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Banque Assurance

Par   •  26 Novembre 2018  •  9 365 Mots (38 Pages)  •  373 Vues

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Elles doivent prédire assez précisément combien elles encaissent en prime et combien elles devront payer en prestations dans les années futures.

Elles investissent les primes récoltées sur des placements de très long terme tels que les obligations d’Etat, les actifs immobiliers…

En Europe on remarque un fort développement des assurances vie due au problème des systèmes par répartition.

Analyse de documents

Quelles sont les caractéristiques essentielles du financement de l’économie française ? Quelle est la contribution des banques à ce financement ? Des assurances ?

Page 3 : On remarque que l’économie nationale est en besoin de financement en 2011, ce besoin s’élève à 46 milliards d’euros qui correspond à 2% du PIB (= 2000 milliards).

Dans le tableau et le premier graphique, on peut voir que les sociétés non financières et les administrations publiques sont en besoin de financement, alors que les sociétés financières et les ménages sont en capacité de financement.

Tableau en haut de page 4 : il nous indique les flux d’actifs et de passif vis à vis du reste du monde, entre 2004 et 2007, il y a une forte augmentation du volume de flux d’actifs et de passifs vis à vis du reste du monde, de 2007 à 2010 il y a une diminution de ce volume au niveau des actifs et des passifs : ceci s’explique par la crise financière de 2008 qui a eu un désengagement vis à vis du reste du monde. Les agents à capacité de financement ont de moins en moins tendance à aller financer à l’étranger. Depuis 2004, le flux de passif est supérieur au flux d’actif, c’est à dire qu’il y a plus de financement qui viennent de l’étranger en France que de financement allant à l’étranger.

Conclusion : On assiste à une internationalisation du financement c’est à dire de l’intermédiation financière.

Graphique en bas de la page 3 : Sur ce graphique, on remarque que pour l’ensemble de l’UE on a un quasi équilibre des besoins et des capacités de financements, voir un léger excédent de 2010 à 2011. On remarque également que l’Allemagne et l’Espagne se démarque des autres pays européens, l’Allemagne par son fort taux de capacité de financement (6% du PIB) et l’Espagne par son fort taux en besoin de financement (9,5% du PIB en 2008). La France connaît une diminution régulière de ses capacités de financements pour arriver en besoin de financement à une hauteur de 2% du PIB. On voit que ce taux est commun à L’Italie, l’Espagne et la France.

Expliquez le mode de calcul du taux d’intermédiation financière (TIF) au sens strict et au sens large.

Appréciez l’évolution récente des taux d’intermédiation.

Analysez la structure des TIF, en particulier la part des banques et assurances.

Le taux d’intermédiation financière (TIF) : représente la part des financements apportés par les Intermédiaires Financiers résidents (EC, OPCVM et sociétés d’assurance) dans le total des financements obtenus par les ANF résidents (somme des flux de financements externes reçues) sachant que :

Total finance ANF résident = Total Intermédiaire Financier + finance ANF et IF résidents

La mesure du TIF est un moyen de caractériser l’importance du rôle des intermédiaires financiers dans l’économie.

FI : Financement Intermédiaire

FT : Financement Total

Au sens strict : TIF = FI crédits ANF / FT ANF

=> Mesure la part des crédits (principalement bancaires) accordés par les IF aux ANF dans le total des financements dont bénéficient les ANF.

Au sens large : TIF = FI ANF / FT ANF

=> Mesure la part des crédits et titres des IF dans le total des financements dont bénéficient les ANF.

La structure et l’évolution du TIF

- Pour les banques (Graphique page 5) :

En juin 1995, on remarque que 75% du total des financements obtenu par les ANF résidents à été fait de façon intermédiaire au sens large (on prend en compte les crédits et toutes sortes) à l’aide d’un intermédiaire financier

Au sens strict : en juin 1995, elle est autour de 65%

Les deux diminuent fortement.

- Pour les assurances (Tableau haut page 6) :

On remarque que le crédit entre 2005 et 2010 n’a pas bougé cependant la répartition par secteur on se rend compte que le financement pour les banques n’a pas bougé au contraire il y a une diminution pour les sociétés d’assurances (Chiffres tableaux)

Etudiez la structure des placements des agents non financiers et celle des ménages

Quelle est la part des banques dans ces placements ? Des assurances ?

Graphique p 7-8-9 et tableau au milieu de la page 6

Tableau page 6 : Le volume des crédits augmente et il y a une hausse des crédits contractés par les particuliers et les administrations, respectivement de 40% et 10%.

On constate en France qu’il y a une forte part d’obligations contrairement aux autres pays européens.

Graphique page 7 : Structure des placements : la part qu’occupent les assurances et les banques. Au niveau de la structure des placements, on se rend compte qu’on à une diminution de la part de actifs financiers au profit d’une hausse des placements immobiliers.

Au sein de ses actifs financiers, on remarque une augmentation de la part des techniques d’assurances.

Graphique page 8 : une forte hausse des placements bancaires et une baisse des placements non bancaires et surtout une baisse des contrats d’assurance vie. On a un aperçu de comment est alloué l’épargne et on se rend compte qu’à partir de 2008 que entre 2010 et 2012 on a un attrait pour les placements non risqués et non liquide qui sont les comptes à terme, l’épargne

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