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Rapport de TP physiologie paramètres physiologiques

Par   •  9 Juillet 2018  •  2 001 Mots (9 Pages)  •  547 Vues

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De plus, ils constatent que les pulsations du cœur par minutes sont plus faibles chez les hommes quand ils utilisent un stéthoscope et un tensiomètre.

En fin, ils remarquent qu’il y a un écart type beaucoup plus grand chez les hommes.

D’après la 2ème figure, l’indice de RUFFIER est plus faible chez les hommes. En revanche, les écarts types sont petits et quasiment identiques chez les 2 sexes.

Selon la figure n°3, lorsque la fréquence cardiaque augmente, la capacité vitale diminue. Cependant, lorsque la fréquence cardiaque diminue, la capacité vitale augmente.

Aussi, après quelques minutes de récupération, la fréquence cardiaque et la capacité vitale reviennent à la valeur de repos.

A l’aide des mesures faites au spiromètre, ils ont calculé le Volume de réserve expiratoire (VRE) et inspiratoire (VRI). Ils observent un VRE plus important chez Loris mais un VRI identique chez les deux individus.

Sur la figure n°4 est observable le PQRST de Loris.

Selon la figure n°5, le temps que met le reflexe achilléen à apparaître après le choc du marteau est d’environ 30 ms pour chaque individu. En ce qui concerne le reflexe rotulien, il est d’environ 15 ms pour chaque personne. L’écart type pour les deux réflexes chez tous les sujets est très petit. Lorsque le sujet entend le choc du marteau, le temps de la contraction musculaire volontaire est beaucoup plus grand que celui du reflexe achilléen et rotulien et il est très variable chez les deux sexes.

Un très grand écart-type est observable dans ce cas-là. Pour finir, lorsque le sujet voit le choc du marteau, le temps de la contraction musculaire volontaire est soit plus grande soit inférieur à celui du reflexe achilléen et rotulien et il est encore très variable chez les deux sexes. Un très grand écart-type est encore présent dans ce cas-là aussi.

- Discussion & conclusion

D'après les résultats de la figure n°1, la FC varie selon plusieurs cas de figures. Ces fluctuations sont dues à de nombreux facteurs tels que la précision d'un instrument de mesure. Par un exemple, un tensiomètre sera plus précis qu'un stéthoscope. De plus, l'activité sportive influe sur la FC, elle sera plus basse chez un sportif que chez un sédentaire. Et au contraire, un fumeur aura une fréquence cardiaque plus élevée. Ainsi, la FC varie d'un individu à l'autre mais aussi constamment chez une même personne (état émotionnel, activité, position de référence, etc.…) et aussi d'un sexe à l'autre, elle sera plus élevée chez une femme que chez un homme. Cependant, ces observations ont été faites sur un échantillon très faible pour en faire une généralité.

Pour l'indice de RUFFIER, il consiste à calculer le temps de récupération après un effort. Selon l'histogramme n°2, les hommes possèdent une meilleure récupération sportive que les femmes. Cette variation peut être expliquée par une différence de taille entre les hommes et les femmes mais aussi par une régulation hormonale qui n'est pas la même pour les deux sexes.

Concernant la courbe cinétique de la FC et celle de la capacité vitale : Lorsque l'individu sort d'une activité sportive, sa fréquence cardiaque est plus élevée qu'au repos parce qu'il a besoin d'oxygéner davantage son organisme. Pour cela, les poumons voient leur capacité vitale augmenter pour recueillir un maximum d'O2. Pendant ce temps, la FC tend à revenir à sa valeur de repos, puis les poumons finissent par récupérer leur volume initial.

En fonction du tableau des mesures faites au spiromètre, Loris possède un VRE supérieur à celui de Cheyenne (2300cc contre 1484cc), cette variation est surement due à la taille de Cheyenne, celle-ci étant plus petite que Loris, le volume de ses poumons est peut-être inférieur à ceux de son camarade. D’autre part le VRI des deux individus est exactement identique. Il est possible que Loris n’est pas inspirer à fond lors de la manipulation.

Grâce à l'analyse du complexe PQRST, il est possible de comprendre le schéma électrique du cœur. Un signal électrique est émis jusqu'aux oreillettes afin qu'elles se contractent, c'est la dépolarisation (signal P → diastole). Puis, le signal électrique continue son chemin vers les ventricules (signal QRS → systole). Pendant ce temps, il y a repolarisation des oreillettes pour qu'elle reviennent à leur potentiel de départ. Ce signal P n'est pas observable parce qu'il est nettement inférieur au signal QRS. Enfin, vient la repolarisation des ventricules (signal T → diastole précoce). A l'aide de ce système électrique, il est possible de calculer sa FC en fonction de la période du signal R.

Selon la figure n°5, le temps du réflexe achilléen est deux fois supérieur à celui du réflexe rotulien parce que le signal électrique doit parcourir deux fois plus de distance (Cf. calcul influx nerveux). Le coup donné sur le tendon achilléen étire le muscle déclenchant ainsi un signal émis au niveau de la fibre neuromusculaire par un neurone sensitif et il est ensuite envoyé jusqu'à la plaque motrice de la moelle épinière, puis l'information est ensuite renvoyé par un neurone moteur jusqu'au muscle pour qu'il se contracte. Cependant, pour le réflexe rotulien il a deux fois moins de distance à parcourir jusqu'au centre nerveux. Ce réflexe est nommé réflexe myotatique, il est donc involontaire. Il est principalement utilisé pour maintenir la posture d'équilibre. D'après les deux autres manipulations, le temps de la contraction musculaire est fortement supérieur au réflexe car elle est volontaire. En effet, le signal électrique doit aller jusqu'au cerveau afin que l'information soit traitée et renvoyée jusqu'au muscle. Néanmoins, lorsque le sujet voit le coup du marteau sur la table, il anticipe généralement le choc, et par conséquent, il contracte plus rapidement son muscle que s'il se focalisait uniquement sur le son de l'impact. Dans certains cas, il anticipe tellement qu'il contracte son muscle avant même que le marteau n'est touché la table (Cf. Dylan → 0ms).

[pic 25]

En conclusion, les paramètres physiologiques ne peuvent pas être généralisés parce que ils varient d’un individu à un autre et c’est pour cela que de très grands écart-types sont observables. Excepté pour les

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