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La psychobiologie ou biopsychologie ou psychologie biologique

Par   •  18 Juin 2018  •  1 080 Mots (5 Pages)  •  570 Vues

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Cas clinique

Phineas Gage

Eliott

Le cortex orbitofrontal serait impliqué dans les processus de contrôle, dans laprise de décision et dans l’évaluation des conséquences des actes.

Paul Broca en observant, post mortem, que le cerveau d’un patient aphasique (devenu incapable de parler à la suite d’un accident vasculaire cérébral) présentait une zone détruite dans le lobe frontal gauche, il a déduit le rôle de cette région dans les processus de langage, connue maintenant comme l’aire de Broca (« centre de la parole » dans le cerveau)

Aire de Wernicke : responsable de la compréhension du langage

Asymétrie cérébrale et émotions

La théorie de la spécialisation hémisphérique

HD est spécialisé dans les émotions, l’HG est spécialisé dans les processus intellectuels

Théorie basée sur l’observation de patients hémiplégiques

- HD : passifs et apathiques

- HG : hyper-émotionnalité

Modèles humains : innés ou acquis

Les vrais jumeaux

100% de gènes en commun

Études gémellaires

Jumeaux monozygotes partagent les mêmes gènes et le même environnement

Jumeaux dizygotes partagent le même environnement, mais ayant seulement une partie des gènes en commun (50% des gènes)

Étudier le taux de concordance : le risque pour un jumeau d’avoir un phénotype identique à celui de son jumeau.

S’il est supérieur chez les monozygotes VS dizygotes : contribution des facteurs génétiques.

Schizophrénie

Quand un jumeau est atteint, l’autre aussi à 45% (vrais jumeaux) et 17% dans l’autre cas (faux jumeaux).

L’autisme

Les deux jumeaux sont affectés dans 60% des cas (vrais jumeaux) et 10% (faux jumeaux).

Aptitudes cognitives générales

La corrélation est de 0,60 chez les faux et 0,85 chez les vrais.

Facteurs génétiques et épigénétiques

- L’incidence de l’AG chez

Des parents du 1er degré (enfants des parents malades) population générale

- Une origine génétique et épigénétique de la maladie

(Les parents proches partagent une bonne part de leur patrimoine génétique et aussi le même environnement).

- Études gémellaires

3200 paires de jumeaux :

- Vrais : 39%

- Faux : 13%

Les auteurs suggèrent que la contribution génétique est de 38% dans le déclenchement de cette maladie (tocs). Les facteurs épigénétiques fréquemment mentionnés sont : la séparation maternelle ou la perte des enfants.

On hérite des mauvais gènes, pas de la maladie.

Les enfants adoptés

Par exemple, le risque de développer une schizophrénie est le même pour des enfants de parents schizophrènes, qu’ils soient élevés par leurs parents biologiques ou adoptés à la naissance (10%).

Ce résultat suggère que le partage d’un environnement éducatif a peu d’effet.

Protocole des adoptions et celui des jumeaux :

Une étude a permis de montrer que des vrais jumeaux élevés séparément dès leur plus jeune âge ont des aptitudes cognitives générales pratiquement identiques à celles de vrais jumeaux élevés ensemble.

Ces résultats suggèrent une forte action des gènes et une petite influence du milieu.

Fœtus, nouveau-nés et aveugles de naissance

Expression des émotions : caractéristique innée (qui n’est pas la conséquence d’un apprentissage par imitation sociale)

La partie gauche du visage est innervée principalement par les nerfs en provenance de l’hémisphère droit.

Théorie de la valence différentielle

Émotions négatives : HD

Émotions positives : HG

Expérience avec le sens su goût (sucré, acide, amer…)

Via l’IRMF : neuro-imagerie : activation de l’HD et de l’HG

Cette asymétrie gauche-droite dans la perception et l’expression des émotions n’est pas spécifique à la gustation, mais concerne également les émotions visuelles.

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