Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Sedan ville française au Nord Est de la France

Par   •  31 Mars 2018  •  4 135 Mots (17 Pages)  •  482 Vues

Page 1 sur 17

...

R  suffrage universel masculin et abolition définitive de l’esclavage. Vote de la Constitution qui prévoit l’élection du Président de la R, pour la première fois en France (décembre 1948). Louis Napoléon Bonaparte est le Premier Président de la République  indignation des Républicains. Bonaparte entre en conflit avec les députés. En 1851, Bonaparte fait un coup d’Etat et dissous l’Assemblée et un an plus tard il proclame le Second Empire. Il règne sous le nom de Napoléon III (1852-1870).

Napoléon III règne de manière autoritaire, presse censuré, répression antirépublicaine, enseignement surveillé, élection législative régulière, mais les élections sont surveillées  césarisme démocratique = pouvoir détenu par un empereur, mais il est démocratique dans la mesure où il y a des plébiscite, surveillance des modes de gouvernements. A partir de 1860, N III accorde un certain nombre de droit au français et devient progressivement un régime parlementaire et la responsabilité des ministres devant les députés, initiative des lois des parlementaires en accord avec N III. 1864  droit de grève.

Mais la France est en guerre contre la Prusse (actuelle Allemagne) et perd en 1870 à Sedan.

Il y a eu trois forme de régime depuis la révolution de 1789 : monarchie constitutionnelle (ancien régime), empire (guerre et défaite) et R. Mais chaque régime a des défauts.

En 1870, la question se pose sur le régime à adopter.

La III R s’est installé dans un trouble publique.

En 1870, il y a trois types de personnels politiques : bonapartiste (favorable à l’empire de Napoléon III), monarchistes (favorable au rétablissement de la monarchie en France  divisé en deux : légitimistes (favorables à la monarchie absolu, héritière des Bourbon) et orléanistes (favorable à la branche cadette des Bourbon, Orléans  monarchie de juillet, beaucoup plus libérale), républicains (favorable à la R, sous l’image de la IIème).

La fondation de la IIIème R

Le péril révolutionnaire

La IIIème a mis beaucoup de temps à s’installé et pendant presque 10 ans, les français ne savaient pas quel régime s’installé

4 septembre 1870 à l’hôtel de ville de Paris = proclamation de la IIIème R

Napoléon III prisonnier des Prusse, Paris assiégé, guerre continue jusqu’en 1871

Le Gouvernement quitte Paris et se réfugie à Bordeaux où est organisé la résistance (Léon Gambetta quitte Paris en ballon), la résistance ne marche pas. A partir de septembre 1870, les Prusse encercle Paris, bombardements, pénurie alimentaire, manque de charbon alors que l’hiver arrive. Armistice signée en janvier 1871 (payer une indemnité en or au prussiens et cèdent trois département : Haut et Bas Rhin et Mosel).

Le Gouvernement prussien est dirigé par Otto von Bismarck, il exige de la France, un Gouvernement reconnue, élection législative 1872  2/ 3 des députés sont des monarchistes (400 députés, 1/ 3 députés républicains (200 députés).

3 forces composent l’Assemblée : républicains modéré mené par Gambetta, monarchiste orléanistes mené par Thiers et monarchiste légitimistes mené par De Broglie. (65 % de monarchistes). Les parisiens veulent poursuivre la guerre. Thiers est élu chef du Gouvernement et déplace le Gouvernement à Versailles. 18 mars 1871 : début de la Commune de Paris (institution locale), insurrection des parisiens, tourne à la révolution sociale.

Point de vue symbolique : drapeau rouge (couleur de la révolution), rétablit le calendrier révolutionnaire, réquisitionne les logements vides pour distribuer à des familles dans le besoin, suspension du paiement des loyers, proclame de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, pas de service militaire obligatoire (conscription), un enseignement obligatoire, gratuit et laïque et encourage les coopératives ouvrières.

Le Cri du peuple (journal).

Pottier compose L’International.

Thiers rassemble plusieurs hommes et lance la reconquête de Paris, le 21 mai 1871, où les communards sont installés. 21 au 28 mai 1871 : semaine sanglante. Les communards mettent le feu au Tuileries et l’Hôtel de ville. Pour empêcher la progression de l’armée officiel, les communards mettent des barricades, mais l’insurrection échoue. 4000 communards mort et plus de 20000 arrêtés, jugé devant des cours martiales expéditives et les versaillais perdent 1000 environ.

Manet et Courbet.

Le péril monarchiste

Thiers est un homme politique au XIXème siècle. Il est ministre de l’intérieur sous la monarchie de juillet. Chef du Gouvernement en 1840. Au Second Empire, c’est un opposant, il s’exile en Suisse et revient dans les années 1860, devient chef de l’opposition et prononce un discours, en 1864 : Les libertés nécessaires. C’est Thiers qui négocie avec Bismarck, élu député au parlement de Bordeaux. C’est Thiers qui signe le traité de Frankfurt avec les prussiens en 1871. C’est Thiers qui écrase les communards. Il devient le premier président de la III R. il est remplacé par Mac Mahon en mai 1873. Il est à la fois chef du gouvernement et président de la R, en 1871, c’est la première et la dernière fois en France. C’est un monarchiste orléaniste. La France n’a pas de Constitution et d’institution. Commence à être favorable à une R conservatrice, avec des institutions solides. L’assemblée n’est pas de cet avis, souhaite en grande majorité le retour de la monarchie. Trahison  remplacement par Mac Mahon (partisan convaincu de la restauration de la monarchie), selon les monarchistes.

La loi du septennat fixe le mandat de président de la R pour sept ans.

Le comte de Chambord est le prétendant au trône, sous le nom d’Henri V.

Mac Mahon nomme comme chef du gouvernement De Broglie, qui incarne la monarchie légitimiste. Politique de l’ordre morale (1873-1874) : retour au partie de l’ordre qui a dominé pendant la II R, une épuration de la magistrature et de l’administration, l’ordre social est rétablit, l’Eglise revient en grâce. En 1873, une centaine de députés conduisent un pèlerinage à Paray-le-Monial + Eglise du Sacré-Cœur en 1873 par expiation des évènements de la Commune. Avec l’appui de

...

Télécharger :   txt (27.9 Kb)   pdf (160.9 Kb)   docx (27.6 Kb)  
Voir 16 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club