Dc2 en centre communal d'action social

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Mon objectif est de le rassurer, de l’apaiser, de lui expliquer que son traitement à un intérêt important afin de vivre et d’être auprès de ses proches. Lui faire oublier cette instant de souffrance.

Déroulement du temps clé :

On arrive chez ce monsieur vers 8h, nous avons 1h d’intervention.

Avant d’entrer dans son appartement on frappe toujours à la porte pour lui annoncer notre arrivée et il est toujours heureux de nous voir.

On lui dit bonjour et la première chose que je fais c’est de l’aider à se lever.

Il s’assoit seul sur le bord du lit, je lui dis de m’attendre le temps de prendre ses vêtements. En même temps je lui demande s’il à passer une bonne nuit mais souvent non, il passe des nuit difficile.

Je lui montre plusieurs propositions de vêtements et il fait son choix

Ensuite je l’aide à s’habiller, je commence par son pull en lui passant la tête et les mains. Ensuite je lui explique que je vais lui mettre ses chaussettes, je place son pantalon sous ses pieds et je le remonte à hauteur des chevilles. Je lui rapproche le déambulateur, et je lui dis que je vais l’aider à se lever pour monter le pantalon à la taille. Je le transfert sur son fauteuil.

Dans ce moment-là, il cri beaucoup car il souffre, il nous exprime son envie de mourir.

Je lui explique que ce n’est pas une solution que si il est là c’est pour une bonne raison, qu’il faut se battre pour la vie, que la vie vaut le coup d’être vécu, qu’il doit penser à sa famille, à ses petits-enfants (ils sont importants pour lui),

Ça lui fait du bien d’entendre des mots rassurants ça le fait sourire. Et nous dit que oui nous avons raison.

Ensuite je lui donne ses injections pour qu’il puisse faire son aérosol. Ensuite après avoirs finit, Lui apporte un gant pour ce nettoyé le visage, puis lui peigne ses cheveux

Pour lui faire plaisir, je lui dis que je vais le faire beau pour son épouse. Cette petite attention lui plait beaucoup du bien et ça lui ouvre l’appétit pour le petit déjeuner.

Conclusion :

Moment difficile pour la personne à cause de la malade mais c’est une personne qui a besoin d’être rassuré, ce qui l’apaise énormément de sentir l’intérêt qu’on lui porte.

Quand on le voit sourire, ça fait plaisir à voir

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