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Recueil de textes de philosophie

Par   •  19 Octobre 2018  •  5 956 Mots (24 Pages)  •  512 Vues

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sa population de jeunes et de jeunes familles. Ensuite, il nous fait une comparaison avec les États-Unis et le Canada avec notre taux. Et enfin, il dit que c’est à cause de cela qu’on a une mauvaise performance en création d’emplois. Pour son troisième argument, il dit qu’il y a beaucoup de chômage au Québec. Il nous dit le nombre élevé de personnes au chômage qui endette le Québec. Pour son quatrième argument, il dit qu’il y a un déficit d’investissements. Pour l’appuyer, il dit que notre PIB est inférieur depuis 10 as et que cela nous amène à un déficit. Il dit que tout cela mène à la dégradation continuelle de la position concurrentielle du Québec. Il dit que trois emplois sur cinq dépendent de marchés extérieurs au Québec. Son cinquième argument est qu’il y a un problème dans l’équilibre social macroéconomique du Québec. Comme appuie, il dit que cela est à cause des mauvaises décisions de tous qui sont causées pas la faible utilisation des ressources humaines potentielles. Il dit aussi qu’on demande trop pour se qu’on a, cela détruit les investissements des entreprises et des administrations publiques, ainsi amène au manque de création d’emploi et avec plus de déficits.

Dans cet article, M.Boyer nous montre sont point de vue sur plusieurs problèmes, dont principalement le manque d’emploi suite à un manque d’investissement et cela fait que nous ne produisons plus assez d’enfants. Tout cela mène à l’endettement du Québec. Les arguments peuvent être considérés comme véritables étant donné que c’est des statistiques. Pertinent à un certain niveau et suffisant du point vu structurel. Seulement, sa thèse n’a pas vraiment de sens avec une vraie social-démocratie comme il dit, non seulement il caricature le conflit étudiant, mais en plus il ne fait que mettre un faux dilemme, celui du petit conflit étudiant et les problèmes d’ économique. Il ne fait qu’évoquer des faits et des problèmes qu’affronte le Québec. Puis, l’auteur utilise des sophismes dans son texte. Nous pouvons voir que lui la jeunesse se tient que sur un graphique démographique, pour lui se n’est pas important les valeurs de l’éducation puisqu’il n’en parle pas et que c’est mieux les statistiques sur l’emploi. L’emploi vient d’où? Des écoles, les investisseurs viennent des subventions du gouvernement pour créer des entreprises, l’emploi commence là. Pourtant, il utilise la caricature pour décrire la position du Québec envers l’enjeu de la hausse de scolarité en disant «il faut être un pays sans problèmes et sans souci pour devoirs se quereller ainsi sur des enjeux vraiment mineurs ». Il n’a donc pas décrit c’est quoi un emploi et qu’où il commence. Finalement, M. Marcel Boyer à rédigé un article en se basant une thèse sur la caricature d’un conflit pour utiliser un faux dilemme. Donc, sa thèse n’est pas valide sous cette ‘’fausse’’ base.

La Réplique – Droits de scolarité – Étudier pour… Étudier Par le collectif

Dans ce texte publié le 23 février 2012 dans le Devoir, le collectif de professeurs et étudiants en philosophie à l’Université de Montréal, tentent de démontrer que former des ‘’ cerveaux bien alignés ‘’n’est pas le seul but recherché dans une université. Ils sont donc en désaccord avec le discours de M. breton, diffusé en automne dernier. En premier lieu, il mentionne qu’un grand nombre d’étudiants recherchent que le besoin d’apprendre en fréquentant cette institution. Le collectif de l’université dit en contrepartie que beaucoup d’étudiants fréquentent l’université seulement pour leur savoir personnel et général. Par conséquent, le collectif est bien en accord que l’université doit les aider à bien s’orienter sur le domaine du travail, mais que celle-ci n’a pas que cette unique tâche. Ensuite, pour deuxième argument, M. Breton donne l’illusion que le savoir est une marchandise. Alors, le collectif argument en disant que l’université doit aussi les éduquer afin de créer une société plus enrichie et éduquée. Il est donc, pour eux, important que l’université ne délaisse pas la recherche fondamentale et les matières de base. De plus, au contraire de Guy Breton, le collectif se dit être contre la hausse. Ils appuient leurs arguments en disant que l’argument de la juste part de M. Breton n’est pas justifié puisque les étudiants paieront des impôts plus élevés une fois sur le marché du travail. Ensuite, le collectif appuie leur argument, en jugeant normal que la société contribue à l’éducation puisque celle-ci en bonifie tout autant.

Dans cet article, nous voyons que le contre-argument du collectif est pertinent, juste, suffisant. Guy breton semble avoir une vision différente de l’éducation. En se fiant au point que nous apportent les professeurs et étudiants, plusieurs étudiants disent être à l’université pour apprendre leur métier, mais aussi pour leurs connaissances générales. Guy Breton aurait fait une généralité hâtive en disant que les étudiants n’étaient là que pour apprendre leur métier. Nous pouvons en conclure qu’il en recherche réellement le besoin d’apprendre. Il serait justifiable de continuer à donner à l’étudiant toute l’éducation qu’il recherche dans l’université. Ensuite, il utilise le fait que plus tard, les diplômés payeront plus d’impôts pour justifier que la hausse n’est pas justifiée et que toute la société en bonifie donc, tous citoyens devraient déboursé pour l’éducation. Leur argumentation est juste, leurs arguments sont soutenus. Le seul sophisme qu’ils ont utilisé, c’est l’appel à la majorité, puisque ceux-ci ont écrit en collectif. De plus, leur texte est soutenu par beaucoup plus de jugements de valeur que des jugements de fait. Au contraire aux autres textes, le collectif de professeurs et étudiants se donne la peine de définir ce que devrait être l’éducation et ce que les institutions devraient nous fournir.

L’injuste part Rima Elkouri

Dans la Presse, Rima Elkouri à publier le 22 mars 2012 son article L’injuste part où elle exprime qu’elle est contre la hausse en disant que c’est ironique de dire qu’une hausse brutale des droits de scolarité est une mesure d’équité. Suite à une explication de la logique gouvernementale sur la juste part, Rima Elkouri nous dit comme argument : « On s’écarte d’un principe important lorsqu’on réduit ainsi l’éducation à une question comptable », pour l’appuyer, elle nous explique qu’en 1964, l’éducation était un luxe et maintenant c’est un droit puisqu’on

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