé du repas, les résidents sont invités à s’intaller pour prendre le repas.

La place de chacun à son importance donc je veilles à ce que chaque résidents soient bien installés.

J’explique à certains résidents qui ne comprennent pas pourquoi je les installent à table que c’est l’heure du repas.

Lorsque j’installe un résident je fais attention à ce qu’il soit bien installé le plus confortablement possible afin qu’il puisse s’alimenter correctement.

Chaque résident mange à son rythme je respect donc le temps du repas de chacun.

Le repas est un moment d’échange j’en profite donc pour échanger avec eux, sur le repas du jour ou je les écoutent tout simplement, la fin du repas se fini souvent par des chansons puisque certains résidents aiment chanter.

Pour Mme B. le temps du repas est un temps qu’elle apprécie, il faut tout de même lui expliquer que c’est l’heure du repas et je profite pour lui rappeler l’heure et à quel moment de la journée nous sommes afin qu’elle se repère dans le temps de la journée.

Lors de la distribution du repas Mme comprend qu’il faut manger mais ne le fais instinctivement.

Parfois Mme est très fatigué est n’arrive pas à s’alimenter seule et à donc recours à l’aide de l’accompagnant pour s’alimenter et essayé de la stimuler au maximum.

Mme est néanmoins capable de s’alimenter seule quand elle est en forme mais à toujours besoin d’un accompagnant au possible pour la stimuler.

Lorsque je l’accompagne pour le repas je lui indique ce qu’il y a dans son assiette. Je lui dit également qu’il faut qu’elle prenne la cuillère dans la main pour pouvoir s’alimenter.

Parfois seule cette phrase à la stimuler parfois non.

Effectivement il faut souvent lui mimer le geste. C’est à dire que je prend la cuillère et lui montre qu’il faut la mettre jusqu’à sa bouche.

Lorsqu’elle y arrive je la félicite et l’encourage à continuer.

Ainsi Mme B peut maintenir une certaine autonomie ce qui la valorise d’autant plus.

Evaluation

Mes actions ont été mises en place avec Mme B. afin de l’aider à reprendre de l’autonomie pour s’alimenter. J’ai pu constater un progrès par rapport à son autonomie. En effet, Mme.B, grâce à la cuillère adaptée Mme.B arrive mieux à s’alimenter seule. J’ai senti Mme.B plus à l’aise. Si la cuillère est un bon outils pour maintenir son autonomie, Mme. B a besoin d’être beaucoup stimulée en début de repas surtout pour qu’elle s’alimente seule. Par contre, la famille, très présente et malgré les explications donnés sur l’accompagnement mis en place avec Mme.B, la famille ne laisse pas Mme.B manger seule, ils l’aident à s’alimenter. Je trouve cela dommage, je ne penses pas que cela part d’une mauvaise intention mais comme on me la expliqué la famille « culpabilise » d’avoir placer Mme.B en EHPAD ( Etablissement d’Hebergement pour Personnes Âgées Dépendantes) et donc sur-protège Mme.B

Il serait donc important de travailler également avec la famille pour leur expliquer notamment les bienfaits du maintient de son autonomie.

Présentation du deuxième temps clé choisis

Mon deuxième temps clé est le moment du coucher. Le coucher est un moment

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