Une politique d’emploi active

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donc à la baisse du chômage en France mais celle-ci reste peu envisageable. Il évoque aussi une possibilité qui serait de baisser le coût du travail ce qui permettrait de recruter plus de personnes pour un coût équivalent au final et donc produire plus. De surcroît, il met en évidence aussi la solution qui serait d’inciter les personnes à se mettre à leur compte mais pour cela faudrait-il que leur avenir soit assuré ce qui n’est malheureusement pas le ça de nos jours. Il y a aussi les emplois aidés misent en place depuis quelques années qui limitent les impacts négatifs sociaux du chômage. Monsieur DUVAL évoque aussi le temps de travail qui pour lui est trop important et si celui-ci était réduit cela limiterai le nombre de chômeur contrairement à ce qui est fait de nos jours, c’est-à-dire encourager les gens à travailler de plus en plus en faisant des heures supplémentaires, le montant de ces heures supplémentaires payées pourrait à la place financer des milliers d’emplois supplémentaire. Répartir le nombre d’emplois par rapport au nombre d’heure travaillée pourrait être une possibilité non négligeable. Enfin d’après lui, encourager les personnes actives le plus âgées à anticiper leur départ à la retraite pourrait être aussi une possibilité pour lutter contre le chômage.

5. La phrase de Michel DELEBARRE « On veut faire continuer à travailler les plus vieux alors que tant de jeunes ne demande que cela ! (…) Alors que le financement des retraites ne sera solide que s’il y a de l’emplois » signifie beaucoup. En effet, l’âge du départ à la retraite est un débat en France et est envisagé d’être repousser à 65 ans. Lorsqu’on le regarde les statistiques selon l’âge et le statut des emplois, l’on remarque que les 50 ans et plus possèdent en grande partie la part des CDI tandis que les jeune de 15-25 ans eux en possèdent un minimum, de plus il ne faut pas oublier que la France est un pays vieillissant notamment à cause du baby-boom d’après la seconde guerre mondiale et les années qui ont suivies et que par conséquent les personnes dîtes âgées sont plus nombreuses que les jeunes, ceci handicape sérieusement l’entrée des jeunes dans le monde du travail et de la vie active car si l’on peut dire cela ainsi « il n’y a pas de place pour eux » car ces places sont déjà prises. Ce que veut dire Michel DELEBARRE par cette phrase c’est que « les plus vieux » devrait laisser leur place aux jeunes car les retraites sont subventionnées notamment par le travail des actifs plus jeunes qu’eux, et par conséquent si les jeunes sont majoritairement au chômage alors qu’ils sont en demande de travailler alors le financement des retraites ne sera pas satisfaisant pour les « plus vieux » lorsque le départ à la retraite aura sonné.

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