Sujet: «expliquez l'influence de l'origine sociale sur la destinée scolaire»

...

→ Le capital et donc la situation économique de la famille a également une influence sur la destinée scolaire. Qui dit capital économique dit aussi travaille, ainsi les parents avec les meilleurs travaux gagne plus et on observe dans le document 3 que en 2013 plus le niveau du métier est élevée plus leurs enfants auront la tendance a choisir une série général. Et sur 100 bacheliers fils d'ouvrier, en 2013, seulement 35% vont choisir une filière générale contre 77% pour les cadres ou professions intellectuelles supérieures, Les raisons qui explique cette écart est que les familles moins aisé dispose de moins de moyen pour transmettre le capital culturelle et ainsi le logement, l'espace de travaille et toutes ces dépenses influent sur ces conditions de vie, donc d'apprentissage et réussite scolaire.

→ Ces deux capitaux transmis par la socialisation sont donc essentielles pour une réussite scolaire, mais pourtant l'égalité des chances n'est pas présente et nous remarquons bien que les milieux sociaux favorisé sont relativement plus avantagé que les population défavorisés. La transmission de la culture et de l'argent forme aussi l'origine sociale et l'on voit bien que cela influence; que tout les individus ne possède pas les mêmes même chances face au parcours scolaire.

→ Cette influence, qu'elle sois positive ou négative à alors des conséquences sur la destinée scolaire des enfants. Cette influence, si elle est négative, n'est pas forcément voulu mais indirectement l'enfant en fait les frais pour son avenir scolaire et même pour son avenir sociale. On remarque même dans le document 3 que le système éducatif français se caractérise par une forte sélection sociale avec près d'un élève sur deux qui a des parents cadres supérieure alors que les fils d'ouvrier sont beaucoup moins présent (environ 5% seulement) et dans le document 1 on observe que les retard scolaires sont beaucoup moins fréquents si on de nationalité française, de milieux favorisé, vivant hors ZUS,

→ Finalement les conséquences sont très clairement mis en avance dans le document, on remarque donc que les individus qui réussissent le mieux sont ceux avec les meilleurs conditions sociales, culturelles, et économiques. L'enfant dépend alors de son origine sociale et la conséquence majeur est celle de l'inégalité des chances avec un écart considérable entre ces origines sociales.

CONCLUSION

→ En conclusion, la socialisation primaire et la socialisation familiale transmettent les capitaux économiques et sociaux formant l'origine sociale. Cette origine sociale se caractérise donc par de nombreux facteurs avec un rôle déterminant de la famille et du milieux social qui influence donc le comportement et l'avenir de l'enfant indirectement car les ressources qu'il possède dépendent et se transmettent selon les catégories sociales. La destinée scolaire des enfants est alors mis en jeu. On ne parle alors plus d'égalité des chances mais plutôt d'inégalité des chances qui font que l'origine sociale influence et que plus celle des élèves est élevée et favoriser, plus la réussite scolaire sera importante. Ainsi les parents influent sur l'origine social qui elle influe sur la socialisation (qui transmet le capital culturelle, social et économique) et qui elle-même influe sur le parcours scolaire, creusant les inégalités face à l'école.

→ Face à ce phénomène, l'institution scolaire peut alors avoir du mal a assurer sa principale mission, rétablir une égalité des chances et donc l'égalité de la destinée scolaire et sociale.

...