Victor Hugo (1802-1885), Les contemplations (1846),

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2) Le cheminement dans le temps nécessaire à l'acceptation du deuil

Tout d'abord il exprime sont envie de la rejoindre « vois-tu, je sais que tu m'attends » « je ne puis demeurer de toi plus longtemps » Le poète montre sa solitude « loin de toi » « sans rien » « seul » Il insiste encore plus au vers 7 avec l'utilisation d'une anaphore « triste et le jour pour moi sera comme le nuit » V8 « Triste,... » puis ensuite l'acceptation du deuil « un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs » qui montre un renouveau de l'espoir.

III) Du sentiment intime au sentiment universel

1) La douleur intime

Dans le poème on ressent tout la souffrance de Victor Hugo, tout d'abord dans la première strophe « Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps » On voit que tout le poème décrit ses sentiments « je partirai » « j'irai » « je ne puis » « je sais » « mes pensés » « pour moi » on comprend aussi sa solitude par l'emploi d'adverbe traduisant l'absence « sans rien » « loin de toi » « seul » Il refuse de poétiser la nature ou de parlé de sa douleur intime, le paysage est donc imprécis « blanchit » « sans rien voir dehors » il est indifférent au paysage avec la répétition « sans »

2) Le sentiment universel

On peut ressentir un sentiment universel, car Victor Hugo utilise le « je » ou « tu » il est donc facile de se mettre à la place du poète. C'est donc un sentiment universel, car jamais Victor Hugo ne dit que son histoire a était vécu ou c'est ce qu'il ressent. On peut donc facilement ce mettre à la place du poète, on peut s'identifier dedans. Victor Hugo a donc crée un sentiment universel.

Conclusion : Dans le poème Demain des l'aube on comprends que Victor Hugo rend hommage a sa fille, le poème se rapproche au poème qui ressemble au caractéristique du romantisme avec l'utilisation des paysages, la solitude du poète. Mais Victor Hugo se détache du poème classique avec un poème intime, axé sur ces sentiment seulement, de la douleur de son deuil.

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