Le fonctionnement du marché du travail

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- Pouvoir de négociation des parties prenantes (salariés et employeurs) tant au niveau individuel (profils rare), que collectifs (certains salariés revendiquent collectivement des augmentation) → Le rapport de force est majoritairement du côté des demandeurs de travail (surtout en période de chômage élevé)

- Des grilles de salaires issus de la négociation collectivement

- De la conjoncture économique (en période de croissance, les salariés souhaitent bénéficier des fruits de la croissance)

- Des salaires pratiqués dans les entreprises concurentes.

II – Quelles sont les contraintes pesant sur la fixation des salaires en France ?

A) Les contraintes légales

Le montant du salaire (salaire de base) est fixé librement à condition de respecter un certain nombre de dispositions légales, dont notamment le principe de l'égalité salariale .

Les critères de différentiation légales sont :

- Différence d'ancienneté

- Différence de compétence

- Différence de productivité

- Différence de qualifications

Les critère de différentiation innégales sont :

- Le sexe

- L'appartenance religieuse

- L'appartnance syndicale

- L'etat de santé …

Ces critères permettent d'éviter les abus de discriminations ce qui permet de garantir l'équité des salariés.

B) Le salaire minimum (SMIC)

Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance est le salaire en dessous duquel aucun employeur n'a légalement le droit de rémunérer ses salariés.

Il est fixé par le gouvernement est révisé chaque année au 1er janvier pour tenir compte de l'évolution des prix de biens et services ( l'inflation).

Objectif du SMIC : Garantir le pouvoir d'achat des salariés dont les rémunérations sont les plus faibles.

Il n'existe pas « un » salaire d'équilibre mais « des » salaires d'équilibres sur le marché du travail, fonctions de nombreuses variables et de contraintes comme le pouvoir de négociation des parties présentes, la qualifications des agents ou encore les différentes contraintes légales.

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