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La nourriture spatiale.

Par   •  30 Mars 2018  •  2 079 Mots (9 Pages)  •  404 Vues

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Mais si nous voulons envoyer une navette vers l’ISS celle ci doit entrer en orbite, et donc la fusée doit fournir énormément d'énergie durant cette étape pour atteindre une vitesse de 7.846km/s, il faut alors 45L de carburant afin de répondre à cette contraintes.

Mais comment envoyer ce carburant dans l’espace? Il faut alors rajouter 45l d’essence afin de pouvoir envoyer la fusée, c’est donc un cercle sans fin. Les fusée libère aujourd’hui énormément d’énergie des le décollage la fusée Sturne V etait pourvu de 1.2 millions de L de carburants pour 100 tonnes de charges utile, c’est pourquoi il est important de réduire la masse et la taille de la nourriture afin de pouvoir résoudre plus facilement ce problème en réduisant la taille de la fusée et son poids.

Il existe plusieurs véhicule de transfert automatique, Progress pour les russe, HTV pour les japonnais,Space X, Dragon et Cygnus pour les américains et l’ATV de l’ESA (Automated Transfer Vehicle), qui est un vaisseau cargo pouvant transporter 7.7 tonnes de marchandises dont de la nourriture, 840kg d’eau potable, 4500kg de fret stockable.

5)La conservation

Il existe de nombreux moyen pour conserver les aliments dans l’espace , comme la conserve ou la lyophilisation. Chacun présente des avantages et des inconvénients . Les conserves, sont appétissantes et rappelle la vie sur Tere mais sont bien plus périsable que des produits déshydrater qui ne coute presque rien a produire mais qui reste anecdotique (fruits et arachides), ou des produits lyophilisé qui coute plus cher a produire mais qui utilise un procédé aquis pour tous les aliments, sauf les viandes, les nutritionnistes spatiaux recours alors à l’irradiation, un principe qui consiste à exposer des aliments à des rayonnements ionisants(rayon capable de déposer assez d'énergie dans la matière, qui sont créer à partir d’élément radioactif et qui sont très nocif pour les micro-organismes comme les bactéries). afin de réduire le nombre de micro-organismes qu'ils contiennent.

Nous avons donc décidé d’entreprendre des expériences sur ces moyens de conservation. Pour commencer nous avons réalisé une lyophilisation. Le principe de la lyophilisation peut paraître compliquer au premier abord, il y a pour commencer la congélation , les aliment sont descendu a une température de -20 à -80°, l’eau passe alors d’un état solide à liquide. Puis on procède a la mise sous vide pour pouvoir réaliser la dessiccation primaire, la glace est alors sublimer, puis on exerce la dessiccation secondaire, permettant d’extraire par désorption (séchage) les molécules d’eau piégés à la surface des produit séché. Finalement le produit lyophilisé ne contient que 5 % de sa concentration en eau initial. La sublimation se produit à des pressions proches de 6 hectopascals, mais notre cloche a vide atteignait,elle, seulement 256 hectopascals, nous savions alors que le résultat escompté ne serait pas parfait. Nous avons enfermé un morceau de banane+ du jus d’orange et nous avons laissé cette cloche dans un frigo à environ -6° ce qui ne suffisait pas non plus car nous devions atteindre la température d’environ -20 à -80°.

Léo : Nous avons aussi préparé une déshydratation, cela consiste à retirer toute l’eau d’un aliment en le mettant dans une étuve à 40° durant 1 semaine. Après une semaine de pause nous avons retrouvé nos différentes expériences. La déshydratation à beaucoup mieux marché que la lyophilisation du a des conditions meilleures. La banane déshydraté este passer de 24g a 7.7g cela équivaut donc de 2 tiers de sa masse passant 7ce qui est satisfaisant, comparé au jus d’orange qui a seule²ment perdu 20% de son volume passant de 50ml a 40ml.La lyophilisation a donc moins bien marché la banane a perdu la moitié de sa masse en passant de 24 à 11.1g et le jus d’orange est passer de 50ml a une résultat presque similaire de 47ml.)

Pour les gouts, ceux-ci varie selon les régions, Les Russes préfèrent les conserves aux produits lyophilisé car ils ont plus de goût et son plus appétissants. En effet, les produits en conserve qui viennent de Russie sont de grande qualité et regroupe du caviar et d’autres produits nobles .Les américains et les européens privilégie les produits lyophilisé car ils prennent bien moins de place, sont moins lourds, et se conserve plus longtemps. Le principe de la conserve est assez simple, puisqu’il s’agit seulement d’une stérilisation. C’est à dire chauffé les aliments à une température supérieur à 100°C pour éliminé toutes les germes microbiennes. Puisqu’ils sont conservés dans une conserve hermétique il n’y a aucun contact avec l’extérieur donc il n’y presque pas de détérioration. La conserve peut être envoyée dans l’espace sans risque mais la qualité nutritionnelle laisse à désirer puisqu’elle détruit aussi 40-80% des vitamines.

6)mission extérieur

A bord de l’ISS des missions extérieur sont fréquemment effectuer, celle-ci peuvent durer plusieurs heures, et l’alimentation doit quand même rester constante. Les organismes spatiaux ont donc mis au point des combinaisons adapter à l’apport de nourriture. Tout d’abord des réservoir d’eau sur le coter et dans le dos afin de s’hydrater, ce système est relié a un tube reliant ces conteneurs au casque, cette eau est enrichi en glucose afin de combler les carences durant l’effort .Pour se rassasier les astronautes ont a leur disposition, des barres fruités ressortant d’un receptacle, depuis lequel ils les tirent afin de les manger, et combler leur faim.

7)conclu

Enfin, la technologie alimentaire peut sembler simple par rapport à la complexité des systèmes de fusées et de contrôle du climat, mais le bien-être physique et mental des astronautes fait partie du succès de la mission, et celle-ci dépend de détails aussi petits que du cheddar lyophilisée à tartiner .(c dla merde)

Aujourd’hui , la nourriture franchi une nouvelle étape avec les cultures de légume dans l’espace. Même si l’expérience a été mené sur de la salade, il est possible de l’appliquer à d’autres légumes (petit poids) comme le projet Veggie 01

L’été dernier, la première salade a été cultivé dans l’espace à bord de l’ISS. Chose plutot anodine sur terre mais qui s’avère être un exploit quand il s’agit de culture en orbite.

Cette prouesse à put être accomplis grâce à un incubateur.( diapo avec une photo d’incubateur). Cette appareil est constitué d’une

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