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Rapport sur l'hudsonia borealis

Par   •  29 Janvier 2018  •  2 021 Mots (9 Pages)  •  428 Vues

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Figure 4 Histogramme d'hudsonie transformé en fonction de l'exposition (Nord, Est, Sud, Ouest).

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Figure 5 Histograme du nombre d'hudsonie moyen par la surface terrière sur les placettes avec recouvrement minéral

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Figure 6 Histogramme du versant de la pente des placettes sans recouvrements minéral.

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Figure 7 Histogramme du nombre d'hudsonie transformé en fonction de l'exposition des placettes sans recouvrement minéral.

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Figure 8 Nombre d'hudsonie transformée en fonction de la surface terrière des placette sans recouvrement minéral.

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Tableau 2 Liste des espèces compagnes avec leur fréquence de l’hudsonie pour les placettes avec recouvrement minéral

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Tableau 3 Liste des espèces compagnes avec leur fréquence de l’hudsonie pour les placettes sans recouvrement minéral

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III-Discussion

L’inventaire effectué sur les dunes de sable du lac St-jean avait pour but de déterminer si les différentes placettes inventorié étaient belle est bien des habitats potentiel au développement de l’Hudsonia tomentosa. Espèces qui sera référé dans cette discussion par son nom vernaculaire soit – Hudsonie tomenteuse - afin d’alléger le texte. Il sera cherché ici, si les résultats trouvés permettent de reconnaitre l’habitat potentiel de l’Hudsonie.

L’Hudsonie tomenteuse est une espèce indigène appartenant à la famille des Cistaceae. Son habitat préférentiel correspond aux terrains sableux les plus exposés tels que les dunes éoliennes (Grandtner, 1993), zone ou l’inventaire a eu lieu. Ces milieu deviennent des habitats propices à ça croissance lorsqu’ils réunissent les caractéristiques suivantes : il faut un milieu xérique ainsi que très exposée à la lumière (Larouche, 2015).

A la lecture du tableau numéro 1 il est donc possible d’identifier les placettes qui ne contiennent pas une surface minérale suffisante à l’implantation de l’hudsonie, elles sont au nombre de 9 sur les 26 effectuer ce qui nous donnent sur la totalité des placettes, un pourcentage de 34 % des placettes.

Dans la figure numéro 1 c’est ici le nombre moyen d’hudsonie retrouvé sous forme de semis ou de plant en fonction du versant de la pente. Le versant de la pente qui est ici représenté par le haut de la pente, le milieu de la pente et le bas de la pente. Il est possible d’observer ici que seul les hauts et les niveaux moyens de pentes comportent des semis et en majorité des plants. En haut de pente il y a en moyenne 261 plants et 42 semis alors qu’au niveau moyen il y a 26 semis et 161 plants. Aucun plant, ni semis n’ont été rencontré en bas de pente. Cette espèce préférant les sommets de dune dégagée avec un recouvrement minéral (Petitclerc et Dignard, 2004), il est possible de dire à la vue des résultats qu’ils soient effectivement représentatifs de ce que la littérature indique comme « habitat potentiel » au niveau de sa localisation dans une pente.

Le nombre moyen d’hudsonie que l’on peut retrouver en fonction des différents profile de pentes se trouve sur la figure numéro 2. La pente se divise en 4 catégories (C : concave, X : convexe, R : régulier, I : irrégulier). On retrouve dans chacune de ses catégories aussi bien des semis que de plants matures, mais on peut dénoter un nombre moyen de plants (395) et de semis (67) bien supérieur aux autres dans la configuration d’une pente concave (X). De la même manière que pour les versants de pantes, cela confirme la littérature, car l’hudsonie est de par ca croissance en coussinet serrés une bonne fixatrice des sables éoliens et participe ainsi au ralentissement de l’érosion des dunes (Kucinski et Eisenmenger, 1943), mais elle nécessite pour cela une surface de sable stable représenté ici par le sommet de dune de forme concave, qui est la partie de dune la plus exposé au vent mais aussi qui offre la surface la plus lumineuse (Herrman et Rognon, 2010).

Situation de la pen[a]te

La figure 4 parle du nombre d’hudsonie transformée suivant l’exposition au soleil de la placette. L’exposition se divise en fonction des 4 points cardinaux (nord, est, sud, ouest). Il est possible d’observer la présence de plant mature moyen sur toute la surface, mais l’on peut observer que l’exposition la plus représentative à la vue du nombre moyen d’hudsonie rencontré (322) et l’exposition sud.

En ce qui concerne la surface terrière (figure 5), on peut constater que l’hudsonie est absente de la classe de |6 -7| mais se retrouve en grand nombre dans la classe |28-29|. Classe où l’on peut trouver 660 plants matures moyens et 140 semis moyen. C’est-à-dire que sur la plupart des parcelle extrapolé a 1 ha, l’hudsonie recouvrirais entre 28 et 29 m²[b].

Les figures suivantes soit les figures (6, 7, 8) traitent des mêmes données vue précédemment mais pour les placettes qui ne présente pas de recouvrement minéral. Aucune semis ou plants mature d’hudsonie n’ont été rencontrés sur ces parcelles la, il n’y a donc pas de donnée utilisable. On par contre en extrapoler que une zone sans aucun recouvrement minéral ne représente pas un bon habitat potentiel pour l’hudsonie.

Dans le tableau numéro 2, qui liste les espèces compagnes ainsi que leurs fréquences sur les placettes aillant un recouvrement minéral, a l’exception d’une seule espèce, elles sont toutes soit associées ou concurrente à l’hudsonie. Seul, Dicranum fuscescens avec une fréquence de 52 % ne représente

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