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Droit constitutionnel, l'États monarchique

Par   •  16 Novembre 2018  •  4 535 Mots (19 Pages)  •  461 Vues

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la deuxième moitié du 16e siècle, les confrontations des monarchomaque sont conduit par différente antenne

Le mot est formé du grec « ce qui combat le monarque », il refuse le pouvoir d’un seul => d’abord un mouvement protestant et aussi un mouvement théorique avec des traités, des ouvrages de la pensée monarchomaque sont publiés après la Saint-Barthélemy en Français.

Pensée de combat pour contesté le pouvoir monarchique

L’idée au cour de la pensée monarchomaque est développé dans un texte de Calvin en 1536 nommé, l’institution de la religion chrétienne et il y a une phrase dans laquelle Calvin dit que les assemblés du royaume, ont le droit de protester contre le pouvoir royal, pour défendre la liberté du peuple remise en cause par le « tyran »

§2. Les principaux arguments des monarchomaques : théorie contractuelle et pouvoir du « peuple »

Lorsque que commence les guerres à partir de 1560, il justifie la violence utilisé par la phrase de Calvin. Ils appellent à renversé Henri II, à cause de l’édit de Compiègne (1557)

La violence qu’il appelle légitime. Lorsque la politique royal se fait + répressive à l’égard des protestants, il est impossible selon le monarchomaque.

A partir de cette périodes sont rédigés les ouvrages monarchomaque français par François Hotman : surtout avec Franco-Gallia. Le mouvement s’accentue après la Saint-Barthélemy. Les monarchomaques se demande lorsque le roi est devenu un assassin, est-ce que ses sujets sont-ils désarmés ?

Les différents ouvrages sont la base du mouvement monarchomaques

Ils utilisent une conception contractuelle du pouvoir et disent que le pouvoir appartient au peuple

Les Théories monarchomaques menacent la vie des rois.

Les monarchomaques considère que c’est au peuple qu’appartient le pouvoir. Et le roi est le pilote du pouvoir.

Donc le pouvoir du roi est limité, contrôlé. Et si le roi ne respecte pas les limites du pouvoir, il peut être destitué car elles sont le pouvoir appartient au peuple.

Le régime décrit par les monarchomaques ce que les constitutionnalistes considère comme un régime mixte. La monarchie n’est jamais qu’un élément => pouvoir partagé

Les monarchomaques utilise une doctrine du contrat et de l’obéissance conditionnelle. Il estime qu’un engagement est passé entre le Roi et le peuple. Le roi doit donc respecter l’avis des sujets, leurs libertés, leur bien et maintenir les lois et le contrôle du royaume

Donc un partage équilibré entre les 2 camps.

Cette conception contractuelle de la royauté montre que si le roi ne respecte pas sa part alors peut-être il peut être destitué.

Les plus extrême monarchomaque disent qu’un roi qui ne respecte pas, c’est un Tyran et il doit être mis à mort.

La pensé monarchomaque => nouvelle définition de la tyrannie politique. Ce qui était qualifié de tyran était pris pour des usurpateurs comme Catherine de Médicis car régente.

Mais les monarchomaques distingue les tyrans d’exercices. Il a le droit d’exercer le pouvoir (le roi), mais sa légitimité d’origine en revanche il l’a perdu dans la façon dont il a exercer le pouvoir. Cela permettrait d’exercer une plus grande pression sur le roi car il peut potentiellement être menacer.

Particulièrement cette pensée est d’origine protestante mais elle est reprise par la Sainte-Ligue

- Un droit gouvernement de plusieurs ménages et de ce qui leur est commun : Au niveau de la décennie de 1580. En 1584, le frère d’Henri III meurt et selon les lois on sait que ca va être Henry IV son successeur. Il essaye de concilier les protestants et les catholiques avant sa mort. Donc la Sainte-Ligue va se rapprocher des éléments des monarchomaques car il cherche à interdire les protestants.

Les arguments sont voisins mais il y a une différence avec les monarchomaques catholiques.

Jean Boucher -> en 1589, il publie un ouvrage, De la juste abdication d’Henri III puis il a ensuite publié, Serment sur la simulé conversion et la nullité d’Henri IV comme l’indique ses titres, leur but est de justifier la destitution ou l’assassinat des Roi. Il développe une idée contractuelle du pouvoir royal.

La souveraineté, principe de la République : La différence essentielle que les catholiques considère, c’est qu’au moment du sacre il se forme un contrat car le roi prête toujours le « serment du sacre » et pour les monarque catholique le roi à promis de protéger l’église et de conduire son peuple sur la voir du salue. Il faut donc destituer le roi car il a trahi la promesse du sacre. Contestation fondé sur le contrat car le devoir, fondamentalement qui conteste dans un 1er temps : l’assassinat d’Henry IV choque.

Les théorie monarchomaque perde de l’importance mais on va voir ressurgir plus tard que le pouvoir est issu d’un contrat. Face à cette contestation, il faut répondre

Le pouvoir royale et sont entourage se doit de répondre a ces théories monarchomaques

Une réponse plutôt politique d’abord , une théorisation de la monarchie absolue puis une réponse religieuse.

Chapitre 2- Une réponse politique

SECTION 1 – La théorie de l’état souverain de Jean Bodin

PARAGRAPHE 1 : La définition de l’état souverain de Jean Bodin

Elle va essentiellement s’articuler autour de la souveraineté de l’état qui va être développé et théorisé a cette époque.

A partir de la deuxième moitié du 16ème siècle apparaît une réflexion sur l’état monarchique et sont pouvoir.

Cette réflexion est notamment le fruit d’un auteur juriste Jean Bodin.

Dans un de ses ouvrage « les six livres de la république » (ouvrage monumental) qui paraît en 1576 , c’est a dire après la saint Barthélémy quand les théories monarchomaques commence a ce développer.

Expressément théorique et compliqué.

Jean Bodin est

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