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Concours de la Résistance

Par   •  2 Décembre 2018  •  1 878 Mots (8 Pages)  •  440 Vues

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Effectivement, en France, certains s’indignent devant le processus d’inhumanité. Ils ont donc commencé par dénoncer et alerter. L’été 1942, marque un tournant. Monseigneur Saliège, un archevêque Toulousain, écrit une pastorale, qui sera lue puis publiée. Il y rappelle l’Humanité des juifs et des déportés. « Les juifs sont des hommes, les juives sont des femmes. Les étrangers sont des hommes, les étrangères sont des femmes. Tout n’est pas permis contre ces pères et mères de familles. Ils font parties du genre humain. » . D’autres personnes exprimerons leur indignation, ils mettront leur vie en danger, ils publieront des tracts, des journaux pour informer les populations, ils porteront de fausses étoiles jaune, ils montreront les atrocités du nazisme.

Ensuite, ils ont sauvés et aidés toutes les personnes encore en vie. Pour cela, quand les arrestations augmentaient, ils cachaient les résistants, juifs, soldats… ils leurs donnaient de faux papiers comme des certificats de baptême, des permis ou des cartes d’identités… Grâce à ces actes de solidarité, ils créèrent de véritables réseaux et s’améliorèrent. Ce mouvement de résistance toulousain « Libérer, Fédérer » a réussi à sauver beaucoup de juifs.

Après cela, ils refusèrent de laisser des gens mourir. C’est pourquoi, les déportés ne voulaient pas monter dans les wagons, se jetaient sur les bourreaux, se révoltaient. Après une longue préparation, des sonderkommando, arrivèrent à faire exploser le four crématoire IV dans le camp d’Auschwitz, le 7 octobre 1944. Cependant, il y eu 450 décès de détenue lors de ce soulèvement.

De plus, c’est après que les détenus est compris que les nazis voulaient effacer toute traces d’extermination, qu’ils décidèrent de laisser des traces de ce mouvement historique. C’est donc grâce aux dessins, photographie, rapports… qu’ils décidèrent de mettre le monde aux courants des crimes nazis. Pour continuer dans leur révolte, les déportés sabotaient et ralentissaient leur travail, ils collectaient des preuves, affirmaient leurs identités et leurs droits d’exister, gardaient une dignité par des gestes simples…

Après tout cela, ils furent enfin libérés des camps et des centres d’exterminations au printemps 1945. Cependant, ils doivent réapprendre à vivre comme les autres. Mais cela est compliqué car le monde découvre la gravité de la catastrophe de l’extermination, par des images, des dessins, des photos… ce qui empêche de s’intéresser à chaque victime et même temps. On souhaite donc la fin de la guerre. Néanmoins, les anciens déportés sont physiquement et moralement déplorables et n’arrivent pas à se faire entendre. Ils doivent aussi retrouver leur identité, ils sont reconnus comme déportés… Entre 1945 et 1948, des décisions historiques sont mises en place pour prévenir et punie les crimes commis contre l’Homme. Seulement, la période de l’oublie vient, on oublie les victimes, on ne reconnait plus la participation au Régime de Vichy… Cependant dans les années 1970-1980, le travail des historiens se multiplient et on comprend que la mémoire n’est pas unique. Pour remédier à cela, plusieurs actions sont prises pour humaniser et personnifier en redonnant des noms et des visages aux victimes. Par exemple, Serge Klarsfeld, a listé tous les noms des juives déportées depuis la France dans une liste alphabétique, Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France, publiée en 1978. Il y a Un Mur des Noms à l’entrée du Mémorial de la Shoah à Paris. Une salle réunissant les photographies des enfants exterminés, plusieurs plaques commémoratives... On peut retrouver une de ces plaques à la gare de Portet-sur-Garonne où est listés 42 enfants juifs de Haute-Garonne, raflés le 26 aout 1942 et exterminés par la suite.

Pour conclure, l’Europe n’avait encore jamais connu une telle violence, ce fut la plus grande opération planifiée d’extermination systématique qu’elle n’est vécu lors de la Seconde Guerre Mondiale. On peut dire que ce conflit est un évènement historique très marquant car ce fut la première fois qu’il y eut autant de victimes (plus de 50 millions), la plupart de ces victimes n’était que de simple civils, ils n’avaient rien demandé appart la liberté. Le projet racial nazi de Hitler causa plus de 6 millions de victimes juives et tziganes. La violence et l’atrocité de son système concentrationnaire nazi est unique car il fait part à une atrocité extrême, inhumaine. Des milliers d’innocents, d’hommes « ordinaires » ont dut accepter et appliquer tous les discours de haine des nazis. Cependant, les Hommes non rien retenue des leçons qu’on leur a donnés, ils ont continué a écarter et martyriser des populations entière parce que elles sont jugée comme « ennemie ». Mais cela est ridicule, l’Hommes est un être égale à tous, il ne devrait pas avoir de différence entre ce qui se disent forts et ce qui se sentent faibles face à eux. Pourquoi nous autodétruire ? Pourquoi nous faire du mal entre nous alors que nous sommes tous pareil ? Pourquoi s’entretuer pour se sentir plus fort que les autres ? Qu’est-ce que l’on attend de toutes ces erreurs ? Tout ce qui ce passe dans l’histoire, toute les guerres, toutes les victimes, toute les familles triste, tout est de notre faute. Il faut cesser cela sinon l’humanité disparaitra. Il faut aussi faire passer ce message, il ne faut pas oublier toute les atrocités passés, cela est fait nous ne pouvons plus revenir en arrières mais on peut encore changer le futur. On a encore ce pourvoir la, tous ensemble nous pouvons arrêter de détruire l’humanité, il ne faut pas oublier pour mieux recommencer. Ensemble tous est possible.

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