Madame bovary , épreuve de littérature Terminale L

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qui la séduit , lors des commices notamment , puis elle veut partir avec lui au soleil et vivre enfin la vie auquelle elle à toujours escompté mais il l’abandonna . De ça, Emma fut très malade . Elle renoua avec Léon elle se mît à dépenser plus que ce qu’elle a, elle gère les biens du foyer . Elle emprunte même jusqu’à s’endetter . On constate ici qu’elle veut vivre au dessus de ces moyens pour espérer exister , mais en vain elle reste un personnage médiocre . Son créancier , Lheureux pousse la jeune fille à rembourser ses dûes et ne sachant que faire elle se donna la mort .

En somme , Emma subit tout au long de sa vie des pertes de contacts avec la réalité . Elle vécut dans un idéal qu’elle n’atteindra jamais ce qui la plonge a vivre au dessus de ce qu’elle possède et dépenser sans compter jusqu’à ne trouver aucune issus appart la mort .

Pour réponse à la seconde question nous verrons qu’Emma bovary est un cas pathologique . En effet, le terme de bovarysme a était établi depuis le personnage éponyme que fit naître Flaubert . Il s’agit d’un trouble de la personnalité présente chez les personnes insatisfaites comme l’est notre jeune femme. Emma a tout pour être épanouie et heureuse , son mari médecin, une fille, mais cependant rien n’y fait elle ne sens pas heureuse et s’ennuie de cette vie.

De plus , le comportement d’Emma tantôt blanc tantôt noir fait ressortir toute la fragilité psychique de la jeune femme . On verra que par moment comme lorsque elle tombe amoureuse à l’Opéra et qu’elle a des amants qui jouent d’elle , elle fera des malaises et crises nerveuses caractéristique de de la folie . Elle est très instable , d’un coup elle ne s’occupe pas de sa fille qu’elle renie presque, d’un coup elle souhaite s’en occupé, ceci est dans le chapitre dixième. Aussi, lorsque Emma aura des amants qui jouent d’elle , elle commencera des malaises et ont lui décèlera une maladie nerveuse . Cette nervosité et exprimée tout au long du roman notamment lorsque la belle mère brûlera un papier , Emma aura un rire nerveux , même rire à la clôture du roman sa mort lorsque elle entend la chanson de l’aveugle . De plus , elle veut toujours être ailleurs qu’elle n’est notamment au sein du chapitre neuvième quand elle s’imagine au grand Paris de sa petite campagne .

Son comportement et ses actes sont dans l’extrême allant jusqu’à même faire écho à de l’hystérie. Ont perçoit une contante sensation d’étouffement chez la jeune femme .

Au delà d’être un cas pathologie nous verrons aussi que Emma est

portrait réaliste d’un type social.

Enfin, Emma brosse bien la représentation d’un type social. Elle fait écho à la masse de l’époque , à toute les jeunes femmes comme elle ayant à travers notamment leurs lectures des passions romanesques auxquelles jamais elle n’accéderons. Éternelles insatisfaites elles rêvent sans prendre la peine de vivre .

Emma veut arriver à s’élever dans l’échelle sociale sans jamais n’y parvenir elle n’aime pas sa campagne qu’elle connais trop . En effet, lors du bal auquel elle sera invité le reflet de sa condition lui est renvoyer au travers d’image luxueuse aussi bien sur le plan de la décoration que sur les toilettes des dames élever socialement. Son grand malheur et de ne pas avoir était conviée de nouveau. De désillusion en désillusion voilà la vie auquel escompte toute les Emma flaubertienne . Bien plus que de n’être qu’Emma elle est à elle seule toute l’ambiguïté de la femme de l’époque ancrée dans le spleen d’un romantisme d’antan.

Par conséquence , Emma perd le contact avec la réalité de nombreuses fois au fil du roman . De plus elle représente une pathologie nerveuse très complexe perceptible à plusieurs reprises au travers de la lecture . Mais Emma est aussi le portrait sociale d’un type , beaucoup d’Emma souffres des mêmes névroses . Il serait intéressant de nous demander si le terme de bovarysme ne pourrait pas aussi s’appliquer à notre époque ?

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