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Les AES

Par   •  25 Novembre 2018  •  1 042 Mots (5 Pages)  •  374 Vues

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en exergue que le taux le plus élevée des AES se situe lors de la deuxième année de formation. Ce taux étant liée aux actes de soins technique ainsi qu’à la plus grande technicité demander en deuxième année par rapport à la première.

Ce résultat entre aussi en corrélation avec le lien entre les années d’expérience et le risque d’AES.

Cependant pour les troisièmes années le résultat obtenu n’est pas représentatif de par le fait que la promotion 2011/2014 qu’en deuxième année.

Entre 2010 et 2013, 18% des étudiants ont eu des AES dont 52% non-déclarés ; malgré leur connaissance sur les situation d’AES ainsi que la feuille de conduite à tenir présente dans leurs porte folio qu’ils emmènent sur les terrains de stage.

Les lieux de stage ou il y a les plus de sous déclaration sont en première position les lieux de vie (EHPAD et libéral) suivis par la médecine et la chirurgie.

Et les actes principaux causant des AES sont, pour la plupart (12%) les piqûres suit à une injection en sous cutanée d’insuline.

En ce qui concerne qui concerne les causes des non-déclaration ils est plusieurs fois évoqué la peur des conséquences, que ce soit sur le bilan de stage ou sur la formation. Dans l’enquête on retrouve aussi la dissuasion de la part du professionnel, qui identifient des patients comme n’étant « pas à risque » ou l’AES comme n’étant « pas grave » ou encore la culpabilité des élèves qui par honte ne les ont pas déclarés.

Pour le vécu de la situation d’AES, les élèves qui ne le déclare pas les décrive comme étant à 86% un accident, pour 82% comme une maladresse et a 55% comme une faute.

Ainsi 18% n’ont pas réalisés les gestes de premiers soins et malgré le signalement de leurs AES au professionnel, 41% n’ont pas eu de recherche concernant le statut sérologique du patient. Et pour 82% la consultation auprès de la santé du travail n’a pas été effectuée.

Ainsi il y a « banalisation du risque par les professionnel » ce qui corrobore la réaction de non déclaration par les étudiant qui « se comparent et se conforment » a leurs tuteur qui est « assimilé a un modèle.

Cependant « 55% des étudiants ont tout de même vérifié, à titre personnel leur sérologie.

Les points essentiels de l’analyse des résultats :

L’étude mené met en lumière le taux de non déclaration des AES par les étudiant de l’IFSI et ainsi corrobore l’hypothèse par des chiffre parlant : 18% des étudiants ont déjà vécu des AES et 52% d’entre eux n’ont pas été déclarés comme tel sur l’institut.

Ce qui interpelle du fait du haut risque d’exposition auquel sont confronté les élèves, qui serons ensuite de jeune soignant diplômé d’état et qui serons, de par leurs débuts de carrière une « population particulièrement exposée ».

Les causes des non-déclaration de la part des élèves sont multiples tels que la peur de conséquence négative, le manque de temps, l’assimilation a une faute, la banalisation des AES, un jugement de « non gravité » par les professionnels encadrant.

La mise en lumière de ses causes permet de mieux comprendre l’irrégularité des déclarations d’AES d’une année sur l’autre et de valider l’hypothèse initiale.

Et c’est ainsi que grâce à cette recherche, la mise en évidence d’un « besoin de renforcer les connaissances » a été mis en exergue en ce qui concerne les répercussions possibles d’une non déclaration d’AES entrainant une contamination a pu être

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