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L'histoire de la pensée économique, politique économique

Par   •  31 Octobre 2018  •  2 277 Mots (10 Pages)  •  362 Vues

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Les plus pauvres font le plus d’enfants pour lui et ils ne sont pas assez vertueux pour éduquer leur enfant ce n’est pas à l’état de le faire.

Les allocations aux pauvres font que plus de pauvres restent vivants, pour lui il faut donc rien donner aux pauvres comme cela ils meurent et il y aura donc moins de pauvre (vu que les enfants de pauvres seront pauvres…)

Bosersup, pour lui il faut faire moins d’enfant pour ne pas partager les richesses en trop gros. Les enfants sont donc des richesses pour lui.

- Les néo-classiques

-Marshall

-Walras

Le prix des biens ne dépend pas seulement des coûts de production des biens, elle dépend essentiellement de l’utilité marginale des biens c’est à dire que le premier bien que l’on veut par exemple une voiture on va la payer plus cher quand c’est notre première que si c’est pour une deuxième voiture sauf exception si la voiture à quelque chose en plus que la première voiture que nous avons déjà.

La réflexion se fait sur tous les marchés (sur le marché du travail, l’utilité marginale du dernier salarié)

Pour les néo classiques le salaire maximum correspond à la production marginale du dernier salarié.

Walras parle de la théorie de l’équilibre général ou l’état ne doit pas intervenir car le marché s’auto régule.

Il y a 4 marchés interdépendants :

-Marché de production : offre et demande de produit. La confrontation entre offre et demande permet de définir le prix.

-Marché du travail : offre et demande de travail. C’est la confrontation entre l’offre et la demande de travail. Sur le marché du travail on va fixer le salaire en fonction de et la demande. L’offre de travail est croissante selon le niveau de salaire.

Lorsqu’il n’y a pas de rigidité sur le marché du travail donc qu’il y de la flexibilité sur le marché du travail, le chômage existant est un chômage volontaire car les personnes refusent de travailler pour le niveau de salaire qu’est trop bas sur ce marché.

Donc toutes les aides sociales ont pour effet d’augmenter le chômage volontaire.

-Marché de la monnaie : équilibre entre ceux qui ont des capacités de financement et ceux qui ont des besoins de financement. La confrontation permet de fixer un taux d’intérêt. Pour les libéraux la monnaie n’est qu’un voile (cela n’a pas d’effet sur l’économie, cela augmente juste les prix)

Et pour Keyns l’inverse.

La banque centrale européenne ne doit pas financer les dettes publiques.

-Marché des échanges extérieurs : équilibre entre importation et exportation, on parle de balance des transactions courantes. Le taux d’échange est fixé grâce à cette confrontation.

La valeur de l’euro est analysée avec l’ensemble des pays de la zone euro.

- Les libéraux au début du 20ème siècle

Les économistes de l’offre ont influencé Thatcher.

Les monétaristes ont eux influencé Reagan.

Les économistes de l’offre vont dire que l’offre influx sur la demande, ils s’opposent au Keynésiens. Pour eux la politique de l’état prélève trop de charge. Favoriser l’offre permet de réaliser plus de bénéfice.

Si on produit plus, plus vite on peut vendre moins cher et donc plus de productivité. (Gain de productivité)

Une partie des entreprises britannique qui auparavant étaient soutenus à cause des difficultés qu’ils avaient au début ont perdu l’aide de l’état.

Les conséquences sont que les entreprises sont en difficultés et font faillites.

1er limite : désindustrialisation

2ème limite : moins de salarié et plus de dommage (aggravation de la pauvreté)

Pour les monétaristes la crise a pour unique cause l’inflation (une hausse des prix trop importante) la hausse des prix n’est pas homogène, l’entreprise ne peut plus anticiper rationnellement. Il suffit de lutter contre l’inflation des prix pour lutter contre la crise.

En 81 le taux d’inflation Français était de 40%.

Echec des politiques monétaristes car malgré la baisse des prix il n’y a pas eu de croissance, donc ce n’est pas la seule cause de la crise.

- Les néo néo classiques

Ils tirent des conséquences des politiques économiques des monétaristes, c’est à dire la théorie doit évoluer, il faut lutter contre l’inflation mais pas seulement, il faut aussi réduire l’intervention de l’état, mais certaines sont impossibles à enlever.

L’état décide de baisser les allocations chômage des chômeurs qui ne voulaient pas être formé pour trouver un travail mieux ce qui résoudrait le problème de l’équilibre sur le marché du travail.

L’état doit soutenir les entreprises innovantes mais aussi la recherche.

III – Le courant socialiste

Au 19e s les méfaits du libéralisme économique, notamment les conditions de travail des ouvriers entraîne : Dégradation cond° travail en usine, et dégradation des conditions de vie près des usines dn nvx centre urbains → Baisse de l’espérance de vie.

Dn ce contexte de nombreux économistes ont estimés que la propriété privée était la source de ces nvlles difficultés. Pour le courant socialiste il faut supprimer la propriété privée des moyens de productions -> Ceux qui les possèdent exploitent ceux qui travaillent pour eux → L’égalité ne peut exister.

Marx défini courant socialiste et le divise en 2 parties :

A) Les utopistes

Trois auteurs principaux qui ont encore une répercussion aujourd’hui :

Proudhon → Ceux qui possède la propriété,

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