La question de l'homme dans les genres de l'argumentation du XVIe siècle à nos jours

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se construit au fil des images pastorales.

Pour y répondre nous procèderons à une analyse linéaire en nous penchant tout d’abord sur un tableau idyllique de la ligne 1 à 10 puis nous nous intéresserons à l’adresser au lecteur, ligne 10 à 13 enfin, nous aborderons la réflexion sur la richesse menée de la ligne 14 jusqu’à la fin.

Conclusion :

Ainsi, nous nous sommes penchés sur un tableau idyllique puis nous nous sommes intéressés à l’adresse au lecteur avant d’aborder la réflexion sur la richesse. L’élaboration minutieuse de l’argumentation indirecte ou chaque détail fait sens permet à la Bruyère de brosser le portrait d’un prince idéal. Il oppose au principe de monarchie absolue l’idée d’un contrat entre le roi et le peuple tout en rappelant à Louis XIV ses devoirs.

L’invention d’un lieu parfait permettant de mener une réflexion sociale et politique est un procédé fréquent en art, c’est le principe de l’utopie.

Ton très dur

Pas de fatalité face à cette situation.

Registre didactique : apprentissage

Pauvres gens misérables

Registre polémique

Apostrophe pour interpeller

Attendrir le lecteur avec l’hypocoristique

Suffixe –ette/-et

Peuple : choix de soumission

Reproche au roi

Péché de chaire : Hyperbole

Guerre : violence, qu’aime le roi

L’argent

Métaphore l.23 avec la boucherie

Phrases courtes, débit rapide

Ironie

Absurdité, non-sens

Série de paradoxes

Prince = Tentacle-sama

1. Accusation contre le peuple

a. Un ton dur et critique

i. Sermon du peuple

b. Une complicité insensée

i. Affiliation souverain/peuple

ii. Servitude volontaire

c. Une solution simple à la soumission

i. Message d’espoir

ii. Bafoué par un peuple aveugle

2. Accusation contre le souverain

a. Un roi profiteur

i. Abus du peuple

ii. Un homme comme les autres

b. Un pécheur de droit divin

i. Représentation des sept péchés capitaux par un roi "divin"

c. La cage dorée du peuple.

i. Un enfer susnommé paradis

ii. Endoctrinement

1. La passivité du peuple

a. Naïveté constante

b. Totale soumission [MANNQUE DE LA RESP. DU PEUPLE]

c. Image irréaliste du roi [TROP COURT OU TROP LONG]

2. Auteur convaincant et persuasif

a. Stimulation

b. Questionnement constant [TROP COURT]

c. Idéologie révolutionnaire

1. Texte engagé

a. Ton et rythme

b. Vocabulaire cru

2. Texte critique

a. Critique directe du roi

b. Adresse au peuple

3. Enjeux

a. Liberté

b. Supériorité du peuple

1. Dénonciation traditionnelle du prince

a. Ses vices

b. Un monstre mythologique

i. Caractéristique du géant "Les pieds qui foulent vos cités

ii. La quantité infinie de caractères

iii. Article défini "l’Ennemi" symbole d’absolu danger

2. Dénonciation surprenante du peuple

a. Victime

i. Apostrophe pathétique

ii. Passivité (l.2-3)

b. Responsable

i. Paradoxes l.19

3. Appel à la révolte

a. Une exhortation

b. Une démarche toute simple

c.

Le texte se dirige vers cette thématique de la liberté puisque le mot "libre" est le dernier du texte

Hyperbole : Infini

Le monstre n’existe pas, ce "n’est qu’un homme"

C’est le prince qui devrait

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