Etude de cas blablacar

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Le prix quant à lui défie toute concurrence avec le kilomètre à moins d’un euro, des trajets comme Nantes-Rennes reviennent à 5 euros ce qui est équivalent à deux tickets de métro parisien. De plus le site propose des plusieurs options de voyage avec des fourchettes de prix adaptés à chacun. Ainsi l’utilisateur peut choisir non seulement le type de voiture dans lequel il veut effectuer son trajet, mais aussi l’ambiance : une personne bavarde ou non, qui aime écouter de la musique ou pas du tout etc...

Le site de covoiturage se positionne clairement sur son idéologie écologique, il met à des dispositions de ses clients une calculatrice de prix du trajet et des kg de CO2. Pour cela il a reçu de nombreuses récompenses notamment le trophée du business vert. la marque valorise la démarche « green et anti-gaspillage » et participe à un programme de préservation de forêt

La marque se positionne sur des valeurs fortes « convivialité, économie, écologie » avec de nombreux témoignages sur le site, des clients ambassadeurs, ce qui valorise l’échange entre ceux qui ont déjà utilisé le covoiturage.

En conclusion, après avoir fait une analyse internet de l’entreprise Blablacar, on peut affirmer que ses forces sont l’image d’une entreprise convivial efficace, une clientèle fidèle, un dynamisme et une capacité d’innovation. Ses faiblesses, en revanche regroupe notamment le manque flexibilité que les paiements en ligne fournissent qui peut créer des risques de sécurité et ainsi provoquer des réticences. La communication qui se base essentiellement sur les réseaux sociaux et pas assez les supports classiques ce qui favorise le e-marketing et provoque la réduction des cibles potentielles, notamment les seniors qui ne sont pas familiers avec les réseaux sociaux.

Intéressons-nous maintenant à l’Analyse externe du Figaro.

B. Analyse externe

- Le Consommateur

La France est l’un des pays où les habitants lisent le plus la presse : en effet, selon « L’Express », 71% des Français lisent chaque jour la presse, et 91% disent lire au moins un magazine ou un journal par mois.

L’étude ayant portée sur les lecteurs de la presse d’une manière générale révèle que la moyenne d’âge des utilisateurs de presse se situe entre 35 et 50 ans.

En ce qui concerne la marque Figaro - c’est à dire : Le Figaro Magazine, lefigaro.fr, Madame Figaro, et bien entendu le quotidien – on compte environ 5 millions d’utilisateurs (types de consommateurs qui consomment le produit).

Ainsi, la marque Figaro connaît une augmentation de ses consultations de 10,4% selon Audipresse. En termes de statistiques, cela revient à dire qu’un Français sur 10 âgé de 15 ans et plus est utilisateur de la marque Figaro.

Concernant la presse écrite du Figaro, c’est à dire le quotidien Figaro en lui-même, on compte 1,28 million de lecteurs.

Ce chiffre a augmenté de 7,4% ce qui signifie que les Français ont porté un intérêt plus grand pour la presse écrite d’actualité, de culture et de politique ; et notamment pour le magazine Figaro.

Cependant, depuis 2006, le Figaro a lancé son site en ligne. Il est d’ailleurs le premier journal d’actualité, de politique et de culture à avoir lancé ce concept. Suite à cela, les chiffres ne mentent pas : 7 millions d’internautes chaque mois. Ainsi, le lancement du Figaro sur support numérique peut expliquer l’élargissement de la clientèle et peut surtout expliquer le constat du rajeunissement des lecteurs du Figaro : la catégorie d’âge des 35-49 ans a augmenté d’environ 12%.

De plus, ce sont quelques 6 millions d’exemplaires qui sont vendus chaque semaine.

Le Figaro est un journal dit « de droite » ; son achat est donc influencé par une opinion politique. En effet, nombreux sont les commentaires négatifs provenant des Français partageant une opinion politique de gauche. Ainsi, le choix du Consommateur quant à l’achat du Figaro va être influencé par son entourage et son milieu social.

Ainsi, les Consommateurs du Figaro vont être définis par leur âge (35 – 50 ans), leur sexe (création de Madame Figaro davantage créé pour les femmes), ainsi que leur milieu social et/ou culturel (opinion politique).

De plus, le support papier ou numérique permet de répondre aux différentes attentes des différents consommateurs.

2. L’environnement ou le PESTE

Politico-légal :

En France, la réglementation pour la presse est définie par la loi de la liberté de la presse du 29 juillet 1881. En effet, si la presse a longtemps été contrôlée par le biais des nombreux régimes qui ont gouverné la France ; tels qu’avec Napoléon Bonaparte ou avec le Maréchal Pétain, elle est aujourd’hui libre et indépendante de l’État. Cependant, tout acte de délit de presse, qu’il soit contre les personnes publiques (Président de la République par exemple) ou contre les personnes (un citoyen), est puni par la loi. Il en va de même pour tout acte de diffamation (article 29 de la loi du 29 juillet 1881), de provocation (article 24 de la loi du 29 juillet 1881), ainsi que de mauvaise foi.

De plus, quelques informations essentielles doivent apparaître dans chaque numéro de la revue de presse (nom de l’entreprise éditrice, son représentant légal, son siège social, le nom du directeur de la publication…) de manière à ce que le lecteur puisse en prendre connaissance.

Économie :

En France, la presse est essentiellement distribuée par deux entreprises :

- Presstalis, qui distribue une partie de la Presse Quotidienne Nationale (PQN)

- Transport Presse, qui distribue l’autre partie de la PQN

- Les Messageries lyonnaises de presse (MLP), quant à elles, portent leur distribution sur les magazines mensuels et trimestriels, ainsi que sur quelques hebdomadaires.

La presse touche une partie de ses revenus, de ses recettes grâce à la publicité qu’elle diffuse. En effet, les différentes revues de la presse présentent en leur sein plusieurs pages consacrées à la publicité ce qui leur permet d’augmenter considérablement leurs recettes.

Le chiffre d’affaire de la presse en France s’élève

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