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Approche libéral vs approche keynésienne, qui a raison ?

Par   •  31 Mai 2018  •  946 Mots (4 Pages)  •  450 Vues

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Les solutions a la crise des subprimes (échec keynésien et solution libérale)

Tout d’abor les états unis on voulu contrée la crise en mettant une politique de relance en plus, au début, les effets sont positifs mais elle c’est vite confronté au sphère immobilière et financière qui sont deux secteurs très touché par la crise. Ce qu’il aura gagné avec cette politique dans ces deux secteurs aurai été perdu dans un autre secteur. Les effets ont été positifs pendant 6 trimestres (de fin 2007 à mi-2009) duré de récession.

En 2011 M.Obama décide de mettre un brusque resserrement financière qui au vue des résultats, était nécessaire. Par la suite la FED (banque central américaine) lance des achats massifs de Treasury Bonds qui se décompose en 2 étapes.

Quantitative Easing: le quantitative easting et une politique d’achat massif dans un ou plusieurs secteur(s)

Alors que l’économie était encore faiblarde la Maison-Blanche avait été contrainte de resserrer sa politique budgétaire, pour compensé cela la FED décide de relâcher ca politique monétaire en mettant en place à un Quantitative Easing de haute intensité. Cette mesure et mise en place en aout et a la fin de 2013 il avait déjà investit 1 000 milliards de dollars.

En avril la FED décide de quitter la QE3 alors que personne ne s’y attendait, en réalité il était rattrapé par le resserrement budgétaire. Et la chute de l’or qui passe de 1750 dollars à 1400 dollars. La mesure de quantitative easting avait pour but de ne pas perdre le statut privilégier du dollar et d’évité un crise systémique économique et financière.

Pour conclure sur la crise de 2008, les états unis on réussi se sortir plus ou moins de la crise en grande parti grâce au libéralisme, il faut donc qu’il continue dans se sens la, mais pour de meilleur résultat il faudra que la FED et la maison blanche prennent des mesures en se consultant, pn voit que les mésures mises en place par l’un gène les mesures prisent par l’autre

Conclusion : ont voit avec ses deux exemples de crise on peut conclure qu’il n’y as pas une approche meilleurs que l’autre, il faut adapter les deux approches en fonction de l’environnement, du pays, de la nature de la crise et ensuite de son époque. Aujourd’hui nous vivons plutôt dans un monde plutot libéral mais, avant le monde était plutôt keynésiens, c’est la mondialisation qui a fait passer le monde keynésiens a un monde plus libéral.

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