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Marketing des réseaux sociaux

Par   •  2 Janvier 2018  •  2 493 Mots (10 Pages)  •  545 Vues

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Ex1 : pourquoi on fume ? pour ressembler aux autres

La tribu s’enrichi du partage, de savoir et d’expérience ce qui est prégnant c’est l’expérience vécu qui ne doit pas être auto conservé mais bine destinée à être médiatiser.

Nous passons de l’individu cognitiviste (connaissance) rationnel au consommateur expérientiel mû par ses affects. Les membres de la tribu vont donc être inciter a partager et vont mettre en œuvre des facteurs intégratifs comme se souvenir ensemble, le temps qui passe nous effraie et donc on cherche évidemment dans la tribu a suspendre le temps.

Ex : Etre ensemble c’est important

Défendre des solidarité (twitter c’est que émotions)

Ce qui est donc partager permet d’échanger les clôtures d’échanges, c’est a dire qu’on s’ouvre aux autres, donc le marketeur doit chercher ce qui est pérenne comme valeurs dans la communauté.

Ritzer montre que la perte des originaux se traduit par l’émergence de copie qui n’ont de succès qu’avec l’acceptation et la participation des communautés de fan, car on peut ainsi les intégrer dans la marque (ex : BMW avec la mini cooper)

Chez Caru et Cova le marketing expérientiel se mesure a la contribution que les communautés peuvent mettre en œuvre pour crée de nouvelles formes d’appropriation.

Quelles sont les formes d’appropriation ?

Seront elle mémorisables, intense… ces valeurs vont permettre de générée un nous englobant et comme il est englobant il est fédérateur

Cette tribu de note de nominateur commun allant jusqu’à l’émergence du langage commun avec le fleurissement d’expression métonymique (partir du signifié pour aller au signifiant) réservé à la tribu.

Le but de ce langage est a la fois une reconnaissance et puis une clôture entre l’intérieur de la communauté et l’extérieur de celle-ci.

Ainsi la tribu va fonctionner selon des règles qui lui sont propres et au sein des quelles on ne peut que progresser, en sachant qu’elle fonctionne selon des cercles concentriques, c’est a dire qu’au centre de la tribu il y a les référents, ceux a qui on va se tourner quand il y a un problème. Ainsi donc l’homo tribalus présente des caractéristiques propres dans ces choix de consommations qui sont relié à la tribu communauté.

Dès la tribu de marque de l’intérieur vers l’extérieur.

Le Badot et Le moine, la tribu de marque est un groupe d’individu qui partage un même intérêt pour la marque et crée ainsi un univers social parallèle qui possède ces propres valeurs. Ne pas confondre toutes les tribus, car la foule c’est une tribu sans leader.

Une foule n’est pas un clan. Un clan c’est une tribu sans vocation a extension de ses membres. La tribu marketing au contraire est progressiste, elle cherche a recruter a fin d’étendre son influence, mais elle peut englober d’autres tribus aux travers de réseaux sociaux, elle est anthropophage. Elle est surtout un interlocuteur avec la marque. La marque devient dès lors un support pour rencontrer d’autres personnes et ensemble se donner des valeurs fondatrices de l’existence fondatrice.

On va créer de l’affecte en sachant que l’investissement ne sera pas le même pour tous, elle se dote de moyens de communication rapide et ciblé avec des moyens de défense.

Trois levier de marketing tribaux :

- La ritualisation du parcours client

- L’exacerbation des stimulations sensorielles

- L’érotisation du personnel au contact.

Le domaine du management tribal et communautaire

- S’approprié l’activité de community manager.

Il faut savoir accepter le changement, c’est a dire que les entreprises ont changer le modèle d’humain, on est passer du consommateur pur au consommateur citoyen.

3 attitudes possibles face aux changements :

- La thérapie de choque : on pense que la relation avec la marque a changer, donc il faut s’adapter aux nouveaux moyens de communiquer, haro sur le passé

- La position de veille : on va mettre une commission pour donner un rapport

- La position de l’autruche : on pense que l’avenir ne changera jamais

Il faut donc développer l’art de la conversation car entre les communautés de fan et la marque plus rien n’est figé on instaure une approche fondée sur le dialogue.

Il faut savoir identifier les différents environnements auxquels le community manager est confronté, notamment identifier l’image de la marque, quels sont les mots clé qui la caractérisent, comprendre la naissance des communautés avec leurs passions pour la marque, est ce que ces communautés sont cannibales ? est ce qu’elles sont ultraconservatrices et comment perçoivent-elles le rôle des community manager ?

Comment va évoluer le community manager dans son rapport avec les communautés ?

- Comment place-t-on les communautés de Fan.

- Nom

- Ancienneté

- Zone d’influence

- La capacité aux alliances

Les entreprises vont maintenant héberger les communautés sur leurs sites. 3 avantages :

- On va pouvoir les recenser

- Pouvoir se connaître et échanger entre elles via le cummunity manager

- Pouvoir les contrôler

La force des communautés c’est de générer elles mêmes leurs propres régulations et crée des whuffie bank (les données collecter sur votre image social)

Starbucks a créé les mavens, ce sont des remonteurs d’information afin d’améliorer le service de la compagnie, des vrais fans qui font ce travail par passion et complètement gratuit (en gros des boloss)

Elaborer une identité commune :

Dans tout groupe a tendance sociale, il faut avoir une solidarité,

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