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De Gaulle et la libération

Par   •  21 Février 2018  •  1 149 Mots (5 Pages)  •  464 Vues

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En Normandie :14 juin 1944

Le 6 juin 1944, une offensive amphibie sur la région de Caen, en Normandie par les troupes alliées ( Royaume-uni, États-Unis et Canada). Cette opération porte le nom d'Operation Overlord.

L'objectif était de traverser les lignes allemandes et de s'introduire sur le territoire français. L'opération est une réussite, malgré une défense acharnée. Cependant il y a eu des milliers de pertes, souvent de jeunes soldats inexpérimentés :PAIX A LEUR ÂME

A Paris : 20 au 26 août 1944

Chef de la France libre, le général de Gaulle a réussi à imposer ses conditions à ses alliés britanniques et américains. C’est une armée française qui entrera la première à Paris et qui viendra soutenir le combat des Parisiens. Le 25 août, la 2e Division Blindée (DB) du général Leclerc entre ainsi dans la capitale et soumet les dernières zones de résistance allemandes. Le même jour, le général allemand von Choltitz se rend officiellement aux forces françaises. Dès le lendemain, le général De Gaulle descend les Champs Élysées devant une foule gigantesque puis prononce son célèbre discours :

« Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré. Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France . »

En Strasbourg :septembre-novembre 1944

En novembre 1944, la 7° armée américaine, commandée par le général Patch, a pour mission de libérer la plaine d'Alsace, de Strasbourg à Wissembourg et de rejeter les troupes allemandes de l'autre côté du Rhin. L'assaut débute le 23 novembre, mais les troupes rencontrent une forte ligne de résistance allemande. Finalement, ils parviennent à pénétrer dans la ville et font des prisonniers allemands. Les strasbourgeois libérés lisent la proclamation du général Leclerc.

La libération des derniers réduits :

Lorsque les armées allemandes quittent l’ouest et le nord de la France, elles laissent des garnisons chargées de bloquer les principaux ports. La prise rapide du Havre, de Marseille et surtout d’An- vers, met toutefois à bas cette stratégie, amenant les Alliés à se contenter d’une simple garde des poches restantes : Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire, La Rochelle et l’estuaire de la Gironde, où se maintiennent quelque 95 000 combattants adverses. Leur garde repose au nord de la Loire sur des troupes alliées, renforcées d’unités françaises issues des FFI (forces françaises libres). Au sud de la Loire, seules des unités FFI sont initialement présentes, bientôt renforcées par des troupes coloniales et

nord-africaines. Un long siège s’engage sur ces fronts de faible intensité, marqués par d’épisodiques mais vifs engagements.

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Les camps de concentration en France :

le seul camps de concentration sur le territoire français a été le camps de Natzwiller-Struthof en Alsace. Il a été installé par l'ingénieur allemand Blumberg.

[pic 9]

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