Expliquer le réchauffement climatique actuel.

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changent et il y a une augmentation rapide et brutale du taux de CO2.

En effet, lié à l’utilisation des combustibles fossiles (pétrole, charbon, gaz), il y a un rejet de carbone (sous forme de CO2) dans l’atmosphère. Ce taux a commencé à augmenter fortement dès les années 1850 pour atteindre au total 6.5 GT de carbone émis par an, alors qu’avant 1850 ce taux rejeté était nul. Cette augmentation brutale est donc du au mode de vie de l’Homme.

D’après un tableau présentant les origines actuelles du méthane atmosphérique, on constate que le méthane est produit par des sources naturelles (zones humides, termites etc) et des sources liées à l’Homme (rizières, bovins etc). Mais, ce sont les sources liées à l’homme qui rejettent le plus de méthane (2 fois plus de CH4 que les sources naturelles).

Un des documents présente ensuite les variations du méthane dans l’atmosphère. On constate qu’entre - 800 et 0 milliers d’années, ce taux ne dépassait pas le seuil de 800 ppb mais dès 0 milliers d’années, ce taux a brusquement augmenté jusqu’à 1790 (plus du double). Ce qui confirme le constat fait dans le document présentant l’évolution millénaire de la teneur de l’atmosphère en certains gaz.

BILAN: A l’échelle du milliers d’années, la Terre connaît 2 types de périodes qui s’alternent : des périodes glacières à température basse et des périodes inter-glacières à température modérée ou élevée. Donc, de façon périodique, il y a naturellement des réchauffements climatiques sur Terre qui causent par exemple la fonte de la banquise en Antarctique.

Première explication, la Terre reçoit de grande quantité d’énergie solaire mais cette quantité reçue varie en fonction de la position de la Terre par rapport au Soleil. Donc, plus la Terre reçoit d’énergie solaire et plus la température de surface est élevée, ce qui peut dans un premier temps expliquer en partie un réchauffement climatique qui commence dès que la Terre reçoit la quantité maximale d’énergie solaire.

Ensuite, on sait qu’il existe une méthode permettant de retrouver la composition atmosphérique de l’air datant d’il y a des milliers d’années grâce au phénomène d’air emprisonné dans des pores fermés en très grande profondeur. Ainsi, grâce à cette méthode, on peut retrouver connaître les variations de la composition atmosphérique.

Et, parmi les composants qui constituent l’atmosphère terrestre, on a des gaz dits à effet de serre.

Le CO2, l’eau et le méthane sont des gaz à effet de serre.

On a constaté grâce à la méthode, que leur variations étaient périodiques. Ces gaz absorbent en faite les radiations infra-rouges. Et, plus l’atmosphère absorbe des radiation infra-rouge et plus de la chaleur est bloquée et plus la température de surface de la Terre augmente.

Ce qui explique donc pourquoi il y a des réchauffements climatique périodiquement sur Terre, car le taux de CO2 (forte absorbance atteignant les 100%) et de méthane aussi (capacité d’absorbance moins forte mais conséquente) varient de façon périodique donc quand leur quantité est maximale alors la Terre absorbe la plus grande quantité d’infrarouge qu’elle peut, ce qui cause une augmentation de la température sur Terre. La température est donc contrôlée par le mécanisme de l’effet de serre. Ce qui explique donc l’alternance des périodes glacières et inter-glacières.

Mais dès la révolution industrielle, le taux de CO2 et de méthane a brutalement augmenté. En effet, l’Homme bouleverse le phénomène naturel d’alternance périodes glacières et inter-glacières car l’Homme produit une quantité énorme de méthane et de CO2, à cause d’une forte consommation du pétrole ou des élévations importantes de bovin par exemple. Donc à cause de lui, il y a une quantité anormalement élevée de gaz à effet de serre dans l’atmosphère qui bloquent en grande quantité de la chaleur réémise par la Terre. Donc, l’Homme, actuellement, accélère le réchauffement climatique et le prolonge.

En clair, le réchauffement climatique est dû à une quantité maximale d’énergie solaire reçue par la Terre, l’effet de serre et l’Homme qui accentue

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