Commentaire de texte Hugues Maret; sortir les cimetières hors des villes

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b. Les nombreuses revendications

Idée 1 : revendications contemporaines dans le texte

Dans notre texte l'auteur insiste fortement sur le grands nombres de personne qui souhaite que les cimetières soit placés à l'extérieure des villes et des églises lorsqu'il dit ligne 7 : LIRE Il dit même ligne 20 à 25 : LIRE ; Ils y a donc beaucoup de plaintes selon l'auteur . Il dit Ligne 22 : Il n'est aucune ville ou de semblables plaintes se soit faite entendre. Et il cite de nombreuses paroisse pour étoffer son propos . Il donne même l’arrêt du 21 mai 1765 pour montrer que cela est devenue indispensable et qu'il faut faire la même chose qu'à Paris pour la ville de Dijon mais aussi pour l'ensemble des ville de France. L’arrêt présenté ici concerne Paris et le fait d'enterrer dans les église que nous traiterons donc en deuxième partie .Avec cet arrêt : on doit désormais inhumer à l’extérieur des églises et donc dans les cimetières de la viles . Cela est comme nous sommes entrain de le voir pas suffisant pour l'auteur car il remet en cause aussi les cimetières présents à l'intérieure de l'enceinte des villes : Ligne 28 à30 : LIRE . De plus nous savons maintenant que cet arrêt ne sera pas appliquer avant 1803.

Idée 2 : revendictions plus anciennes

Pour appuyer encore plus son propos l'auteur nous dit donc ligne 7 : LIRE . Par la il entend que il y a des plaintes plus ancienne à notre siècle et que l'inhumation des morts à toujours préoccupé les peuple d'ailleurs il dit ligne 20 : LIRE . En effet, beaucoup de grande civilisation témoigne de manière différente de l’usage d'enterrer les morts nous pouvons citer l’exemple de la grèce qui plaçait les tombeaux près de portes de la ville ou encore les perse , les egyptiens ou encore hébreux et phénicien qui avaient chacun des lieu pour enterrer les morts mais pour ceux que je viens de citer toujours dans des caveaux .

Alors, ils existent avant notre texte des revendications comme celle formulé par Louis Sébasten Mercier avec le roman d'anticipation l'an 2240 datant de 1771 .

II. Un texte ancré dans les lumières

a. aller contre les usages anciens

Idée 1 : définition de cet usage

A la ligne 1 LIRE , L'auteur nous signale que il y a dans l'usage d'enterrer les morts à l'intérieur des églises un part ancienne et c'est d'abord cet usage qui intéresse notre auteur bien que comme nous l'avons vu il souhaite aussi que les cimetières soit placé hors des villes . En effet, le catholicisme est pendant longtemps la religion d’état en France . Alors, les églises et les cimetières demeurent des lieux complémentaire et indissociable. En effet, l’église catholique vénère les morts et l'au delà car l’âme est préservée . C'est l'église elle même qui a pris la décision de s’éloigner du modèle Romain qui était d'enterrer les corps hors des portes de la ville et l’église a donc accepté l'inhumation en site urbain . Cependant seulement les privilégiés ( souverains, les dignitaires ecclésiastique les grands seigneurs et même les bourgeois fortunés ) qui étaient enterré dans l’Église même . Pour tous les autres , la majorité, c’était dans les cimetières urbain très souvent annexés a l’église Ce sont souvent des cimetières très étriqués car on voulait mettre un maximum de corps dans un minimum d'espace : ²on peut prendre pour exemple le grand cimetière de Paris , le cimetières des innocents : il y avait avant sa destruction plus de 10 millions de cadavres dans un espace étroit , et on comptait plus de 3000 cadavre par an . Alors pour l'auteur , il faut allr contre cet usage : ligne 28 : LIRE

Idée 2 : Aller contre l'église un dée des lumières ?

A travers la volonté de sortir les cimetières des églises on voit une certaine volonté sous-jacente qui émane directement du mouvement des lumières . Il y a en effet dans ce siècle un certain début de lutte contre l’église même si le peuple reste profondément religieux , et aussi les scientifiques : Newton par exemple étudie la bible pendant de nombreuses années a des fins scientifiques Descartes aussi reste un fervent religieux qui pose dieu comme le garant des vérité éternelles et la condition même de la science naturelle . Mais par exemple avec Voltaire et son œuvre Candide Dieu se retrouve convoquée devant le tribunal de la raison humaine pour se justifier de l’existence du mal. Dieu est parfois disculpé ou non mais ce qui nous intéresse ici vis à vis de notre texte c'est que Dieu est parfois remis en cause et à travers lui donc les pratiques de l’église et ici donc précisément le fait d'enterrer les cadavres en son sein C'est pour cela que ligne 8 il emploi le terme de préjugés respectable , qui signifie la religion mais qui reste tout de même respectable.

b. aller contre les cro yances malgré le peuple pour le peuple

Donc vu que le peuple reste profondément religieux Des la premier phrase ligne 1 : LIRE , l'auteur nous dit alors que ce n'est pas parce que les choses sont faites depuis longtemps que cela doit être considéré comme étant une vérité absolue , il dit ligne 8 à 10 : LIRE

III. Une vision scientifique du monde

a. favoriser l’hygiénisme

Le texte nous dit qu'il faut sortir les cimetières des églises et de l'enceinte des villes car cela est dangereux ligne 26 27:LIRE ; Il parle donc des deux usages : celui d'enterrer dans les églises ( nous verrons plus amplement cela en troisième sous partie ) et aussi celui d'enterrer dans les villes ligne 9 à 30 : LIRE ;

b. En profonde relation avec son temps .

mais le travail des médecin est avant le XVIII bien moins vu et pris en copte on peu même dire que le peuple avait peur des médicaments on peut citer par exemple les œuvres de molière : Médecin Malgré lui ou encore le malade imaginaire. contrairement à cela le XVIII voit , le travail de médecin se multiplier même si il reste très urbain, il y a une revalorisation certaine du métier ( et n'oublions pas que notre auteur est lui même un médecin )

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