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Ciné Critique

Par   •  27 Mars 2018  •  1 898 Mots (8 Pages)  •  454 Vues

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Comparaison

De prime abord après avoir vue c'est trois films on peut observer des points communs. Par exemple que dans chacun des films on a un ou plusieurs crime(s) commis dans M le maudit c'est avec le tueur d'enfant. Dans Timbuktu c'est avec la mort de Amadou et pour finir dans L'homme qui tua Liberty Valance avec la mort de Liberty Valance qui amène au second thème commun, qui se trouve être la justice. Elle est présente dans ces films avec l'utilisation des juges dans M le maudit et Timbuktu. Dans L'homme qui tua Liberty Valence la justice est rendu grâce au meurtre de Liberty qui libère le village de la crainte qui y régnais, un autre point commun. La crainte est pressente dans c'est trois films avec la peur des mère dans M le maudit, avec la charia qui peut être infligé au personne ne respectant pas les règle dans Timbuktu ainsi que la peur de Liberty par les villageois dans L'homme qui tua Liberty Valance.

Par ailleurs on observe quelque difference, L'homme qui tua Liberty Valance et M le maudit sont en noir et blanc à contrario de Timbuktu qui lui est un film en couleur. L'homme qui tua Liberty Valance et un Western ce qui n'est pas le cas des deux autres œuvres. Les intrigues ne sont pas porter sur les même sujet dans M le maudit on parle d'un tueur d'enfant, dans Timbuktu et L'homme qui tua Liberty Valance c'est une confrontation, une vengeance. On peut remarquer que un champs lexical spécifique et attribuer au film de John Ford celui du far-ouest.

Coup de cœur

Le film coup de cœur de ce numéro sera Timbutku.

Cette œuvre a été un véritable coup de cœur pour plusieurs raisons. De prime abords le début est étrange et intéresse le spectateur, de part son silence mais aussi a cause de la gazelle. On la voie courir durant quelque seconde sens aucun bruit puis, un coup de fusil retenti. Mais les plans sont monté en alternance de façon à ne jamais voir le pick- up et la gazelle dans le même champs de vision. On voit apparaître peut de temps après les coups, un drapeau accrocher au pick-up. Il nous conduit jusqu'au village de Tombouctou où l'histoire vas se dérouler. De plus l'histoire est tournée de façon a donner au spectateur une sensation de documentaire, tout en suivant la vie d'une famille et d'un village. Se qui rend les images plus réaliste se qui nous fais sortir de l'univers de la fiction et nous fais vraiment voyager. Ce film dénonce le djihadisme et c'est méfait comme l'interdiction de joué au foot qui est montrer a l'aide d'un plan magique montrant des jeunes hommes qui joue au foot sans ballon. La présence du ballon et matérialiser par la musique, un son plus aigu se fait entendre quand les joueurs frappent dans le vide afin de rendre la partie plus vivante. On leurs interdit aussi de chanter ou joué de la musique. Lors du film on peut voir un groupe de 4 personnes, 2hommes et 2femmes, entrain de chanter et joué de la musique quand les soldats de garde de nuit rentre dans leur maison et les arrêtes. Ils les amènent devant un juge. Durant le jugement l'une des femmes ne cesse de chanter tout en pleurant. On nous montre ensuite les différentes formes de punition. Lorsque la chanteuse et les musiciens se font fouetter elle ne cesse de chanter. Ce plan montre la force du peuple, tout comme la vendeuse sur le marcher qui serait prête à se faire couper les mains plutôt que de porter des gans . Comme répréhension suite a une faute commise, la charia peut être pratiqué, un exemple figure dans le film. Tout cela montre un par d'horreur que subissent les habitant du village certain meurt même de voir tout cela nous fait réaliser que notre pays n'est pas si terrible et que l'on peut trouver pire. On peut voir aussi dans ce film de magnifique plan. Le plans qui montre la mort de Amadou et un plan large qui joue sur les couleurs avec un coucher de soleil qui se reflète dans le lac. Une femme a l’apparence bizarre qui se promène tout le temps avec une poule dans les bras elle est représenter comme folle. Au fur et a mesure du film on peut penser que ça folie lui sert d'échappatoire a toute les règles. Le plan final de se film reprend la même construction que le premier, avec la gazelle, alors que cette fois c'est la petite fille qui cour.[pic 6][pic 7][pic 8]

Pour conclure ce film nous montre jusqu'à ou une vengeance et un excès de colère peuvent mener.

Écrit par MONDINI Océane,

publier le 20\03\2016

ciné critique vous remercie et vous dit a bientôt dans un prochain numéro

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