La Place du Premier ministre dans la Vème République

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présidentialisation sous la Vème République

La Vème République, depuis 58, à connu un phénomène d’hyper présidentialisation. L’impulsion à était donné par DG qui en méttant en œuvre le suffrage universel direct pour le PDLR à permis de légitimé l’action politique par le peuple. D’autre part la théorie du gaullisme impulsé par DG pronné un état fort dirigé par un homme de pouvoir.

Bien plus tard sous Sarkozy, ce dernier à utilisé les médias dans le but de promouvoir son image et sa communication. Sa volonté à était d’être présent sur tout les fronts au prix d’une réactivité importante, s’accrifiant ainsi l’image et le rôle de son PM.

L’exécutant du chef de l’état, il tire sa légitimité du chef de l’état.

Il incarne le lien entre chef de l’état et les députés de AN. Sorte de « go-between ».

En pratique, on constate donc que le Premier ministre malgrés ses pouvoirs propres mais aussi ses pouvoirs partagés dévolu par la constitution, passe au second plan. En effet, le poste de premier minsitre est dans l’ombre des fonction du premier ministre. Ainsi en période de convergences des majorité la République est caractérisé d’hyper présidentielle, c’est à dire que la place et les pouvoirs dévolu au chef de l’état son très important. Cependant on constate l’accroissement du rôle du Premier ministre lors de période de cohabitation.

II)- L’accroissement du rôle du Premier ministre dans la Vème République en période de cohabitation

En période de cohabitation , la place du Premier ministre est dominante. En effet il y a une prééminence des pouvoirs du Premier ministre grâce au renforcement justifié de son rôle (A) et à l’impact du quinquennat sur le rétablissement de ses pouvoirs (B).

A- Le renforcement justifié des pouvoirs du Premier ministre

En période de cohabitation (1) le rôle du premier ministre va être renforcé. En effet, celui ci devient alors le chef de la majorité parlementaire et dispose des pleins pouvoirs pour mener à bien ses mesures politiques (2).

1. Le mécanisme rappelé de la cohabitation

cohabitation → lorsque le PM et le PDLR non pas la même couleur politique. Le Pm devient alors le chef de la majorité parlementaire. Ainsi les pouvoirs du PDLR bloqué et primauté primo ministérielle

3 cohabitations sous la Vème → 86-88 avec Mitterand et Chirac, 93-95 avec Mitterand et Balladur et 97-2002 avec Chirac et Jospin.

Quelles est l’impact d’une cohabitation sur les pouvoirs du PM ?

2. L’élargissement des pouvoirs du premier ministre comme conséquence de la cohabitation

Pour pouvoir gouverner le Pm doit disposé de la confiance de la majorité parlementaire. En effet cette confiance va pouvoir apporter au PM une plus large légitimité et le moyen de mener sa politique. En effet puisque le PM devient le chef de la majorité parlementaire il sera plus simple pour lui de mettre en place des lois, de composé son gouvernement dans le but de favoriser la mise en place de sa politique intérieure.

Les pouvoirs renforcés du premier ministre écart alors le chef de l’état de son rôle prédominant. En effet, il devient le maître des politiques gouvernementales. De plus, il contrôle le budget de l’état et donc de la défense ce qui lui permet d’empietter sur e domaine du chef de l’état même si ce dernier dispose encore de l conduite des affaires extérieures.

Pourtant l’accroissement des pouvoirs du Pm en période de cohabitation est le signe d’une défaillance des institutions politiques. EN effet, en période de cohabitation l’efficacité des réformes paraît compromise au regard de la disordances d’opinion politiques entre le PM et le Chef de l’état.

Fort de ce constat la loi constitutionnelle du 2 octobre 2000 à réformé le mandat présidentiel.

B- L’impact du quinquennat sur le rétablissement des pouvoirs constitutionnels du premier ministre

Pour réduire les périodes de cohabitations, la révision constitutionnelle du 2 octobre 2000 à été mise en place. Ainsi, si l’on réduit les risques de cohabitations on rétablit l’équilibre au sein des deux force de l’exécutif. On observe dès lors un retour à l’exécutif présidentiel (1) et donc au retrait du rôle effectif du Premier ministre (2).

1. Un retour à l’exécutif présidentiel

La réforme du 2 octobre 2000 permet de supprimer les risques de cohabitations dans la Vème République. En effet les pouvoirs publics souhaite retrouver la prééminence du rôle du PDLR et ainsi éviter une politique instable.

Ainsi, on souhaite rationaliser la place du président de la République en le mettant plus souvent en lien avec le peuple. Cette rationalisation de la place du chef de l’état va permettre de renforcer sa légitimité puisque va être mise en place une concomitance des échéances électorales avec celle des députés. Les chances que els citoyens votent deux couleurs politiques opposés sont affaiblies.

Ainsi, le quinquennat réduit donc les risques de cohabitations ce qui permet au président réduit les risques de blocage politique et de rester toujours le véritable chef de l’exécutif et dirige l’action du gouvernement.

2. Le retour aux pouvoirs encadrés du Premier ministre

si supprimes les risques de cohabitations

concordances avec élections députés.

Plus de cohabitation donc retour à un exécutif bicéphale partagé avec les pouvoirs du Pm et ceux

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