Synthèse : Je me souviens, sujet de culture générale

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Comme en témoigne l'article de Pascal Senk, « Les bons côtés de la nostalgie », (le figaro.fr), il faut d'abord et avant tout établir une distinction entre la nostalgie et la mélancolie. Il s'agit de comprendre que l'évocation de souvenirs musicaux est stimulant puis source de bonne humeur. Ces souvenirs augmentent considérablement l'estime de soi et participe à donner un sens à la vie. Non seulement de mettre en place une identité celle-ci contribue à donner un sens à la vie.

Selon Senk, le souvenir musical marque à jamais la vie de l'être humain car chaque musique est associée à un moment marquant. Par exemple, écouter une musique joyeuse peut nous ramener au souvenir d'un heureux mariage.

Enfin, le souvenir musical est une guérison. La nostalgie lutte contre les vulnérabilités et permet d'affronter le présent en puisant dans le passé. C'est une introspection qui entraîne sans cesse la mémoire. Comme le démontre l’œuvre artistique de Raphaël Mengs, Apollon, Mnémosyne et les muses, toutes créations ont un but. La mémoire n'est que la source de la poésie, il n’existerais pas de créations artistique sans mémoire. La mémoire est à la fois un guide.

La force du souvenir musical se caractérise sous plusieurs formes et est intemporel. Il semblerais que tout le monde sois toucher par ses souvenirs qu'ils soient nostalgiques ou heureux. A travers le corpus nous avons pu clairement constater qu'il éxiste une tendance à retenir les bons aspects du passé. Au fond c'est surtout le souvenir que l'ont aime c'est lui qui transfigure les époques. En effet le souvenir musical peut apporter un certain détachement avec la réalité qui peut s'avérer être source de sérénité et d'évasion. Peut-être est -ce pour cela que le souvenir musical porte le fantasme d'une complétude que la réalité présente refuse toujours ?