Ecole de chicago cas

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L’explosion démographique de la ville industrielle par les paysans va également engendrer l’inverse de l’assimilation ou autrement dit la démoralisation. Celui-ci est un phénomène qui découle des mesures que peut prendre la société Américaine pour accélérer le processus d’assimilation.

L’auteur passe, ensuite, au phénomène de l’acculturation qui est définit comme étant l’américanisation des immigrants en acquérant la culture du groupe dominant. Celle-ci se trouve en revanche freinée chez les Noirs par la discrimination et la ségrégation.

CHAPITRE 3

Pour les sociologues de l’école de Chicago, le phénomène de criminalité à Chicago est fortement lié aux vagues successives d’immigration. La désorganisation sociale en effet peut entraîner la déviance quand les individus abandonnent les règles de leur groupe d’appartenance mais aussi quand ils n’arrivent pas à accéder à la culture du groupe dominant.

A cette époque-là, il y avait justement naissance des gangs qui sont une réponse à la désorganisation sociale, un substitut et une échappatoire et un substitut à ce que la société ne parvient pas à fournir.

Les gangs se forment dans la ceinture de pauvreté et dans la zone interstitielle d’une manière assez spontanée puis se solidifient à travers les conflits avant de se dissoudre en ce qui concerne les ‘gangs diffus’.

L’auteur trace l’histoire de plusieurs délinquants sous le thème de la délinquance juvénile : Jack-Rolle, Sydney le violeur..

Chapitre 4

On retrouve encore la notion de sociologie qualitative qui se base sur le travail sur le terrain et la connaissance pratique directe. Celle qui va se munir de documents personnels, d’autobiographie, de courrier privé, de journaux.. Thomas par exemple, se basera sur les lettres personnelles pour ses recherches. Park quant à lui utilisera L’observation participante comme méthode de travail. Elle consiste à s’immerger dans le groupe que l’on veut étudier. Elle consiste donc à vivre comme les groupes que l’on étudie (ex : immersion dans le milieu des vagabonds).

Les tendances majoritaires de la sociologie de Chicago demeuraient les études qualitatives de terrains et les observations directes mais même les études quantitatives étaient présentes et comme l’affirma Burgess ces deux méthodes n’entrent pas en conflit entre elles ; elles se complètent.

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conclusion

L’école de Chicago qui marqua un tournant dans la sociologie Américaine a été intéressante non pas par rapport à ses contenus, mais surtout par rapport à ses méthodes et ses concepts de recherche.

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