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Psychologie cognitive.

Par   •  25 Juin 2018  •  1 363 Mots (6 Pages)  •  642 Vues

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Ça suppose que l'on fasse avec la singularité de l'autre sinon répression il faut faire avec la singularité de l'autre

la psychanalyse peut compléter la psychologie de la sa,té et inversement.

Il faut faire un référentiel qui décrit les symptômes ou syndrome : classification que les normes comme le DSM = si 6 symptôme sur 10 donc on pose le diagnostique de la maladie. On nomme les symptôme et de faire reconnaître auprès de professionnel le diagnostique qui a était posé.

Du coté de la clinique psychanalytique on doit posé un diagnostique avec les paroles du patient.

Sheber expérience de Freud : il devient femme de dieu c'est son interprétation délirante car construction d'un système délirant pour exister

phobie = trouble anxieux. Pour la clinique médical c'est des attaque de panique le patient se trouve paralyser. Pour être qualifier de phobie ça doit entraîner une gêne excessive la peur et la phobie c'est pas la même chose. La clinique médicale peut distinguer différente cagoteries de phobie : -imaginaire (construction de l'esprit)

- situationnelle (ascenseur etc.;)

- objet naturel ( la crainte des maison isolé , des forets, de l'eau , de la profondeur )

- imaginaire (construction de l'esprit)

selon OMS la phobie est importante car une personne sur 10 en souffre. D'un point de vu psycho pathologique on reconnaît la phobie suivant certain symptôme sur une durée d'au moins 6 mois une peur irraisonné , réaction immédiate et une conscience du caractère excessif de ce comportement et y a un évitement de situation redouté.

On peut vaincre la phobie par le conditionnement. La phobie c'est un trouble anxieux plus important qu'une simple peur.

Le symptôme en clinique n'est pas assimilé a la maladie mais comme un processus de compromis.

Concernant les phobie y a des outils , l’anxiété l'angoisse lié a la phobie dépasse la peur , la phobie c'est juste quelque chose qui nous permet d'ignorer l'angoisse.

Clinique patho =Approche de la phobie par la systémique a une fonction pas pour le sujet mais pour le maintient de ce système ainsi un enfant peut il développer un symptôme car il a pour fonction de maintenir la cellule familiale lors que les parents divorce par exemple donc ça ressoude le couple familial.

Psychanalytique : phobie = signal d'alarme que si il va trop loin il va être angoissé. L’angoisse selon Freud c'est une situation ou la représentation de la pulsion et ce qui reste c'est l'affect c'est une pulsion sans objet et la phobie vient donc comme une façon de traiter l'angoisse. C'est le cas du petit Hans.

D'un point de psychanalytique on va pas visé dans le soin la disparition de la phobie c'est trop dangereux ça peut faire entraîner que l'individu se retrouve face à son angoisse

Sur un point psychanalytique puisque un point de différence assez forte entre le médical et psychanalytique c'est que le symptôme se créer dans le temps il a une histoire car l’histoire est le MOI c'est l'identité. Dans cette clinique la , tout symptôme laisse de toute façon une trace mais cette trace peut être consciente ou inconsciente pour certaine théorie de la clinique c'est la réactualisation de cette trace qui va donner naissance a la construction de nouveau symptôme.

Freud dit que non seulement que c'est à travers ceci que le sujet existe mais qu'il écrit aussi son histoire. Raconter son histoire peut être un symptôme c'est pas du tout le cas pour la clinique.

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