Secret bancaire, Union du fleuve Mano

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de la paix au niveau de chaque pays, en tenant compte du contexte de sécurité qui prévaut est maintenant considéré comme insoutenable. La collaboration entre les pays de la sous-région et la formulation et l’adoption d’une stratégie commune pour une paix durable, la stabilité et la sécurité est considérée comme la meilleure voie à suivre.

Le retour progressif de la gouvernance démocratique dans les États membres de l’Union, mais pas violente gratuitement pour des raisons liées à la structure, les systèmes, les processus et la conduite générale des élections, la nécessité de maintenir les progrès, bien que lents, est vital.

Objectifs

1. Développer et opérationnaliser une architecture de paix et de sécurité de l’Union.

2. Améliorer la sécurité transfrontalière dans la sous-région pour assurer la sécurité humaine et matérielle.

3. mécanismes de conception de superviser la conduite d’élections libres et équitables dans les Etats membres.

Stratégie et Programmes

Pour relever ces défis dans un contexte sous régional et atteindre les objectifs du pilier II, l’UFM se concentrera sur trois domaines principaux.

(i) Le développement de l’architecture de sécurité pour la sous-région;

(ii) La formulation et la mise en œuvre d’un programme de gestion des frontières;

(iii) La mise en place d’un cadre sous régional pour soutenir et assurer les transitions démocratiques pacifiquement.

En général, l’orientation générale et la direction de ces interventions viendront de lois et règlements nationaux sur les élections, les Protocoles de la CEDEAO et de l’UA et d’autres conventions internationales relatives à la gouvernance démocratique en mettant l’accent sur les élections. En particulier, ceux-ci seront poursuivis dans le cadre de la 15e Protocole à la Déclaration MRU sur la coopération sur la défense, la sécurité, des affaires intérieures et des affaires étrangères. Ce protocole, entre autres, appelle à la mise en place des structures, des systèmes et des mécanismes pour faciliter la collecte des informations et des analyses sur les questions de sécurité; diffusion de l’information de sécurité approprié pour les parties prenantes en vue d’assurer la compréhension et l’appréciation de l’évolution sur le front de la sécurité commune; surveillance des frontières, la tenue de réunions appropriées pour comprendre et aborder les questions et les préoccupations de sécurité; et de fournir l’atmosphère pour le renforcement de la confiance au sein et entre les communautés en particulier le long des frontières. Dans l’ensemble, ce protocole vise à faire de la sécurité nationale et sous régionale de l’entreprise et la responsabilité de tous les citoyens de manière à prévenir les conflits et maintenir la paix.

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET INTEGRATION SOUS REGIONALE DE L’UNION DU MANO RIVER

Contexte

Prenant en considération la base de ressources de la sous-région, le potentiel de collaboration pour assurer le développement économique et l’intégration est extrêmement vaste. En outre, ce pilier a le plus grand potentiel non seulement de réduire la pauvreté, mais aussi pour améliorer le bien-être et le niveau de vie de la population.

Ce pilier sera donc traiter des questions liées à la sécurité alimentaire, en tenant compte de la crise alimentaire mondiale et son impact sur la sous-région, trans-limite entre la forêt et la gestion des bassins hydrographiques, la promotion du commerce et du développement industriel, l’exploitation et la gestion durables des minéraux les ressources, le développement de l’énergie et de la puissance, des infrastructures de transport et de télécommunication à soutenir pleinement la croissance économique et le développement. Pour la plupart de ces programmes, une approche sous régionale sera adoptée et guidée par la notion de zone triangle de croissance

Un bref historique est fourni ci-dessous pour chacun des sous-secteurs de ce pilier:

La sécurité alimentaire

Entre 60-75 pour cent de la population dans la sous-région repose sur l’agriculture pour leur subsistance et de survie. Les cultures vivrières, cultures de rente, les tubercules et la production de légumes constituent les principales activités des ménages agricoles. Technologique, de production, d’infrastructure et de commercialisation contraintes entravent sérieusement la productivité dans ce secteur.

En conséquence, la sous-région est actuellement en situation d’insécurité alimentaire. En outre, la crise alimentaire de 2008 a donné lieu à des émeutes dans de nombreux pays, générant des effets négatifs sur la vie sociale, politique et économique des populations. On estime que la sous-région des États-Unis dépense 800 millions $ juste pour importer du riz par an pour satisfaire la demande de consommation annuelle. Une stratégie pour remédier à la situation alimentaire sur une base durable recommande une approche à moyen et à long terme pour répondre à la crise alimentaire en mettant l’accent principal sur faisant riz non seulement une culture commerciale, mais un instrument pour la réduction de la pauvreté dans la sous-région.

La gestion des forêts

L’écosystème de la forêt de la Haute Guinée est le troisième plus grand paysage de forêts naturelles dans le monde. En raison de l’activité humaine orientée vers la subsistance et l’exploitation des minéraux dans ces paysages forestiers par les gouvernements, la faune et la flore de ces régions sont sous la menace. Ils sont maintenant considérés comme des points chauds de la biodiversité et la nécessité de protéger et de préserver la faune et la flore endémique est maintenant une préoccupation mondiale. Les pays de l’UFM, collectivement possèdent maintenant la plus grande partie de l’écosystème forestier de Haute Guinée restante et la conservation de ce paysage peut être bénéfique non seulement pour la MRU, mais le monde entier.

Gestion des eaux du bassin

Les ressources en eau de la sous-région sont vastes, mais sous-développée,

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