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Peut on se mettre la place d'autrui ?

Par   •  22 Novembre 2018  •  1 600 Mots (7 Pages)  •  571 Vues

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forme de compassion comme par exemple dans Orange Mécanique de Stanley Kubrick, le personnage Alex Delarge, s’apprête à se suicider, c’est a ce moment que le réalisateur decide, afin que l’on soit « a fond » dans le film, filme la scene dans une vue a la premiere personne.

2)LEVINAS:

A)Conditions d’ordre sentimentales

Pour mieux comprendre ce que ressens autrui, il faut avoir vécu les meme experiences de cette personne comme par exemple après la seconde guerre mondiale, lorsque les russes ont forcés les habitant allemands a aller dans les camps, pour qu’ils comprennent le sixième de ce qu’ils ont pus endurés ou bien lorsque une personne qui a eu son bac, peut comprendre ce que ressent un lycéen qui est sur le point de le passer et peut donc l’aider a compatir à l’égard de ce lycéen.

B)Conditions d’ordre biologique

la paternité : Levinas dit, je cite « la paternité est la relation avec un étranger qui, tout en étant autrui, est moi » Ici, ce philosophe veut nous introduire la notion de relation de sang, comme ici, la paternité. En effet, il affirme que l’enfant d’un parent est une personne a part, mais est aussi, son parent et vice versa « Je n’ai pas mon enfant; je suis en quelque manière mon enfant » Donc il n’est pas quelque chose de momentané car son enfant est une personne et non un sentiment nous explique Levinas. De plus le parent n’éprouve pas de sympathie à l’égard de son enfant, car il est, d’une certaine manière, son enfant, et donc, il peut se mettre a sa place non par compassion, parce qu’il peut être considéré comme étant une personne extérieur a lui, mais parce qu’il est en partie son fils, car son enfant est la chair de son sang, et a donc cette condition d’ordre biologique sur l’enfant, que l’enfant a aussi sur son parent que de pouvoir se mettre a sa place avec plus de facilité que n’importe quel personne extérieur.

C)Conditions d’ordre

3)LUCRÈCE

A)La complexité de se mettre à la place d’autrui

la souffrance d’autrui :  « le sentiment de notre propre sécurité, l’idée que c’est réellement un autre qui souffre, remplit continuellement notre esprit; et si elle ne nous empêche pas d’éprouver quelques mouvements de sympathie , elle ne nous permet de rien éprouver qui approche de la souffrance d’autrui; la personne intéressée s’en aperçoit et desire vivement un degré de sympathie plus complet » Smith nous dit ici que nous pouvons nous perdre dans un autre, mais que le, avec Levinas qui dit je cite : « Sans m’absorber dans ce toi, et sans m’y perdre, rester moi ? » on peut prendre donc en compte qu’il nous est capable de pas être capable de distinguer le moi et ce toi, que nous pouvons prendre trop a coeur, la place de l’autre, et de s’y perdre.

B)Le nombrilisme de l’homme

Ce que dit Lucrèce , je cite « non qu’on trouve grand plaisirs à regarder souffrir mais on se plait a quels maux vous épargne » C’est l’être humain n’est pas une creature dont les hobbys sont de se complaire dans la souffrance de l’autre, mais que bien au contraire, il apprécie le fait d’être le prince en haut de sa tour d’ivoire qui regarde son peuple déchainer, car il se complait dans sa sécurité et apprécie ce sentiment de « chance » que d’autre non pas, comme s’il était « different », on peut prendre comme exemple les mouvements de modes, où les gens se conformer se conformer aux normes pour ainsi être en sécurité de tout type de critique et ne tente pas de se créer lui meme un style car il a la crainte d’être « touchable » et donc exposé aux dangers que sont les critiques. Cependant, cette personne vie-t-elle vraiment ? à l’écart de tout type de danger ? car a force de se conformer aux pensée des autres, l’homme perd son moi, et sans celui ci, il ne peut distinguer le moi du son toi

L’homme préfère être au centre de l’attention, culte de la personne

C) Autrui, un médiateur

Sartre, la honte « j’ai honte de moi tel que j’apparais à autrui » et dit je cite « Autrui c’est l’autre, c’est a dire le moi qui n’est pas moi ». Pour Sartre, il est nécessaire de se mettre à la place d’autrui afin de prendre conscience de son acte. L’homme a besoin d’un médiateur afin qu’il comprenne, car ce n’est qu’aux yeux d’un autre qu’il ressent de la honte, c’est en effet parce que l’homme ne voit son moi dans une personne qui n’est pas son moi, ce qui lui permet de prendre du recule et de prendre conscience de son acte car la honte est la conscience de la honte et il dit, je cite « Autrui c’est l’autre, c’est a dire le moi qui n’est

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