Scène de repas, écriture d'invention

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fut interrompu par l’arrivée du serveur qui interompit l’altercation et annonça que il y aurait des frites et un filet de bœuf pour chacun des enfants. François lâcha un soupir qui arrive jusqu’à l’oreille de sa sœur qui lui jeta un regarde noir. Les enfants étaient affamés et tapaient des coudes sur la table alors François redemanda le silence et là ce fut à Kevin de lui jeter un regarde noir, pendant ce temps là à l’autre bout de la table se trouvait toujours Amandine, la fille de François toujours accaparé par son nouveau jouet. Louise s’empressa alors de lui faire une remarque :

« Eh Amandine tu pourrais faire une effort ça fait longtemps qu’on s’est pas vu toute les deux. »

La principale intéressée ne leva même pas la tête pour répondre à sa tante tant elle était absorbé par son jeux. Louise ne manqua de le faire savoir à son frère :

« - Mes enfants sont peut être très bruyant mais au moins, quand quelqu’un leur parle ils ont la descente de te répondre.

- Le décence Louise pas la descente » s’insurgea Mathilde.

Louise se sentit mal-à-l’aise et se tut pendant quelques minutes, elle posa son regard un peu partout dans la salle, et s’arrêta sur le nombre de fourchettes et de couteaux présent sur sa table et se demanda alors comment elle pourrait tous les utiliser et à quoi pouvait-il bien servir, mais il était hors de question de demander à son frère ou à sa belle-sœur car elle serait encore passer une incapable qui ne comprend rien à rien.

Les plats furent servis et le repas se poursuivit toujours dans le vacarme ambulant qu’émettait les enfants de Louise, ce qui ne pouvais pas être le cas des enfants de François et Mathilde parce que premièrement ils n’en n’avaient voulu qu’un, et deuxièmement parce que cette dernière ne parlait pas et restait devant son écran. Louise s’étonna de voir que sa filleule était tant renfermé et décida d’en parle avec ses parents.

« - Elle n’a pas l’air très sociable ta fille François, avant elle était plus joyeuse et semblait plus heureuse.

- C’est vrai que depuis qu’elle est rentrée au collège, elle semble plus fatiguée, et moins guillerette

- Peut être que tu n’est pas assez présent pour elle avec ton travail, tes interventions au quatre coins du monde, ou peut-être qu’elle se fait harceler au collège c’est un phénomène qui malheureusement arrive souvent de nos jours.

- Oui il faudrait peut-être qu’on en parle avec ses professeurs, n’est ce pas Mathilde ?

- Excuse moi, mon chéri, de ne pas prendre en considération les dernières lubies de ta pauvre sœur, qui pense que notre fille à un soucis, elle se porte très bien, elle est juste très occupée avec tout le travail qu’elle fournit au collège, mais ta sœur ne comprend pas le sens du mot travail étant donné qu’elle est mère au foyer ! »

Louise éclata en sanglots s’en était trop pour elle, elle venait voir son frère qui lui manquait, elle s’inquiétait pour sa filleule qui ne parlait pas ou peu, elle devait gérer ses 5 enfants toute seule car son mari travaillait jour et nuit pour subvenir à leurs besoins, elle essayait d’être une bonne personne auprès des siens, et elle venait de se faire insulter en public devant tout les siens par sa belle-sœur. Louise laissa ses enfants avec son mari Kévin à table avec sa belle-famille, et s’en alla dehors prendre l’air elle arracha une cigarette à un passant, elle qui n’avait pas fumer depuis au moins 15 ans, elle ’alluma et s’en alla sur la plage.

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