Démocratie libérale

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Le conflit repose maintenant sur l’entente entre un libéralisme politique et les conséquences sociales di libéralisme économique. En effet il est dur de voir une société libre si cette société fait objet de constante compétition formant une haine entre riches et pauvres. Cette haine se développera avec le temps et nul besoin d’être savant pour constater qu’elle finira par éclater les principes d’une société. Ainsi, l’équilibre entre principes libéraux et l’exigence démocratique d’aide au plus faibles est recherchée. En France, c’est un problème qui doit être résolu, et donc naît le courant radical. « Il faut limiter la puissance du grand capitalisme »[1]. Car ce capitalisme résume très bien le darwinisme économique qui engendre de tels écarts entre élites et non-élites. Ainsi, la porte commence à s’ouvrir aux « petits ».

Malgré ces réconciliations, cet équilibre entre libéralisme et démocratisme est instable, elle peut facilement être débalancée par l’emportement net d’un des groupes présents. C’est pourquoi cet équilibre dans être contrainte de conditions favorables à ce mouvement. Premièrement, l’économie d’un pays démocratique libéral doit être évolué. Il doit y avoir eu une révolution industrielle, donc à vue une importante croissance économique par l’entremise de technologies avancées et par le fait d’avoir un bon commerce mondial, c’est-à-dire qu’il vend plus qu’il achète. Deuxièmement, au niveau social, il doit y avoir une bourgeoisie, qui est idéalisée par la classe moyenne, une sorte de motivation qui réduit l’écart de richesse. Car un pays avec un trop gros écart entre riche et pauvres ne résulteraient qu’en conflits et renversements du régime. Troisièmement, l’éducation doit être élaborée. Son progrès est mesurable par le taux d’analphabétisation. Est-ce que cette société possède la liberté de presse? Car une circulations d’idées doit avoir place si l’on veut bien s’entendre en tant que société. Finalement, l’organisation d’un état doit avoir un consensus minimum, car la stabilité politique est un critère majeur à l’avènement d’une société de démocratie libérale. Une trop grande différence entre partis politiques amènerait des guerres civiles.

Pour conclure, C’est vrai que le libéralisme possède des origines antagonistes par rapport au courant démocratique, mais ce conflit est plutôt à l’origine des points faibles des deux mouvements de pensées. C’est en joignant ses points positifs qu’un équilibre va être trouvé, et les bénéfices d’une telle fusion aide même la création d’avantages qu’au début l’on aurait jamais cru exister. Par exemple, la première fois que j’ai rencontré mon meilleur ami, je me suis battu contre lui,15 ans plus tard je le vois presque chaque jour. Ce n’est pas parce que 2 idéaux sont différents qu’ils doivent rester tels qu’ils soient, mais c’est en apprenant de l’autre qu’un idéal meilleur naîtra.

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