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L’entreprise Assurances Sécuriplus cas

Par   •  29 Septembre 2017  •  1 136 Mots (5 Pages)  •  673 Vues

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Comme décrit précédemment ce principe s’applique également à l’entreprise

puisque si les membres ne se plient pas aux demandes de M. Blanchette, ils devront se trouver un autre emploi.

L’unité de commandement : « Chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef. » [4] L’extrait suivant illustre bien encore une fois que ce prince concorde avec l’entreprise : « Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau ».

L’unité de direction : « Les personnes qui travaillent dans un même but doivent relever d’un seul patron, mais aussi d’un seul programme. » [5] Encore une fois, c’est tout à fait vrai pour l’entreprise d’assurances, l’extrait donné pour le précédent principe s’accorde également pour ce principe-ci.

La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général. « Les buts de l’entreprise doivent primer les intérêts individuels », [6] je voudrais démontrer la pertinence de ce principe pour l’entreprise par un extrait de ce qu’a dit M. Blanchette à la toute fin de l’histoire de cas des Assurances Sécuriplus : « J’entends bien changer les choses et améliorer la performance autour d’ici et tant pis s’il faut congédier chacun des commis du service pour y arriver! » À mon avis, cet extrait démontre parfaitement que ce sont les intérêts de l’entreprise qui passent avant ceux des individus.

À toute fin, vous trouverez ci-dessous quelques critiques que j’aimerais adresser à l’entreprise.

Tout d’abord, voici ce que dit M. Blanchette dans l’étude de cas : « Alors j’ai envoyé un autre mémo aux commis pour leur dire qu’il fallait augmenter la vitesse de traitement et éliminer les erreurs et que c’était tout ce qu’on leur demandait. » Or, le modèle de participation dit que « Dans des conditions normales, l’être non seulement assume les responsabilités, mais il les recherche. » [7] Ce modèle dit également qu’une de ces principales contributions est la « Motivation des personnes lorsqu’on leur confie des responsabilités. »[8]

Il semble donc y avoir des choses à changer à ce niveau.

Ensuite, je désire revenir sur l’extrait du cas des Assurances Sécuriplus suivant : « Olivier Le Scelleur un autre commis aux réclamations est venu me voir pour me dire que les bruits de corridors faisaient état d’une vérification des réclamations en cours. Il estimait que les commis aux réclamations devraient être consultés afin de pouvoir expliquer les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses. » Pourtant, le modèle participatif dit quant à lui que « Le style de gestion du dirigeant à l’égard du groupe détermine les comportements et le rendement. Un dirigeant efficace utilise la décision prise en groupe et fait en sorte que les interactions se produisent dans un climat de soutien mutuel. Par contre, le dirigeant autoritaire adopte un style inefficace, peu enclin à favoriser le rendement. » [9] Si nous analysons la situation présente au sein de l’entreprise dans le cas précédent vis-à-vis du modèle participatif, l’entreprise aurait tout à gagner à essayer de prendre en compte les décisions de groupe. Les décisions de groupe tendent à représenter ce que les employés en général au sein d’une même tâche bien souvent ressentent. En laissant s’exprimer les membres du groupe, en tentant de modifier certaines façons de faire et en faisant quelques compromis, on peut arriver à faire augmenter la production tout en diminuant les tensions et conflits qui règnent dans l’organisation.

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