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Les grands domaines de la psychologie

Par   •  18 Septembre 2018  •  4 005 Mots (17 Pages)  •  528 Vues

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Psychologie cognitive

S → traitement → Réponse

Selon la façon dont à inuit les gens à traiter l’information et selon l’environnement, un même stimulus peut être traité de façon différente. Il s’agit d’interférer dans ce que les gens ont dans leurs têtes pour obtenir la réponse que l’on recherche.

La psychologie sociale

C’est Auguste CONTE qui propose en premier une approche de l’individu comme être social, son but est d’établir une connaissance de l’homme sur sa manière d’être en société. Plus tard, TARDE aborde la question du comportement social en tentant d’expliquer comment et pourquoi une personne prise dans un groupe change.

Def de FISHER, pour lui c’est le domaine de la psychologie qui étudie les relations et les processus de la vie sociale inscrit dans les formes organisé de la société (groupe ou institution d’une part, pensée et vécus par les individus d’autre part).

Elle s’intéresse aux individus dans sa vie de tous les jours.

(En gros la psycho social s’intéresse à la fois de ce qui ce passe dans les groupes et comment il se met en place.

Ce que l’individu apporte au groupe, puis aussi l’influence qu’a le groupe sur l’individu).

La Psychopathologie

Psycho = esprit / Pathos = maladie, souffrance / Logos = la science.

C’est le domaine des psychiatres et des psychologues cliniciens.

Etudes des maladies mentales :

- La névrose ;

- la psychose ;

- la perversion.

On peut aussi distinguer deux types de psychothérapies :

- la psychothérapie directive (on part du principe que les troubles proviennent d’un mauvais apprentissage qu’il faut corriger) ;

- les psychothérapies non directive (le thérapeute n’est pas un guide parce qu’on n’apprend pas à être libre en étant dirigé, le thérapeute n’adopte pas d’attitude d’interférence mais une neutralité bienveillante caractérisé par une écoute attentive.

La psychologie clinique

Du grec KLINIKOS, qui veut dire « celui qui visite les malades au lit ».

La psychologie clinique est une discipline psychologique qui a pour but une connaissance appondis des cas individuelles.

Elle n’étudie donc pas un groupe ou une société, elle étudie l’homme dans ses pathologies, sa personnalité, sa singularité biographique, ayant ses propres composant émotionnelle.

Psychologie analytique

(( Elle se base sur la théorie et la pratique psychanalytique décrite et inventé par Freud.

C’est une théorie reprise ultérieurement par divers psychanalyste : Jacques Lacan qui lui a donné une référence structuraliste.

Elle appuie d’autres sciences, les mathématiques (les mathèmes), la physique (l’optique), parfaire l’approche de grandes maladies mentales, notamment celle de la psychose.

Il a écrit une thèse qui s’intitule « la psychose paranoïaque » dans ses rapports avec la personnalité en 1932.

La psychanalyste est obligé de passer par une psychanalyse pour pouvoir exercer, puis par une psychanalyse didactite (faire de la recherche, avoir des échanges sur des cas à partir de sa propre problématique). ))

Psychologie du développement

C’est une méthode centré sur une dimension évolutive du comportement.

Elle étudie l’homme en développement de la naissance jusqu’à la mort, elle s’intéresse aux acquisitions et aux pertes tout au long de la vie.

La psychologie de l’enfant

Autrefois on l’appelé la psychologie génétique.

On y étudie ce qu’est l’enfant aux différents âges qui le concerne, c’est une psychologie longitudinale. C’est un domaine bien spécifique de la psychologie et absolument incontournable pour comprendre comment fonctionne l’adulte.

La psychologie de l’enfant permet de comprendre comment fonctionne l’humain adulte.

La psychologie cognitive

Si le behaviorisme considérer la relation stimulus-réponse sans s’intéresser à ce qui ce passe du côté de la boite noir le cognitivisme quant à lui va ouvrir cette boite et tenté d’en comprendre les mécanismes et les interactions. Traitement d’information, mémoire, attention, raisonnement sont autant de thèmes pouvant être abordés et qui concerne les capacités liés à l’activité mentale.

I) Temps de réaction

Du stimulus à la réponse, la perception, le traitement de l’information, la discrimination, le choix d’un champ de réponse vont faire varier le temps de réponse. Un temps de réponse devant un stimulus simple sera plus court que face à une succession de facteurs intermédiaires. Ex : L’arrivé dans un rond-point dont l’orientation est complexe nécessite un temps de traitement plus long.

A L’échelle du cortex du cerveau, il existe des étapes de traitement pour un temps de réponse. Les traitements perceptifs étant totalement non conscient, le temps de réaction varie donc d’un individu à un autre.

Le traitement sensoriel au niveau de la rétine est de 40 milli-sec. Au niveau du cortex intero temporal, la reconnaissance ce fait en 20 milli-sec.

Le cortex frontal va permettre de prendre une décision, il traite l’information et cette décision se fait en 60milli-sec.

Il envoie l’information au cortex moteur en 30milli-sec environ (faut appuyer sur la pédale de frein).

L’exécution motrice ce fait en 90 milli-sec.

La psychologie cognitive se réfère à tous les processus par lesquels les données sensoriels sont transformer, réduites, élaborer,

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