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UNE INVITÉE ET UNE JEUNE FILLE DE LA MAISON

Par   •  9 Novembre 2017  •  7 850 Mots (32 Pages)  •  660 Vues

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- La sexualité en dehors du mariage est très rare et intensifie la mise en question de l’autorité des agnats aînés sur ceux qui en dépendent

- Les femmes bédouines ne dépendent jamais vraiment de leur mari car elle garde un contact avec leur propre paretné paternel, leur affiliation tribale.

- Lors de mariage, même s’il ya une grande diversité de personnes parmi celles qui arrangent les mariages, les hommes semblent jouer un rôle plus important dans les mariages de tribus de Statis élevé ; alors que les femmes ont plus à dire dans les mariage à moindre fortune.

- Les Bédouins n’évoquent jamais le mot mariage dans les termes d’arabe courants car ce sont des hallucination direct à l’appariement ou à l’accouplement, donc la sexualité, ils préfèrent le terme dresser une tente ou une maisonéé, ou bâtir une maison.

- LE HASHAM RÉEXAMINE : LA DÉFÉRENCE ET LE DÉNI DE LA SEXUALITÉ : plus les femmes sont capables de nier leur sexualité, plus elles sont honorable parler d’une femme comme de quelqu’un qui tahashshamer, et évoquent à la fois les sentiments qui motive la bienséance sexuelle et les comportements qui vont avec, est le plus grand des compliments. La femme pudique ne montre aucun intérêt pour l’homme, ne fait rien pour l’attirer de par son comportement ou son habillement, qui dissimule tout indice de quelconque attachement, qui soit sexuel ou romantique (même dans le mariage). Elles ne se rendent pas au marché et n’apparaissent pas lors de visite d’étanger.

Les vieilles femmes se plaignent que les jeunes filles ne soient plus aussi pudique qu’elles, elle ont des voiles de tissus plus fins et pire, elles relèvent la tête et parlent aux hommes à travers leur voile.

- Les filles ne doivent pas être heureuses de se marier, au contraire, elles doivent faire semblant de pleurer, de se débattre, plus elle le font plus leur honneur est « garder ». Si une jeune fille participe à un mariage elle ne doit pas applaudire et crier sinon leur maman raillent « à quoi t’interesses-tu si fort ? Attends-tu le jour de ton propre mariage ? ». Donc une fille qui tahashshame pleure lorsqu’elle entend que quelqu’un est venu demander sa main.

- Les femmes pudiques dissimulent leur attachements, sexuels ou romantique. Les bédouins n’aiment pas entendre une femme se plaindre que son mari reste plus longtemps avec une autre épouse, c’est un désir ou un intérêt excessif envers leur mari. Pour préserver leur réputation les femmes vont s’exprimer en terme matériels, se plaignant d’avoir une inégalité dans la répartition des biens matériels

- Les principales forces intérieur que les hommes doivent m’aîtriser sont la peur, la douleur, la faim et la dépendance. C’est ainsi que les hommes ne doivent nier leur sexualité que si elle conduit à une dépendance envers leur femme.

- Les femmes sont associées plus étroitement à la sexualité, qui menace l’rodre social tout entier, en raison de leurs fonctions reproductives et de leur incapacité à dissimuler leur sexualité lorsqu’elles sont enceintes.

- Le HASHAM est lié à la situation, on n’attend pas d’une femme qu’elle se conduise pudiquement ou ai honte de sa sexualtité devants des pairs. En publique les femmes évitent leur mari mais elles peuvent se montrer affectueuse en privé.

- Les hommes restent aussi pudiquement devant leur cadet ou leur enfant. L’attachement des hommes envers les femmes est intrerpété comme une dépendance.

- Chez les bédouins la pudeur sexuelle est liée aux mêmes contextes précis et doit être comprise comme un des aspects de la déférence ; dans la mesure où les hommes d’honneur, responsable de leur dépendant, incarnent les valeurs dû systèmes, la sexualité défie non seulement le système mais aussi leur position.

- Dans la mesure où les positions hiérarchiques des hommes sont validées par la déférence volontaire que leur montrent ceux qui dépendent d’eux, le manque de respect défie l’autorité des hommes et sape leur positions.

- La rébellion d’un dépendant déshonore son supérieur aux yeux de tous et il doit donc regagner son honneur et sa position. Il doit réaffirmer sa supériorité morale en déclarant ses actes immoraux et montrer sa capacité à la maîtriser, la forme ultime étant la violence (ce qui peut expliquer les crimes d’honneur)

- Dans le cas d’infidélité de l’homme, c’est les parents mâle de la femme qui sont le plus déshonnoré chez les bédouins, chez les turcs de la mer Noir, au moment du mariage, le mari acquiert pleine autorité sur sa femme et serait à subir le plus grand déshonneur s’il la trompe.

- LA SIGNIFICATION DU PORT DU VOILE : cette interpértation du hashsam, qui assimile le déni de la sexualité à la déférence, est confirmer par les différentes manières dont les femmes se voilent.

- Ce sont surtout les autres femmes qui guident les jeunes pour leur dire à quel moment elles doivent se voiler. Les femmes ne comment à se voiler qu’après le mariage car elle débute leur vie sexuelle et abandonnent progressivement cette pratique avec la vieillesse car elles sont monauposée. Les femmes décrites comme masculine ou ne vivant pas avec un homme portent aussi moins le voile : cela confirme l’interprétation de l’auteur : le voile dissimule la honte sexuelle. Aussi les femmes y recourt quand elles sont génées (une personne supérieur qui parle de sexe, un enfant qui enlève son pantalon etc).

- Mais si nous interprétons le fait de se voiler comme la façon de dissimuler sa honte sexuelle, on comprends pourquoi les Bédouines se voilent devant certains hommes et pas d’autres => elles vont se voiler pour leur montrer du respect (donc père, frère etc). Elles se voilent devant ceux qui ont autorité ur elles ou qui assument une plus grande responsabilité qu’elle dans le système.

- Le fait de se voiler .et plus généralement le HASHAM, Signal qu’une femme reconnaît la place de la sexualité sans le système social et qu’elle entend se distancier, affirmant ainsi qu’elle possède le ‘agl, l’intelligence sociale qui permet de se conformer aux idéaux sociale du groupe. (Elles ne vont pas se voiler dans les rues d’Alexandrie)

- Une femme qui ne se voile que très rarement se justiifée en disant que son « visage est blanc », signifiant ainsi qu’elle n’a aucune raison d’avoir honte ; les femmes mûres signalent leur changement d’identité en se voilant de moins en moins.

- Les femmes ayant un staut élevé (issu d’un lignage honorable ou mairées à des hommes riches) se voilent devant moins de gens que les femmes de staut inférieur ou jeunes ; elles affirment

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